Dogme

Platon ) Sceptique: école de philosophie fondée par Pyrrhon d'Élis qui considère que l'on ne peut jamais être certain d'avoir atteint la vérité. / Le but du sceptisisme: pratique de l'épochè ( suspension du jugement ), en s'affranchissant de tout dogme, le sceptique se donne la possibilité d'atteindre l'atarxie ( absence de trouble de l'esprit.) Dogmatisme: Fonde la possibilité de l'accès a des vérités absolues sur une confiance en la raison. Aristote: L'homme est doué de raison, Tous les hommes

renoncer à sa religion. En parlant de religion, on ne parle pas seulement des religions qui ont un dogme. Définition: La religion est l'ensemble des croyances, sentiments, dogmes et pratiques qui définissent les rapports de l'être humain avec le sacre ou une divinité. Une religion particulière se définit par des éléments spécifique à une communauté de croyants (sacrement, lieux de culte, dogme, pratiques, livres) La plupart des religions ce sont développées a partir d'une révélation s'appuyant

que les individus ont un accès à la vérité, qui se fait le plus souvent par les sentiments. De plus, on peut parler d’incontestabilité par le Dogme religieux, il doit être accessible à la raison, on peut prendre pour exemple le dogme catholique : la révélation est complètement et définitivement donnée en Jésus Christ. Et si un individu conteste ce dogme, c’est qu’il n’adhère pas à la religion catholique et donc ne peut contester cette vérité puisqu’elle est incontestable.  De plus, le maitre religieux

La science vs la religion La religion est ce qu’on appelle une croyance. Elle est basée sur plusieurs ensembles de croyances, de sentiments, de dogme et de pratiques religieuses axés sur les rapports humains, les choses sacrés et sur les dieux. La science elle, veut savoir à partir de chose exact, des calculs précis et de méthode stricte. Elle est basée sur des ensembles de connaissances, sur l’étude d’une valeur universelle. Tout deux n’ayant pas les mêmes objectifs et les mêmes valeurs, elles

coûtent cher. Elles sont financées principalement par la dîme. Un impôt obligatoire. L’Église est quant à elle exemptée d'impôts.   III - Une Église en lutte contre les infidèles A La répression des hérésies. Les hérétiques (ceux qui s'éloignent du dogme) se multiplient dans le même temps : Cathares, Vaudois… La réponse de l’État et de l’Église est vive : Croisade albigeoise (sur le territoire français). Création du tribunal de l’inquisition  Conclusion La religion et l’Église dans la société médiévale

d'apocalypse... Les certitudes y abondent : supprimez-les, supprimez surtout leurs conséquences : vous reconstituez le Paradis. Qu'est-ce que la Chute sinon la poursuite d'une vérité et l'assurance de l'avoir trouvée, la passion pour un dogme, l'établissement dans un dogme ? Le fanatisme en résulte - tare capitale qui donne à l'homme le goût de l'efficacité, de la prophétie, de la terreur -, lèpre lyrique par laquelle il contamine les âmes, les soumet, les broie ou les exalte... N'y échappent que les

rendre, ou de la majestueuse Fès, remémorez-vous les versets du Coran. Comprenez-vous ? Et oui notre Coran, nos croyances et nos pratiques sont bien semblables à ceux de Luther. En effet les Chrétiens de la contre réforme sont reliés a Dieu par le dogme comme nous à Allah. Parlons en de ceux que les deux religions nomment « le tout puissant » ou encore « le Très Haut ». ils sont tous deux considérés et par tous comme des êtres supérieurs, créateurs de l’univers et dont la volonté ne souffre aucune

finitude de l’être humain. La philosophie se présente donc comme un remède face a ses anguoisses, tout comme la religion bien que la substance soit différente. Le cheminement philosophique exploite en effet la raison pour tracer sa route alors que le dogme religieux s’appuie sur la foi. Cet écart de méthode ne fût pas sans céer quelques tensions ou commentaires entre l’une et l’autes des parties. La pratique chrétienne dans les 1e temps considère les philosophes cilles des personnes arrogante, manquant

automates 3§ : principes de la connaissance : le philosophe arrive à la connaissance après observation. Le philo. agit après avoir réflexion sur la science des faits. Philosophe = il se connaît lui même, réfléchi par lui même. Le peuple accepte le dogme au contraire du philo. II) Fondation d’une morale laïque Le philo. Se situe hors du champ religieux. La religion de la connaissance remplace la religion. Il refuse toute vérité révélée. Ainsi la science des faits remplace la réflexion métaphysique

son empire, il s’affaire de les résoudre. En effet lors de son règne dans le royaume franc, l’Eglise est très diversifiée. Les conciles mérovingiens ou plutôt les synodes provinciaux avaient formées une certaine unité de l’Eglise séculière. Le dogme était à peu près le même partout, mais la liturgie était très variable, ainsi que la discipline interne. Et de nombreuses altercations étaient à l’ordre du jour dans le domaine ecclésiastique. L’une des principales controverses qui altérait l’atmosphère