Doit On Et Peut On Contrôler La Masse Monétaire

représentations. Montrer la difficulté à définir le phénomène étudié ; jouer entre sa quantification, sa mesure réelle & ses modes de représentation ; voir en quoi la pauvreté interagit avec le reste de la société ; forme de fragilité ; en quoi elle peut aller jusqu’à menacer cette dernière ? I/ LA PAUVRETE, SI ELLE S’AVERE DIFFICILE A DEFINIR PRECISEMENT, APPARAIT ETRE UNE « PRODUCTION NATURELLE » DES SOCIETES Pauvreté est indissociable de la société même. Question est une forme d’aporie

Politique La politique monétaire s'entend de nombre de mesures gouvernementales conçues pour avoir une incidence sur les marchés financiers et les conditions de crédit, dans le but final d'influencer l'économie nationale. Au Canada, la politique monétaire relève de la BANQUE DU CANADA, une société de la Couronne qui met en oeuvre des décisions stratégiques, en grande partie grâce à son pouvoir de modifier la masse monétaire canadienne. La masse monétaire correspond à la partie du patrimoine financier

Francfort en Allemagne, regroupe aujourd’hui seize membres des pays de l’Union Européenne. Avec la création d’une monnaie unitaire, le pouvoir des banques nationales des pays membres a été transféré vers la BCE qui s’occupe aujourd’hui de la politique monétaire de la zone euro. [1] Le président actuel de la BCE est Jean-Claude Trichet, membre des trois différents organes de la BCE, du Directoire, du Conseil général et du Conseil des gouverneurs. [2] L’Eurosystème regroupe la BCE avec les Banques Nationales

des banques centrales…………………………………………………………………………page 14 1.1.1.2. Les modèles avec bulle rationnelle de BERNANKE et GERTLER……..page 17 1.2.2. Stabilité des prix………………………………………………………....page 21 1.1.2.1. Les instruments de la politique monétaire (instruments traditionnels)....page 22 1.1.2.2. Le canal du taux d’intérêt……………………………………………....page 23 1.1.2.3. L’action directe sur le crédit………………………………………….. .page 24 1.1.2.4. Le canal du prix des actifs………………………………………………page 25 1

Selon la conception initiale et conformément à l'étymologie - le terme inflation provient du latin "inflatio" soit enflure -, l'inflation a d'abord été considérée comme l'enflure de la masse monétaire en circulation, principalement des billets en circulation : il y avait inflation quand la banque centrale émettait trop de billets[3]. Il n'y avait donc pas de construction de richesse d'où la hausse des prix. La conséquence directe de l'inflation était alors l'augmentation des prix. Aujourd'hui,

hautement conseillée. Cliquez ici pour une présentation de Maurice Allais. Et cliquez ici pour une version pdf de ce document (impression soignée). La crise mondiale d’aujourd’hui Pour de profondes réformes des institutions financières et monétaires Plan 1. La grande dépression de 1929-1934 et ses enseignements essentiels ....................... 2 La hausse des cours et leur effondrement .........................................................................2 Une hausse des cours de

La politique monétaire est, avec la politique budgétaire, un des principaux vecteurs de l’intervention conjoncturelle des pouvoirs publics (au sens large) dans l’économie. En injectant plus ou moins de liquidités dans l’économie, les autorités monétaires influent sur le niveau des prix, mais aussi sur la capacité des agents à investir ou consommer. En se focalisant sur le niveau des prix, la Banque centrale européenne (BCE) ne s’interdit-elle pas de stimuler la croissance économique en période de

gouvernements ont voulu contrôlé une banque . Cette banque est alors devenue leur propre banquier . La banque de France , créée initialement privée , en 1806 , la direction de la banque est prise par l’état . Le pouvoir exécutif nomme les autorités de la banque , un gouverneur et deux sous gouverneurs . Au bout d’environ 40 ans , la banque de France acquière le privilège d’émission , elle élimine les autres institues d’émission de monnaie . Le billet de la banque ne peut alors être refusé en paiement

vigueur en Europe entre le 16ème et le 18ème et qui est fondé sur la croyance à la prééminence des métaux précieux, l’or et l’argent constituant alors le facteur prédominant de la puissance des nations. Une nation doit donc les accumuler en vendant plus à l’étranger qu’elle ne lui achète. Elle doit donc engager des excédents commerciaux au détriment des autres nations. Cette doctrine a été utilisée surtout par les économistes libéraux du 18ème pour dénoncer la politique d’intervention de l’Etat. A RETENIR :

banque de France, ou au XXème siècle, la FED/la BCE), les grandes controverses sur le rôle de la monnaie dans l’économie et le rôle joué, selon les circonstances, par ces institutions, soit directement via la politique monétaire, soit indirectement via la régulation ( voire le contrôle statutaire) des activités des banques commerciales ou des banques d’investissement. Mais plus encore que les questions de statut ( le plus ou moins grand degré d’indépendance vis-à vis du pouvoir central étant une question