Dogme

philosophique ; il se constitue davantage sur une pluralité d'essais philosophiques portant sur divers thèmes, convergeant dans une même critique de la religion et du dogme (Opinion indiscutable, vérité absolue). Une réflexion naît sur les rapports entre la foi et la raison. Les Grandes Découvertes géographiques ébranlent le dogme de l’univers chrétien au centre du monde. La redécouverte des chefs-d’œuvre païens démontrent que l’art et la beauté peuvent exister en dehors de toute référence chrétienne

ironique des prêtres se fait par gradation. L’auteur commence en effet à faire le portrait de ce que devrait être un prêtre d’après le dogme et finit par la dénonciation de la prise de pouvoir au niveau religieux et politique sur les fidèles. À la ligne 6 les verbes « frapper » et « imprimer » montrent bien que l’auteur pense que les fidèles « subissent » le dogme enseigné par les prêtres. D’Holbach remplace même le mot « foi » par le terme « superstition » à la ligne 7, il veut nous montrer que les

croire ? Dieu est-il mort ? Avec le dogme,la croyance devient-elle vérité ? Dieu est-il sensible au cœur ? Le savoir exclut-il la croyance ? La croyance,est-ce le délire ? La foi exclut-elle tout recours à la raison ? La croyance n ’est elle qu ’une consolation pour les "faibles " ? La foi précède,l ’intelligence suit ? A quoi reconnaît-on une attitude religieuse ? La foi soulève-t-elle les montagnes ? Entre croire et savoir,faut-il choisir ? Une religion sans dogme est-elle possible ?

Esprit »)(p40). En effet, Flaubert écrit a Louise Colet en 1853 « La superstition est le fond de la religion, la seule vraie, celle qui survit sous toutes les autres. Le dogme est une affaire d’invention humaine. Mais la superstition est un sentiment éternel de l’âme et dont on ne se débarrasse pas. »(Gustave, 2006). Flaubert n’insiste pas sur le dogme religieux mais la superstition de Félicité est bien réelle comme nous venons de le voir. Un cœur simple joue beaucoup sur le thème de la sainteté. On retrouve

travail, le repos à l’inverse, est insupportable puisqu’il laisse libre court au tourment provoquée par la réflexion Le cœur nous communique le sentiment du mystère divin, et c’est sur ce mystère que repose le paradoxe de notre condition. Le dogme du pêché originel permet en effet selon lui de comprendre les imperfections de l’homme en même temps que sa dignité : « l’Homme a perdu sa véritable nature, mais il conserve néanmoins des traces de ce premier état » La misère et la grandeur de l’homme

qui l'empêche de faire véritablement 'uvre d'historien. «Il est une chose, écrit Renan, qu'un théologien ne saurait jamais être, je veux dire historien. L'histoire est essentiellement désintéressée' Le théologien a un intérêt, c'est son dogme: réduisez ce dogme autant que vous voudrez, il est encore pour le critique d'un poids insupportable. «Le théologien orthodoxe peut être comparé à un oiseau en cage: tout mouvement propre lui est interdit.» Renan, on le voit, reste complètement étranger

de même qu’on peut « plaire à l’Etre Suprême par la vertu, sans tenir en mourant une vache par la queue ». 3. le dogme de la Trinité est également attaqué : selon ce dogme, le Père le Fils et le Saint-Esprit ne font qu’un [c’est le sens des paroles qui accompagnent le signe de croix : au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit], et ceux qui au XVIIIe s. nieraient ce dogme fondamental de l’Eglise risqueraient le bûcher, comme l’indien qui a soutenu que « la substance de Xaca n’est pas la substance

 me  conduisent  à  avoir  une  opinion  sur  le  sujet.     Orthodoxie  :     L’Orthodoxie  est  définie  comme  étant  la  conformité  à  une  doctrine  ou  à  un  dogme.   L’OM   se   revendique   d’une   filiation   uniquement   et   est   a-­‐dogmatique,   il   ne   saurait   donc   par  lui  même  se  définir  comme  Orthodoxe.     L’Orthodoxie

physionomie plus claire. Dans la partie orientale on voit de nombreux débats dogmatiques sur la trinité. Ex : Les ariens : ils mettent une hiérarchie ou le père est supérieur au fils. Dogme refusé par la majorité des chrétiens et qui devient hérétiques. Ors les peuples germaniques ont été christianisés sous ce dogme. d. Les conséquences culturelles Avec la centralité de la religion chrétienne, ce sont les intellectuels chrétiens qui vont faire la transition vers la nouvelles culture chrétienne sans

Montesquieu dans De l'esprit des lois : affirme la nécessité de la séparation des pouvoirs. Les femmes accèdent peu à peu à la vie publique. Dénonciation et combat contre l'esclavage. Lutte contre la torture et les châtiments cruels. Religion : Contre le dogme religieux. Volonté de se soustraire à la tutelle. Critique des institutions religieuses. On attaque l'Église, non la foi. Déisme : religion naturelle, croyance en Dieu sans référence à une religion particulière, relation directe de l'homme avec Dieu