Defense De La Critique Boileau Satire Ix

Boileau et l’Art poétique Biographie  Boileau a consacré sa vie à la littérature et a la défense de son idéal poétique qui est fondé sur la raison et la vérité. Né d’une famille nombreuse bourgeoise à paris le 1 er novembre 1636. Il fut élevé par son père à cause du décès prématuré de sa mère lorsqu’il avait 2 ans. Boileau fit ses études à Beauvais puis à Harcourt, où il étudia la théologie puis le droit à la faculté, d’où il sortit avocat en 1656. Lors du décès de son père, il reçoit

Boileau Nicolas → (1636-1711) Il est le type même de l'homme de lettres et fut le principal théoricien de l'esthétique classique. Il a consacré toute son activité à la littérature et à la défense de son idéal poétique fondé sur la raison et la vérité. Ce sont les dates de publication de ses ouvrages qui jalonnent l'histoire de sa vie. Né à Paris le 1er Novembre 1636, Nicolas Boileau est d'une famille bourgeoise. Il fut élevé par son père, qui occupait la fonction de greffier au parlement. Il

on ne peut considérer les Modernes comme inférieurs à leurs ancêtres. Les Anciens (Boileau, Racine, La Bruyère, La Fontaine, Madame Dacier) invoquent le génie des écrivains antiques, d'Homère et de Virgile, pour expliquer qu'ils doivent rester des modèles dans la pratique des arts. Cette querelle se déroula en trois étapes principales : Dans la première, le débat portait sur l'épopée et le poème héroïques. Boileau, dans son Art poétique (1674) préconisait le respect des modèles grecs et latins et

par Charles Perrault de son poème Le Siècle de Louis XIV dans lequel il proclame la primauté de la littérature du temps s’engage une polémique. Les partisans de la suprématie antique se recrutent surtout à la Cour et dans la génération classique (Boileau, Racine, La Fontaine, Bossuet, La Bruyère). Leurs adversaires sont plutôt des auteurs jeunes (Charles Perrault, Fontenelle), des mondains et des amateurs de genres nouveaux (opéra, contes, romans). Vers 1700 l’antagonisme s’apaise, sans victoire nette

(1598) et du tsar Ivan IV (1584) peu avant l’avènement sur le trône moscovite de la dynastie des Romanov (1613)… But Enrichir la langue par l’importation de mots grecs et latins Règles précise de versification Retour aux formes antiques (satire, élégie, épître, comédie, tragédie, épopée) Parmi les formes poétiques récentes, seul le sonnet est conservé Poésie orale Le Baroque Richesse des images et de l’imaginaire Composition complexe Métaphores pittoresques et expressives

des funéraille nocturne et une sépulture chétienne. La doctrine littéraire de Molière Pour répondre à ses ennemis, Molière a exposé ses idées sur la comédie dans les préfaces des Précieuses ridicules, Tartuffe, l’Avertissement des Fâcheux, La Critique de l’Ecole des femmes et l’Interroptu de Versailles. Pour Molière, la grande règle de toutes les règles est de plaire au public. Il ne faut pas donc juger une pièce d’après les règles, mais d’après l’effet qu’elle fait sur la. Ce souci de plaire

fiction. La chanson de Roland devient : Charlemagne a +/- 200 ans. ---> tout est changé dans l'esprit de l'époque. 6.COMMENT EVOLUE LA POESIE MEDIEVALE ? -lyrique (=chantée). Va etre diffusée par les troubadours au 11e (S. de la FR) --> guillaume IX d'aquitaine, bernard de ventadour. 12e : arrive au N. avc les trouvères -->Chrétien de Troyes, Canon de Béthune. Troubadours disparaissent au 13e. Dans le N., poésie + réelle. Gds poètes : Rutebeuf (2nd moitié 13e), Francois Villon ( +/- 1431). -courtoise

féminine, reflet de la splendeur de l’univers - l’immortalité de la poésie Procédés d’écriture : - l’utilisation d’alexandrin - la multiplication des métaphores et des allégories - la création de mots nouveaux Manifestes et écrits théoriques : - Défense et Illustration de la langue française (Du Bellay, 1549) Ecrivains et uvres : - Ronsard, Odes (1550) ; Amours de Cassandre (1552) ; Amours de Marie (1556) ; Sonnets pour Hélène (1578) - Jodelle, Cléopâtre captive (1553) - Du Bellay, Les Regrets

aussi. (v. 105-112) Malgré cette fable, LF ne fait pas de théorie du rire. Il ne place pas ses fables, comme c'est la tradition pour les œuvres comiques, sous le signe du rire de Démocrite. La fable Démocrite et les Abdéritains (VIII, 26) est une satire des erreurs du peuple, non une mise en valeur du célèbre rire de dérision de Démocrite en opposition avec Héraclite, toujours en train de pleurer. Au XVIe siècle, Démocrite était considéré comme le modèle des écrivains rieurs et facétieux1. Les Fables

narraient leur histoire. Jean Meschinot († 1491), Jean Molinet († 1507), André de la Vigne († 1527?), Jean Marot († 1526)... C’est surtout comme poètes qu’on admirait ces hommes, auteurs d’œuvres morales et politiques, d’épîtres ou de satires. Cependant, la critique traditionnelle reproche aux rhétoriqueurs leur manque de goût et de mesure, ainsi que la reprise de thèmes usés. Pourtant, ces hommes se qualifiaient volontiers de rimeurs, car ils furent en effet de prodigieux inventeurs de rimes (rime