Diérèse

l’alternance des octosyllabes et des alexandrins cela met du rthme au recit.Les ruptures créent des effets de sens avec v3 et v4 8 et 12 syllabes atteint par la diérsèse Li-on , consaliti-on , afflicti-on, dierese pas possible dans la prose Abus de pouvoir du lion qui se traduit par les diereses suivantes , par l’allongement de sa designation qui donne un caractère d’appuie Jeux de mots avec etre et paretre et cesure a l’hemistice vengez la reine/immolez tous Enjambement montrant le glissement

Exemple : « Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne » (Victor Hugo) Dans ce vers, les trois e sont muets : les deux premiers sont suivis d'une voyelle, le troisième est situé en fin de vers. Diérèse et synérèse Deux autres phénomènes influent sur le compte des syllabes : la diérèse et la synérèse. Ces deux phénomènes concernent l'association de deux voyelles, dont la première est un i, un u ou un ou. Dans le langage courant, on a tendance à prononcer ces associations en une seule

« Le Bateau ivre », Rimbaud, v.1 à 24. Alexandrins v.5 : « j’étais insoucieux » : diérèse v.9 : « les clapotement furieux » : diérèse v.16 : « l’œil niais » : diérèse v.11-12 : « et les Pé-ninsules démarrées » / « tohus—bohus » : césure qui pose souci : on ne coupe jamais en plein milieu d’un mot : pas de césure pour ces vers-là Vocabulaire : * Haleur : vient de « haler » : tirer vers soi avec force, faire avancer un bateau en le tirant * Péninsules : grande presqu’île (île reliée

Exemple : « Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne » (Victor Hugo) Dans ce vers, les trois e sont muets : les deux premiers sont suivis d'une voyelle, le troisième est situé en fin de vers.  Diérèse et synérèse Deux autres phénomènes influent sur le compte des syllabes : la diérèse et lasynérèse. Ces deux phénomènes concernent l'association de deux voyelles, dont la première est un i, un u ou un ou. Dans le langage courant, on a tendance à prononcer ces associations en une seule syllabe :

construction v.39 Emploi du vocatif 2 fois « ô reine des glaces » v.42, « ô ma beauté » v.45 Amour marqué par l’emploi des adjectifs possessifs « mon » « ma » associé à un terme très fort « passion » v.40. Mis en valeur par la rime, fin de strophe et diérèse PASSI-ON B. La promenade du couple Image d’une promenade donnée par l’évocation du « sentier » v.3 Importance de la nature avec le champ lexical qui donne l’atmosphère bucolique au poème « nature » v.11, « ciel » v.13, « fleur » v.14, « l’eau

Exemple : « Demain, dès l'aube, à l'heure où blanchit la campagne » (Victor Hugo) Dans ce vers, les trois e sont muets : les deux premiers sont suivis d'une voyelle, le troisième est situé en fin de vers. Diérèse et synérèse Deux autres phénomènes influent sur le compte des syllabes : la diérèse et lasynérèse. Ces deux phénomènes concernent l'association de deux voyelles, dont la première est un i, un u ou un ou. Dans le langage courant, on a tendance à prononcer ces associations en une seule syllabe :

| | | |2 |Square où tout est correct, / les arbres et les fleurs, B |Diérèse, allitération |Personnification : arbres, fleurs corrects | | |1 2 3 4 5 6 / 7 8 9 10 11 12 |

des vers. Attention aux e muets, aux diérèses, aux enjambements. Rappelons ici au sujet des e muets que toute syllabe contenant un e muet compte pour un pied si le e se trouve devant une consonne ou un h aspiré. Il faut alors prononcer distinctement le e. La diérèse se rapporte à deux voyelles que l'on prononce de manière à en faire deux syllabes au lieu d'une. Par exemple, violon peut être prononcé vio-lon (2 pieds) ou vi-o-lon (3 pieds, c'est une diérèse). L'enjambement se rapporte à deux vers

: figure par laquelle  un orateur ( ou poète )  se détourne de son développement, l' interrompt pour s' adresser à une personne où à une chose personifiée. Assonance : Son voyelle qui se répète Césure : coupe principale du vers Diérèse : On appelle diérèse la séparation en deux syllabes de 2 voyelles en contact Distique : Strophe de deux vers Enjambement : le mot désigne le fait qu 'une phrase se poursuit d' un vers sur l' autre sans que l' on puisse marquer une pause Hémistiche

Emploi du vocatif 2 X : « ô la reine des grâces » 42, « ô ma beauté » 45 Amour marqué par l’emploi de l’adjectif possessif « mon », « ma » associé à terme très fort : « passion » 40 . mise en valeur par place à la rime, fin de strophe et diérèse : passi-on une promenade amoureuse ? Image d’une promenade donnée par l’évocation du « sentier » v.3 Importance de la nature qui donne une atmosphère bucolique au poème : «  nature » 11, « ciel » 13, « fleur » 14, « l’eau courante et