Destin Et Fatalité Dans Phédre

s'accentue par le langage. La représentation d'un héros tragique fasse à une fatalité ou d'un héros ayant un destin à suivre, sont des personnages invraisemblables, dans la réalité l'homme ne se soucis pas du destin, il ne se remet pas constamment en cause. Les hommes contrairement au personnages dans le théâtre n'ont pas que deux finalités: une issue heureuse ou malheureuse. On sent bien dans Antigone de Sophocle, la fatalité et la tragédie du personnage, entre mourir et effectuer son devoir familiale

transportée à Athènes où elle épouse le roi Égée. Commentaire Médée était, avant Euripide, figée dans un appareil mythologique un peu simpliste (la sorcière, les filtres, le sang) qui occultait le drame humain qu'elle traverse. Elle avait le destin, entouré d'un parfum de soufre, d'une femme en proie à une jalousie barbare et infanticide, qui incarnait la transgression absolue, littéralement l'Innommable. Mais Euripide, s'il montre clairement l'étendue de ses crimes, nous invite aussi à la comprendre

Commentaire de Roméo et Juliette, SHAKESPEARE 5. Commentaire de Dom Juan, MOLIERE 7. Commentaire de Phèdre, RACINE 8. Commentaire de Les Caprices de Marianne, MUSSET 9. Commentaire de Les Fleurs du Mal, BAUDELAIRE 10. Commentaire de Tristan et Yseut 11. Conclusion Annexe 12. Extrait de Roméo et Juliette, SHAKESPEARE 13. Extrait de Dom Juan, MOLIERE 14. Extrait de Phèdre, RACINE 16. Extrait de Les Caprices de Marianne, MUSSET 17. Extrait de Les Fleurs du Mal, BAUDELAIRE

humaine (le mal, les passions dévastatrices, la mort, l’amour impossible). Cet être est le plus souvent un personnage d’exception. Il se comporte avec héroïsme face à une situation sans issue: un destin fatal, cruel, inexorable, qui se met en marche et ne peut être arrêté (Oreste: “Je me livre en aveugle au destin qui m’entraîne” Andromaque). Comme explique Anouilh dans Antigone la tragédie semble une machine qui démarre pour une cause insignifiante (“On donne un petit coup de pouce pour que cela démarre”)

représenter sur scène que ce qui ne choquera pas le public. On écarte la violence physique mais aussi l'intimité physique. Les scènes violentes doivent ainsi être racontées par un personnage. Quelques exceptions sont restées célèbres comme les morts de Phèdre et de Don Juan dans les pièces éponymes de Racine et de Molière ainsi que la folie du personnage d'Oreste dans Andromaque. Tragédie Portrait de Racine. La tragédie n'existe pas pendant le Moyen Âge français. Elle renaît au cours du XVIe siècle

remarque aussi que l’amour que ressent la présidente à l’égard de Valmont est perçu comme négatif, presque comme une malédiction dont elle a été la victime. Certains éléments nous indiquent la présence d’un destin tragique à l’aide du registre tragique, comme les références à la divinité et au destin (« une grâce » l. 6 ; « le ciel » l. 30 ; « une faute » l. 32», la thématique de la mort («tombeau » l. 3 ; « m’ensevelir » l. 5) est également évoqué. Les paroles de la présidente sont tragiques, comme

morale très rigoriste, contrairement aux jésuites qui, face au péché, demeurent indulgents. Il existe une « querelle de la grâce » entre les jansénistes et les jésuites. En effet pour les premiers l’homme ne possède pas de libre-arbitre puisque son destin est déjà écrit. Dieu est tout-puissant et détermine lui-même la destinée de chacun, il n’accorde sa grâce qu’à de rares élus. Pour les jésuites, l’homme détient un libre-arbitre, lui-seul bâtit son avenir et le chemin vers la grâce. A partir de 1637

humain se trouve confronté à des forces qui le dépassent, s'opposent à lui et le conduisent à sa perte, quels que soient ses efforts pour y échapper. La nature des forces desctructrices est diverse, elles sont extérieures au héros : le destin, les dieux, la fatalité, ou intérieures : les passions : l'amour. Leur résultat est toujours la mort à l'issue d'une lutte inégale et souvent désespérée. Le registre tragique est toujours associé à la mort, à la souffrance et au sentiment d'une injustice.

de la terreur. Le spectacle est une catharsis c’est-à-dire une purgation des passions par la représentation dramatique ( drame = action): assister aux atrocités qui arrivent au héros libère le spectateur des ses émotions. Fatalité : On parle toujours de « fatum », du destin qui écrase le héros tragique. Le héros tragique est victime à la fois de la volonté des dieux, d'un coefficient de hasard et de son erreur. Le héros a commis le « péché » d'hybris (la religion grecque antique ignore la notion

Benjamin Constant (Coppet) contre les th classiques lien entre politique et esthetique theatrale sociéter va influer sur le comportement de l'homme pas d'unité de lieu et de temps pour pouvoir montrer ca sur scène début des eprso secondaires, destiné de plusieurs personnages « couleur locale « preface de cromwell = realisme historique L'infuence allemande est avant gardiste : Diderot ? Allemagne ? Coppet ? France Le drame romantique allemand inspire le drame romantique français.