Désertion

responsabilité. En effet, c’est lui qui envoie les gens se faire tuer. Néanmoins, il ne déserte pas par lâcheté mais par conviction et incite les gens à suivre son exemple. Il prône pour le non violence. C’est un appel à la paix. Il est conscient de sa désertion et des conséquences, qu’il se met hors la loi: ils’attend à être arrêté ou bien tué ("vous pourrez dire à vos gendarmes que je n’aurai pas d’arme et qu’ils pourront tirer") 3.La musique : Rapport musique/texte. Caractère: sombre, grave, solennel

Churchill rappelle ensuite que certaines choses furent déjà faites: il parle de l’ancienne idée de l’Union européenne, du grand Français Aristide Briand, de la S.D.N. , dont le défaut ne résidait pas dans des principes, mais qui fut minée par la désertion de certains pays. Il déclara que ce désastre ne devait pas recommencer, et que son ami, le président Truman, a déjà prouvé son intérêt à ce sujet, dans le cadre des Nations-Unies. Parlant de l’Allemagne, il dit qu’on ne peut pas oublier les crimes

à tous leurs actions pour le bien de tous. Les roulements de tambour arrivent à la fin, laissant imaginer l'horreur d'une fusillade de ces malheureux soldats. Le déserteur de Boris Vian est à la fois un chant de protestation, en faveur de la désertion -chose qui choqua l'ordre établi au moment de sa parution et un poéme selon ses caractéristiques de base. Cette chanson adressée au president met en scéne un homme dont la famille a subi une guerre injuste et qui décide de déserter plutôt que de

several advantages conceptually. First of all, they allow the exploration of the reactions of the various peoples on a scale that goes from the individual to the collective. Refusal, for example, spans a gamut of comportments from self-mutilation, desertion and collective revolt to revolution. As for acceptance, it may be collective – a locality or regiment in August 1914 - or individual – that of the death of a loved-one – or oneself – in the name a belief, whether it be patriotic, religious, ideological

s’adresse au Président, avec la virulence d’un homme convaincu, et se permet de l’interpeler par ses vers qui frapperont si fort "S’il faut donner son sang, allez donner le vôtre, vous êtes bon apôtre, Monsieur le Président". Il appelle clairement à la désertion, chose insensée à l’époque, en conjurant son auditoire de ne pas obéir "Refusez d’obéir, refusez de la faire, n’allez pas à la guerre, refusez de partir". La chanson est diffusée pour la première fois en 1954, et choque par son propos antimilitariste

expliquer ce qu’il veut faire après avoir déserter : il partira sur « les chemins » utilisation du futur « J’irai sur les chemins » : message de vie. La dernière strophe est plus agressive car elle affiche clairement le désir d’ouvrir le monde à la désertion afin de ne plus vivre dans la peur et la mort. Boris Vian veut que chacun « refuse » cette situation en n’allant plus combattre et propose au président d’y aller lui-même. En plus d’une organisation au sein du poème, l’écriture montre une structure

l’empereur ». Leur puissance devint de plus en plus important et l’Etat, à la fin du IVème devint un Etat oppressif de tel sorte que l’une des principales préoccupations de la population fut de fuir l’autorité impériale soit l’empire romain. B) Une désertion générale. Les exactions de l’administration a finalement mené à une lamentation générale. Afin d’échapper aux exigences de l’empire romain, les uns cherchèrent à fuir l’autorité publique, d’autre leur condition social et se beaucoup se réfugèrent

points de vue et les oppositions ? Ce passage fait allusion à l’histoire contemporaine, de 1756 à 1763, la guerre de 7 ans fait rage (GB et Prusse contre France et Autriche), les massacres sont fréquents, les enrôlements forcés, tout comme la désertion avec les châtiments. + Annonce du Plan I- La valorisation de la guerre A) L’aspect esthétique *Qualités esthétiques mises en avant telles que la beauté, l’élégance, la lumière et l’ordre, qui font penser à un spectacle.

est d'ailleurs lui même responsable de la mort du « petit breton ». « Le petit breton » : un autre personnage représentant la guerre. C'est un soldat qui fuit le front avec un autre déserteur, tout les deux sont interceptés et jugés coupables de désertion par le colonel Matziev mais aussi ignoblement chargés du meurtre de « Belle de jour » par les villageois. En accusant ainsi deux représentants de la guerre les villageois montrent qu'ils tiennent la guerre pour responsable de leurs problèmes. Ce

déserteurs (15 000 exécutés/22 000), des hommes partagés entre la loyauté et le dégoût qui cherchait un moyen de ne pas pris pour complice. Le principe formulé par Hitler dans Mein Kampf se rattachait à cette image : «  Le déserteur doit savoir que sa désertion entraîne justement ce à quoi il veut échapper. Sur le front, on peut mourir ; en tant que déserteur, on est certain de mourir. » l'essentiel était de propager la peur et la terreur en prononçant des peines exemplaires et d'agir pour ranimer l'envie