Democratie Athenienne

chronologique Certains sujets sont délimités par des dates - exemple : «La démocratie athénienne, 510-404». Il s’agit alors de s’interroger sur la pertinence des bornes chronologiques. En l'occurrence, 510 renvoie aux réformes clisthéniennes, date traditionnelle pour le début de la démocratie à Athènes. 404, quant à lui, renvoie à la défaite d’Athènes dans la guerre du Péloponnèse qui, en quelque sorte, est la défaite historique de la démocratie face à une oligarchie. Le choix des dates n’est pas anodin, et

Commentaire de document : Intro : Présentation du document, contexte… Athènes connaît son apogée au Ve siècle avant J-C. C’est grâce aux guerres Médiques qu’Athènes domine la Grèce au Ve siècle av J-C. Les Athéniens sont très fiers d’avoir vaincu les Perses et proposent aux autres cités grecques de les protéger, en cas de retour des Perses. Mais cette protection sera assurée en échange du paiement d’un tribut (impôt). On appelle cette alliance la Ligue de Délos. Très vite, l’argent de la Ligue

tribunal populaire ouvert à tous où, chose nouvelle, chacun a le droit d'intervenir en justice contre quiconque aurait enfreint les lois, affirmant ainsi la responsabilité collective des citoyens. Ces réformes dessinent les premiers signes de la démocratie athénienne, qui donne envie aux romains. Certains estiment que le voyage en Grèce et l’aide des Grecs eux-mêmes dans l’élaboration de la loi des XII Tables relève de la légende. En revanche, le droit grec à incontestablement influencé le droit romain

vaincu et dominé par les spartiates) La cité grecque est très diverse dans l’espace comme dans le temps : Dans l’espace : Spartes est dominée par une aristocratie théoricienne conservatrice alors qu’Athènes sera souvent dominée par une démocratie urbaine donnant naissance à une vie intellectuelle et culturelle prestigieuse notamment à l’époque de Périclès (443-429). Dans le temps : les régimes se succèdent au sein des cités du fait des conflits entre intérêts urbains et intérêts ruraux

facilement, durcissement des conditions d’intégration. Il y a des étrangers résidents (métèques) et des esclaves, les maîtres peuvent les affranchir mais ils sont assimilés ensuite à des métèques, ils ne deviennent donc pas citoyen. b) la démocratie athénienne : rois traditionnels. Il existe un conseil d’ancien et une assemblée des citoyens qui approuve la loi. Dans certaines cités, on est passé d’un régime monarchique à un régime aristocratique : magistrat (chef temporaire élu pour 1 an, ils représentent

que ce soit de l’ordre philosophique, religieux ou moral. L’Europe redécouvre ces valeurs communes, elle redécouvre son histoire, sa civilisation et elle se sert de cette histoire comme une arme de paix, une arme de sécurité, de solidarité, de démocratie et de respect de la dignité humaine. L’Europe se dote alors à partir de la seconde guerre mondiale de cadres organiques propres à promouvoir ces valeurs communes. Première Partie: Les institutions européennes : Unité et diversité : Les institutions

inscrits à cause de leur âge (…) Un citoyen au sens absolu du terme ne peut mieux se définir que par la participation à l'exercice des pouvoirs de juge et de magistrat. (…) C'est pourquoi le citoyen dont nous avons parlé existe surtout dans une démocratie (…) Dans certaines cités, il n'y a pas de peuple (demos), ni de session régulière de l’Assemblée. Quiconque a la possibilité de participer au pouvoir délibératif et judiciaire, nous disons qu'il est citoyen de cette cité, et nous appelons cité la

l’autarcie économique (éviter de dépendre de l’étranger). La cité est maitresse de son régime politique. Elle ne doit pas payer d’impôts (tribut) à une puissance étrangère. Tous les habitants ne sont pas des citoyens (être né d’un père et d’une mère athéniens). Mais il y a des hommes libres et non citoyens (métèques), qui habitent la cité d’Athènes depuis des siècles. Un homme n’est reconnu libre que dans sa cité. Les institutions politiques ont beaucoup variés. Il existe des rois traditionnels et des

que les romains pendant des siècles vont se méfier du pouvoir personnel mais il y a un système dit républicain qui n’a cependant rien à voir avec le système républicain actuel. Le système républicain romain n’est pas une démocratie, la vraie démocratie c’est la démocratie athénienne à l’époque de Périclès avec une assemblée populaire. Ce système d’assemblé populaire n’est pas le système romain. Le système romain est oligarchique, c'est-à-dire que tout est fait pour qu’un petit nombre exerce le pouvoir

l’autarcie économique (éviter de dépendre de l’étranger). La cité est maitresse de son régime politique. Elle ne doit pas payer d’impôts (tribut) à une puissance étrangère. Tous les habitants ne sont pas des citoyens (être né d’un père et d’une mère athéniens). Mais il y a des hommes libres et non citoyens (métèques), qui habitent la cité d’Athènes depuis des siècles. Un homme n’est reconnu libre que dans sa cité. Les institutions politiques ont beaucoup variés dans l’espace et dans le temps. Il existe