Duché de Bourgogne

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

dévotement une messe. Eh bien ! c’est dit, nous entrerons dans l’église des GrandsAugustins, qui est la plus proche de l’hôtel de Nesle, et nous t’y laisserons, petite. Ces arrangements pris et les préparatifs terminés, on but un coup de vin de Bourgogne. On ajouta aux armes offensives et défensives des marteaux, des pinces, des échelles et des cordes, et l’on se mit en marche, non pas en corps d’armée, mais deux à deux, et à d’assez longues distances pour ne pas attirer l’attention. Ce n’est pas

aisément recouvrer. L'Italie nous en offre un exemple dans le duc de Ferrare ; s'il a résisté, en 1484, aux attaques des Vénitiens, et, en 1510, à celles du pape Jules II, c'est uniquement parce que sa famille était établie depuis longtemps dans son duché. En effet, un prince héréditaire a bien moins de motifs et se trouve bien moins dans la nécessité de déplaire à ses sujets : il en est par cela même bien plus aimé ; et, à moins que des vices extraordinaires ne le fassent haïr, ils doivent naturellement

guerres fratricides. Mais à l’intérieur de chaque royaume issu du traité de Verdun le processus de dislocation du des territoires. Fin 9e s : dans les territoire périphérique (= duché, marche) apparaissent des principautés territoriales dirigées par les dynastie de conte : la Bretagne, la Flandre, la Normandie, la Bourgogne et l’Aquitaine. Début 10e s : ces principauté sont devenu autonome. Celui qui les diriges est un princeps (prince). Mais le processus de dislocation politique ne s’arrête

distendu. De plus, ces entités n’ont pas véritablement assis leur domination. Donc, le sujet des Capétiens peut donc rapidement devenir le sujet d’un autre. Cette maison s’oppose à un autre Royaume dans cette France qui n’existe pas. * Royaume de Bourgogne : de Lyon à Arles. Région riche sur le plan agricole dans une société à 90% paysanne. C’est un véritable Royaume. Il a des frontières, de même que la Maison des Capétiens : on doit s’acquitter d’un impôt pour entrer et l’on est considéré comme un

l’intérieur de chacun de ces trois territoires, l’autorité politique continue de s’affaiblir et de se diviser. S’effectue en deux temps dès la fin du IXe des pans entier de territoires vont échapper au contrôle et on voit se former en Flandre en Bourgogne en Bretagne en Aquitaine ou encore en Normandie des principautés territoriales dont les chefs de ces principautés se rendent pratiquement indépendants du pouvoir central. 2nd temps au XIe siècle, le mouvement de dissociation se propage et c’est autour