Diptyque

Que peut une image de guerre ? Proposition de réponse avec le diptyque photographique Dreadful Details composé par Eric Baudelaire. Cette composition, « grande machine » sur la forme moderne des conflits, revisite toutes les images de guerre qui nous hantent. Éric Baudelaire est allé photographier la seconde (ou la troisième) guerre d’Irak à Hollywood, dans les décors des séries télévisées qui se tournent actuellement, Over There en tête. L’oeuvre qui en est ressortie apparaît à la fois comme

dans le passé, à ménager un effet de retour en arrière et d’anticipation. Vous pouvez librement utiliser la 1ère ou la 3e personne.   Séance n°4 : L’art du portrait p.15 et 16 Les élèves observent tout d’abord quelle est l’organisation de ce diptyque : Virginie puis Paul ; ils peuvent d’ores et déjà pressentir que Virginie est un personnage plus important que Paul dont le narrateur n’esquisse le portrait qu’à titre de comparaison. Dans les deux portraits, c’est l’aspect physique, le regard notamment

ou symboliques de la virilité (comme la statue océanienne au phallus articulé), alors que le poème, très serein, affirme la certitude de la puissance créatrice : « J’assemble tous les paysages […] / J’entre au bois diamant ». L’entité originale du diptyque dessin-poème  s’offre donc souvent comme une sorte d’énigme au lecteur, dans la mesure où l’absence de rapport direct entre les deux éléments le constituant semble l’emporter. Le couple éponyme « Les mains libres » constitue ainsi une mise en abyme

symboliques, des personnes réelles et mythologiques de l'histoire de Pérouse et du monde. Bassin inférieur Récipient inférieur avec 50 reliefs fixés dans 25 des panneaux ou des diptyques La partie inférieure du bassin est la plus complexe. Il dispose de 50 bas-reliefs figurant dans 25 des panneaux ou des diptyques dépeignant: 1. L'expulsion du paradis terrestre (un panneau). 2. L'histoire politique et morale (six panneaux). 3. Le travail manuel effectué pour chaque mois de l'année (douze panneaux)

cerner l’expérience de l’auteur : ce texte peut se lire comme une évocation métaphorique de l’itinéraire personnel de Colette. 1°) Un texte construit en diptyque. - Sans expliciter totalement le sens de ce récit animalier, le texte l’éclaire à travers une structure en diptyque qui creuse l’analogie entre Colette et le rossignol. EX : Le diptyque se lit entre la partie du récit et les lignes 28 à 32. « Une nuit de printemps » (l. 7) / « tandis que dans mon printemps » (l. 28-29) ; « et ne faisait

ou symboliques de la virilité (comme la statue océanienne au phallus articulé), alors que le poème, très serein, affirme la certitude de la puissance créatrice : « J’assemble tous les paysages […] / J’entre au bois diamant ». L’entité originale du diptyque dessin-poème s’offre donc souvent comme une sorte d’énigme au lecteur, dans la mesure où l’absence de rapport direct entre les deux éléments le constituant semble l’emporter. Le couple éponyme « Les mains libres » constitue ainsi une mise en abyme

rompre avec cette beauté que nous avons énoncé en première partie. En effet, à la manière d'un peintre, Chateaubriand réalise un diptyque ou la toile de fond est la nature. 1- Métaphore de la colonisation et de la barbarie. Le diptyque est très clair, d'un côté nous trouvons l'évocation d'un paysage sublimé par l'emploi d'adjectif mais très vite l'autre face de ce diptyque apparaît avec des explications comme « rivières de sang ». Chaque élément de la nature occupe un rôle important. En effet,

logiciel donnant d'une photo un aspect différent, par incorporation d'une ou plusieurs parties ou de la totalité d'une autre photo et permettant toutes retouches et trucages. (source Wikipédia). Le genre de l’œuvre : La nature de cette œuvre est un diptyque (comportant deux panneaux) vertical, composé de la photo d’un bas relief sur la partie supérieure de l’œuvre et d’un photomontage sur la partie inférieure. Le contexte de création : Acteur du très politique groupe dadaïste de Berlin avec George Grosz

Ronsard, prince des poètes et poète des princes est un poète humaniste du 16ème siècle de la Renaissance notamment connu pour avoir formé en 1550 la Pléiade. Dans ses recueils de poèmes, Ronsard a cherché à sublimer les femmes qu’il a aimé dont les plus connues sont Marie Dupin, Hélène de Surgères et Cassandre Salvialti, rencontrée à une fête de la cour d’Henri II.L’Ode à Cassandre est le 17ème poème du livre des Odes, un ouvrage de cinq tomes ayant pour but de rivaliser avec les formes les plus

l'annonce conjointe des morts d'Hitler et de Mussolini. Leur mort quasi simultanée donne l'occasion à De Gaulle de dresser un double tableau de ces deux hommes. On peut constater une certaine symétrie parmi ces deux portraits qui donnent lieu à un diptyque. Mais malgré cela les deux portrait se différencient dans le point de vue différent dans le traitement que fait l'auteur de chacun de ces dictateurs. Le chiasme dans lequel de Gaulle annonce la mort d'Hitler puis celle de Mussolini dont il présentera