Délire paranoïaque

« schizophrénie » est crée en 1911, par le suisse Eugène Bleuler. « Schizo » veut dire « coupure » et « phrénie » signifie « de l’esprit » en grec. Sortes de schizophrénie : - Schizophrénie simple : La personne s’isole - Schizophrénie paranoïaque : Délires et hallucinations - Schizophrénie hébéphrénique : Hyperactivité, le manque de concentration, indifférent aux sentiments - Schizophrénie catatonique : Le patient reste figé et répètent les mêmes phrases toute la journée - Schizophrénie

entre ce qu’on croyait du divin et la science. La naissance de l’humanisme grec est honorée par Hippocrate. Il est opposé à la conception religieuse des maladies mentales et a commencé à envisager des causes différentes. Il a décrit des troubles : le délire aigüe (confusion mentale), la manie (état d’excitation psychique), la mélancolie (opposé de la manie), l’épilepsie et les bases de l’hystérie (utérus). Il est aussi le précurseur de l’organogénèse en mettant en relation des troubles mentaux et d’origine

BILAN D'AUTONOMIE A L'ENTREE : besoin d'une aide totale pour la toilette et l'habillage,incontinence totale, démence évoluée. GIR 1. Antécédents médicaux ou chirurgicaux: HTA psychose type PMD (dépression sévère vers 45 ans, délire paranoïaque). 2003:thyroïdite multi-nodulaire. Infection urinaires à répétition. Août 2005: bilan des fonctions supérieures ECG: tracé un peu ralenti de manière diffuse,scanner cérébral: importante atrophie cortico sous corticale, échographie

Schizophrénie (pensé fêlé), se caractérise par un délire de la pensée et des hallucinations qui peuvent être de nature différentes. - Psychose maniaco-dépressive (PMD) appelé aussi trouble bipolaire, se caractérise par une succession d’accès mélancoliques (délire de la pensé d'autoaccusation) et accès maniaque qui est un ressentit de toute puissance. Dans son délire, il peut faire des achats fou, partir a l'autre bout du monde etc. - Délire paranoïaque, pensé délirante sans hallucinations qui prends

C'est un neuroleptique qui appartient à la famille chimique des butyrophénones. Il a une action prolongée. Il est utilisé pour le traitement au long cours dans certains états psychotiques chroniques (schizophrénies, délires chroniques non schizophréniques : délires paranoïaques, psychoses hallucinatoires chroniques). Mr G souffre quant à lui d'une schizophrénie paranoïde. Cette affection se caractérise par une méfiance envahissante et des convictions délirantes d’être la cible de persécutions

schizophrène est un individu chez qui cohabitent plusieurs personnalités, la définition psychiatrique est plus complexe. La schizophrénie, c'est une déstructuration de la personnalité, une maladie douloureuse marquée par de profondes angoisses, des délires et une déconnection de la réalité. A la base du malaise, il y a bien sûr la question de l'identité. Sans forcément relever de la pathologie médicale, notre société a exactement le même problème. “Nous n'avons jamais répondu à la question de savoir

Article 1 - La pauvreté imaginative Article 2 - Les perturbations hyperimaginatives Chapitre 8. Le syndrome délirant Article Article Article Article Article Article Article 1 2 3 4567- Le début du délire Les thèmes délirants Les mécanismes délirants Les organisations délirantes La réaction au délire L'adhésion L'évolution L I V R E II : LES T R O U B L E S D E S P E R C E P T I O N S Chapitre 1. Les troubles des perceptions Article Article Article Article Article Article 1 2 3 456- La perception

fréquemment le contenu du système de croyance du patient et sont d'appartenance socio-culturelle. Enfin, un aspect important des idées délirantes est leur aspect structuré (paranoïaque) ou flou (paranoïde). ▪ Le patient peut également avoir des croyances et des jugements bizarres ou clairement injustifiés se rapportant aux délires, par exemple : croire que l'on est persécuté, sans en posséder la moindre preuve, ou encore s'imaginer que l'on peut lire dans nos pensées. Conclusion  En guise de

stress dépassé est volontiers contagieux et en cas d'intervention sur un lieu d'accident (SAMU, SMUR...) il faut penser à isoler les victimes de stress dépassé. Les réactions pathologiques au stress : des accidents conversifs, une agressivité, des délires aigûs, etc. Certaines caractéristiques d'un événement sont volontiers considérées comme susceptibles de favoriser par la suite le développement d'une névrose traumatique. Dans les approches anglo-saxonnes (théories cognitivo-comportementales) ces

acception seconde, il exprime le caractère loufoque de la fable(peut être fait-il réference à la fable écrite par Plutarque ou celle écrite par Apollodore?). Nous remarquerons aussi qu’Astérion est dans une certaine mesure ,dans une forme de délire paranoïaque dans ce que cette pathologie comporte :d’ hypertrophie du moi (je serais, moi, Astérion)la présence du personnage- narrateur se retrouve donc sous une forme redondante du pronom personnel conjoint « je »et du pronom personnel disjoint « moi »