Des glaneuses

personnels, au sens qu’il lui est permis de s’adresser au public en tant qu’artiste. Ses films sont reconnaissables par leurs thèmes et par leurs aspects. Nous verrons quels sont ceux-ci au travers d’extraits de Salut les cubains, Les glaneurs et la glaneuse et Les plages d’Agnès. Salut les cubains est un documentaire en noir et blanc de 27 minutes, réalisé en 1963. Agnès Varda aime filmer les engagements politiques avec émotion, elle raconte ici la vie à Cuba quatre ans après l’arrivée de Fidel Castro

Filmer le réel Corpus: Agnès Varda, Les Glaneurs et la Glaneuse, documentaire sorti en 2000 Agnès Varda, Deux ans après, documentaire sorti en 2002 Agnès Varda de son vrai nom Arletta Varda, est née à Ixelles en Belgique, réalisatrice, photographe et plasticienne, elle est à l'origine des films comme "La Pointe courte" (1955), "Cléo de 5 à 7" (1962), "Sans toit ni loi" (1985) et bien évidemment "Les Glaneurs et la Glaneuse" (2000), sans oublier "Deux ans après" (2002). Née d'un père Grec et d'une

simple et traditionnelle, donne à lire un sens d’effort (les glaneuses) ou de recueillement ( l’angelus). « Les Glaneuses » 1857. L’avant plan est fortement marqué par les trois glaneuses, la lumière est douce, mais cette lumière rasante accentue le dos courbé et la position pénible des glaneuses. Au point de vue du sujet, contraste important entre la récolte abondante du bourgeois derrière et les quelques épis récoltés par les glaneuses. Opposition entre le pauvre et le riche. « L’angélus »

simple et pittoresque. , mais va peu à peu se tourner vers le paysage de la vie quotidienne. Sa démarche est donc différente car il met en avant par exemple le paysan. Participe à beaucoup de salons à parti du milieu du 19ème. * Les glaneuses. Les glaneuses sont chargées de ramasser les épis de blé après la moisson. Représentées dans le labeur du travail des champs. Peint de manière relativement traditionnelle. Mais sont peintes de manière structurale (il leur donne une sorte de poids).L’horizon

très dignes. Au second plan, c’est l’abondance qui est représentée. Le personnage à cheval peut être le propriétaire qui surveille la moisson et qui veille à ce que les glaneuses arrêtent bien leur travail au coucher du soleil. L’abondance des meules et de la charrette contraste avec le champ rasé sur lequel travaillent les glaneuses. Les Constructeurs, huile sur toile de Fernand Léger. Fernand Léger avec Braque et Picasso participe au lancement du cubisme. Le tableau, de très grande taille, témoigne

Stendhal 3) Gustave Flaubert 4) Balzac 5) couverture du livre le Père Goriot de Balzac 6) Gustave Courbet 7) Un enterrement à Ornans, Gustave Courbet (1849, huile sur toile) 8) Jean-François Millet 9) Honoré Daumier 11) Des glaneuses, Jean-François Millet I] naissance et évolution du mouvement réaliste a) Contexte historique et social En art comme en littérature le réalisme a été le mouvement dominant de la seconde moitié du XIXème siècle. C'est un mouvement en étroite

s’asseyait dans le fossé (…) » « Et Polyte, le cocher (…) » Page 78 et 79 : « Elle posait à terre ses marchandises, et s’asseyait dans le fossé (…) » « Et Polyte, le cocher (…) » voç Les Glaneuses De Millet Date : 1857 Technique/Support : Huile sur toile Mouvement : Réaliste Les Glaneuses De Millet Date : 1857 Technique/Support : Huile sur toile Mouvement : Réaliste Ligne 1 p75 : « Le soleil de midi tombe en large pluie sur les champs.» Ligne 1 p75 : « Le soleil de

qui sévit à Paris en 1849 et il s’installa à Barbizon où il créa son atelier. C’est dans cet atelier qu’il réalisa la majeure partie de ses œuvres. La plupart font scandale comme La Récolte des pommes de terre (1855), Angélus (1858) ou encore Les glaneuses (1857). En effet le public bourgeois est outré par la représentation de paysans travaillant aux champs. Il n’est pas habitué à ce genre d’œuvres et préfère des toiles représentant des activités plus nobles. Le peintre disait : « ce n’est pas le

et l’atelier du qui représente fidèlement le lieu de travail d’un artiste sans aucune trace de romantisme . D’autres artistes suivent ce courant dont Jean François Millet «  les glaneuses », des paysannes recherchant des épis de blé pour se nourrir. Théodore de Rousseau «  la clairière dans la petite futaie » , Rosa Bonheur «  labourage nivernais »

justice enclin ; Il n'avait pas de fange en l'eau de son moulin ; Il n'avait pas d'enfer dans le feu de sa forge. Sa barbe était d'argent comme un ruisseau d'avril. Sa gerbe n'était point avare ni haineuse ; Quand il voyait passer quelque pauvre glaneuse : « Laissez tomber exprès des épis », disait-il. Cet homme marchait pur loin des sentiers obliques, Vêtu de probité candide et de lin blanc ; Et, toujours du côté des pauvres ruisselant, Ses sacs de grains semblaient des fontaines publiques