Délire paranoïaque

Huile/toile Daté SignéeLa méthode repose sur une « faculté » que seuls certains ontc° 2, celle d'être habité d'« associations et interprétations délirantes ». C'est la partie « paranoïa » de la méthode. Que ce soit dans le cadre d'un authentique délire ou dans celui d'un fantasme ordinaire, les idées extravagantes à l'origine de l'œuvre s'organisent en une structureB 2. C'est cette structure, propre à ce qui fait le thème d'une obsession, « objective », et non la pensée subjective de l'artiste,

obsessionnels compulsifs - certains états dépressifs apparaissant lors des schizophrénie en association avec un traitement neuroleptique Asthénie, somnolence, confusion, agitation (parfois dans le cadre d'un syndrome sérotoninergique ou malin), délires, troubles de la mémoire, insomnie. vertiges, tremblements, myoclonie céphalée, paresthésies sécheresse de la bouche, constipation, vision floue, trouble de l'accommodation, trouble de la miction ,bouffées de chaleur, sueur, mydriase,hypotension orthostatique

différence d'interprétation du pathologique ou du normal entre les professionnelles et le non-professionnel. Le vocabulaire utilisé envers des idées reçus du grand-public montre que l'auteur se place en tant que professionnelle, « farfelus », « délires paranoïaque »,ces mots représentent ses doutes faces à ses théories. La position des professionnels varie selon leur formation (médecin, sciences-humaines). Ils se référent à des dictionnaires reconnues mais régulièrement révisées en fonction des recherches

neuroleptique a action prolongée (NAP) sur un patient schizophrène. Tout d'abord, le NAP injecté sera l'Haldol Decanoas, utilisé pour le traitement au long cours des états psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques non schizophréniques :délires paranoïaques, psychoses hallucinatoires chroniques). Il se présente sous forme d'ampoules d'1ml de produit contenant 50 mg de principe actif, l'haloperidol. Ce traitement a pour but d'injecter par voie intra musculaire, c'est

injection en intramusculaire d'un neuroleptique : le clopixol à action semi-prolongée. Les neuroleptiques comme le clopixol ASP sont les traitements initiaux des états psychotiques aigus ou chroniques ( schizophrénies et délires chroniques non schizophréniques : délires paranoïaques, psychose hallucinatoire chroniques). Nous sommes le mardi 5 novembre, il est environ 10h et, selon la prescription, il faut administrer à Monsieur N : 2 ampoules de Clopixol ASP 50mg/1mL tous les 3 jours. Monsieur

La psychose Il existe 3 grandes entités psychotiques : - Mélancolie (psychose maniaco-dépressive) - Psychose paranoïaque - Schizophrénie La personne n’est pas en capacité de verbaliser ses troubles et d’en prendre conscience. Ces personnes étaient appelées « aliénées ». La schizophrénie Au sens littéral, c’est le psychique divisé. C’est la pathologie qui correspond au niveau de fixation le plus ancien. Elle va renvoyer au stade oral. C’est une difficulté de se représenter soi même

Les conduites alimentaires Anorexie Cas de restrictions alimentaire. Volonté de ne pas/peu manger. Perte de l’appétit. Perte du goût de la vie => perte de l’envie de manger. Refus alimentaire : surtout dans les psychoses et dans certains délires paranoïaques (plats empoisonnés) Excès alimentaire Boulimie quand c’est en rapport avec l’alimentation. Conduite addictives Excès de boisson : potomanie Perversion alimentaire Coprophagie = manger ses selles Les fonctions mentales Le langage Forme

Loi, mais sont diagnostiqués par l' ensemble politico-médical de la bureaucratie de l' administration pénitentiaire comme des malades mentaux. Les diagnostiques étaient souvent proche de celui de délire paranoïaque (délires mystique ou religieux, délire politique avec sentiment de persécution ou délire d' interprétation) cf. " L' archipel du goulag " A.Soljenitsyne. Aux États-Unis, pendant la même période, la notion de dissidence n' existe pas et pourtant le pays de"la statut de la liberté" inaugure

psychotique à la forclusion • 2.1 Le moment de la « décompensation » • 2.1.1 Elision dans l’imaginaire • 2.1.2 Elision dans le symbolique 3) Le traitement et l’angoisse • 3.1 Perplexité • 3.2 Conviction II ) L’enjeu du délire : la question de l’égo 1) L’acte créateur ou comment se faire un nom 2) La question du nom : ✓ Le cas Aimée ✓ Le cas Camille Claudel 3) Perspectives thérapeutiques Conclusion ____________________________________________________________

lents et économisé) Signes de gravités : - délires - hallucinations - gestes dangereux (ex : saut de la voiture en marche, gestes violent envers autrui) b) Bouffée délirante aiguë : B.D.A Définition : début brutal d’un délire ayant pour origine une atteinte du système nerveux ou des traumatismes psychiques (ex : deuils, incarcération, drogues, vision de morts) Symptômes : - agitation - délires incohérents - délires de persécutions -délires mystiques Evolution : - rémission totale