Deux dogmes de l'empirisme

cependant pas clairement établie3. D'autre part, l'épistémologie « continentale » peut également traiter d'objets non scientifiques4. Le mot est également employé parfois pour désigner telle ou telle théorie de la connaissance. La différence entre ces deux traditions portera donc sur l'attention portée à la connaissance scientifique plutôt qu'à la connaissance générale. Jean Piaget5 proposait de définir l’épistémologie « en première approximation comme l’étude de la constitution des connaissances valables »

principale thèse que Quine exposera. Le naturalisme fait partie de la philosophie de notre protagoniste mais ne suffit pas tout seul. Il faut également y attacher un profond empirisme que tiens à cœur Quine. Sa principale tâche sera de défaire l’empirisme de ces dogmes pour mieux le reconstruire et le mettre au centre de sa philosophie et c’est notamment en cela que Quine reste dans les mémoires. Pour comprendre la suite, il faut savoir que Quine va opérer un grand travail sur le langage et sur la façon

W. V. O. Quine, « Les deux dogmes de l’empirisme », 1951, (trad. Dans Jacob, De Vienne à Cambridge). Critique des deux dogmes sur lesquels reposent l’empirisme moderne : 1- la distinction radicale entre vérités analytiques (fondées sur les significations, indépendamment des faits) et les vérités synthétiques (fondées sur les faits). 2- Le réductionnisme : croire que chaque énoncé doué de signification équivaut à une construction logique à partir de termes qui renvoient à l’expérience immédiate

métaphysiques inconnaissables par l'homme. Il s'agit de faire revenir la raison pour lutter contre des dogmes irrationnels et autoritaires. Les deux ennemis des philosophes de cette époque sont alors la superstition et l'enthousiasme. Il s'agit, dans ce texte, en réalité pour lui de comprendre comment les prêtres et autres religieux parviennent à avoir autant de pouvoir sur les hommes. Fidèle à l'empirisme, doctrine qui postule que la naissance de toutes les idées et les connaissances s'appuient sur nos

Plan Introduction I-DOGMES 1-religion 2-philosophie II-Autorité 1-Roi 2-Gouvernent Conclusion Introduction Le XVIII siècle est un siècle de contestation social, politique, morale et religieuse dont l’encyclopédie est le symbole. Mais parmi tous les genres littéraires repris par les philosophes, comme le roman, l’assai, il en est un qui se distingue,

considérées comme des vérités objectives indépendantes de l'observateur. Les Transcendantalistes américains ont adopté ces idées dans leur conception de la nature et de la spiritualité, cherchant à élargir la notion de connaissance au-delà des limites de l'empirisme et du rationalisme. Prenons un exemple pour illustrer la conception kantienne de l'intuition et de la subjectivité. Si vous regardez une pomme, votre esprit reçoit des informations sensorielles sur la couleur, la forme, l'odeur et la texture

-relativisme :Le relativisme est une doctrine ou un mouvement de pensée qui affirme qu'il n'existe pas de vérité absolue . -empirisme : Théorie philosophique selon laquelle la connaissance que nous avons des choses dérive de l'expérience. Empirisme moderne :  L'empirisme aurait percé dans le champ scientifique grâce à ses liens étroits avec l'éthique protestante et puritaine. -maïeutique : Art de Socrate avec lequel il accouchait les esprits de ses interlocuteurs, c'est-à-dire leur faisait découvrir la vérité

Ce schéma, apparemment simple, est demeuré en vigueur dans les sciences expérimentales de Bacon jusqu'au XXe siècle, date à laquelle certains l'ont remis en cause (Pierre Duhem en 1906 [6]. En effet, selon l'article célèbre de Quine, Les deux dogmes de l'empirisme, il n'existe aucune « expérience cruciale », qui puisse permettre de confirmer, ou non, un énoncé scientifique. Quine soutient en effet une position holiste, qui ne dénie pas tout rôle à l'expérience, mais considère que celle-ci ne se rapporte

l'état et pour tout dogme religieux indépendance, respect et tolérance. Elle permet la coexistence de différentes opinions. Cent ans d'histoire ont permis de dégager deux conceptions de la laïcité. La laïcité, espace de tolérance Le Franc-maçon, du moins dans les obédiences adogmatiques, est libre de croire ou de ne pas croire. Les deux piliers de la laïcité sont : - La liberté de conscience - et l'égalité de tous devant la loi une notion qui procure des droits et des obligations, qui sert à réunir

l’homme, des connaissances « fondamentales » aujourd’hui quasi universellement admises. Quelles relations ont-elles entretenues au fil du temps ? Quelle crédibilité peut-on et doit-on accorder à leur postulat respectif ? Une coexistence entre ces deux concepts apparemment antagonistes, est-elle possible ? Face à la complexité et à l’apparente hostilité du monde extérieur, l’être humain a cherché à comprendre le Monde, à en décrypter les mécanismes, ne serait que pour pouvoir y vivre. De nombreux