Délire paranoïaque

traduction de divers délires comme ceux de transformation, de négation, de délire mystique ou mégalomaniaque etc.). Les troubles du développement de la personnalité apparaissent essentiellement chez les personnes oligophrénes et les débiles mentaux. Toujours dans le cadre des troubles de la personnalité, les troubles de la personnalité cénesthésique se rencontrent le plus souvent au cours des états dépressifs, la mélancolie et chez les personnes obsessionnelles ainsi que dans le délire hypocondriaque.

obsessions … ces symptomes peuvent être liés à differents types de névroses tels les nevroses d'angoisses , les névroses phobiques , les nevroses obsessionelles -pour les psychoses : crise d'hallucinations dissociation de la personnalité délirs paranoiaques délirs tout en gardant une perception conforme à la réalité … ces symtomes peuvent etre liés à differents types de psychoses comme la skizophrénie , psychoses delirantes chroniques , psychose due à un effet organique . De plus , il faut savoir

Le délire de persécution est une des composantes de la paranoïa, maladie qui se caractérise par la cohabitation de ce délire et du complexe de supériorité. Les personnes atteintes de ce trouble psychiatrique sont persuadées qu’ils sont surveillées, que les gens qui les entourent veulent leur porter préjudices et ils croient qu’ils sont victimes de persécutions. Hitler et Staline, deux des plus importantes et troublantes figures politiques du vingtième siècle, étaient atteint de ce trouble. Constamment

des intervalles de temps sans symptômes. →Les délires paraphréniques se différencient des schizophrénies par une absence de dissociation et la coexistence d’une pensée fabulatoire. → Le délire paranoïaque se différencie des schizophrénies par un âge de début plus tardif (à partir de 30 ans), l’absence de dissociation, un mécanisme unique interprétatif et des thèmes surtout persécutifs. → La psychose hallucinatoire chronique est un délire chronique non dissociatif. Il survient plus souvent

bouffées délirantes (accès de délires qui surviennent et disparaissent brusquement). La paraphrénie, la schizophrénie (voir plus loin), exemple de psychose qui apparaît le plus souvent sous forme de délires chroniques paranoïdes (voir plus loin) et la psychose maniacodépressive font partie de la famille des psychoses. La paraphrénie est une psychose qui se caractérise par un délire imaginatif chronique ne s’accompagnant pas de trouble des fonctions mentales. Le délire peut se définir comme le fait

La schizophrénie peut se manifester précocement. C’est très rare que la psychose se manifeste chez les enfants. Tant que la psychose n’est pas décompensée, on peut limiter les effets de celle-ci. La paranoïa s’accroche toujours à une réalité, le paranoïaque s’appuie sur des éléments réels qu’il va interpréter. L’autre élément majeur est le transfert. Il se présente sous une forme particulière : tout ou rien, c’est à dire que c’est toujours un transfert passionnel. Le rapport à l’autre est déterminant

intrusions délirantes à caractère 6 mystique, religieux. Flechsig devient un objet de persécution pour Schreber : « le meurtrier d’âme ». Selon Weber, le patient souffre d’une psychose initiale plus aiguë accompagné de délire hallucinatoire. Il dresse donc un tableau de maladie paranoïaque. Toutefois Weber note qu’en faisant abstraction des symptômes psychomoteurs visibles, le Dr Schreber ne présente pas d’atteintes à son intelligence, sa capacité à tenir un discours, ni une déficience mnésique, des

troubles fonctionnels intestinaux 5. Encéphalopathies - encéphalopathie de Wernick (due à une carence en vitamine B1) - syndrome de Korsakoff (troubles de mémoire) - démence par atrophie cortico-sous corticale 6. Complications psychiatriques Délire paranoïaque Mécanisme interprétatif Thème principal = jalousie 7. Troubles du comportement Hystérique, anxieux, phobique, dépressif -> l’alcoolisme est alors secondaire 8. Dépression / suicide Effet désinhibiteur de l’alcool favorise le passage à l’acte

notion de dissociation au centre des symptômes. - « le reste du monde » (école USA), plus pragmatique, les symptômes sont classés en deux catégories : les symptômes positifs = productifs (= ceux qui viennent en plus comme les hallucinations, les délires...) et les symptômes négatifs = déficitaires (= ceux qui viennent en moins comme le retrait, la déficience affective...). ( La dissociation : elle ne se voit pas directement, elle est considérée comme l'élément organisateur de la schizophrénie

cette deuxième hospitalisation que Schreber écrit ses mémoires et intente une action pour que l’hôpital le laisse sortir, car le paranoïaque est toujours selon lui détenu contre son grès et pour rien. Il obtient cette autorisation de sortie et publie « mémoires d’un névropathe » en 1903 : Le patient a intégré son délire et ne se considère pas comme malade.   I- Le délire et son évolution A la suite de sa Première hospitalisation Schreber décrit plusieurs rêve. Il rêve que sa maladie des nerfs revient