Désirer Librement

produit dans l’histoire à travers les lois. I Rectification de préjugés à l’encontre de la liberté Il est très difficile, voir impossible de rectifier un préjugé en ayant recours à des arguments rationnels parce que part nature un préjugé repose sur le désir et la facilité à croire. Cependant il existe de faits un certain nombre de préjugés courant à propos de la liberté qui a défaut de pouvoir être définitivement éradiqué doivent au moins être examinés. a/ être libre c’est faire se qu’il me plaît Cette

formes de violence qu’on peut retrouver dans notre société (agressions, viols, meurtres…) soulignent encore davantage les corruptions de la société. Souvent peu de choses sont à l’origine d’un tel forfait : dans la plupart des cas, il s’agit d’un désir provoqué par la société (envie de ce que possède l’autre et que je n’ai pas, volonté de prouver ma supériorité, de dominer l’autre) qu’on cherche à satisfaire, sans pouvoir se contrôler. Il nous faut la chose, tout de suite, sans délai et le seul moyen

contact avec celle de Roxane. On trouve aussi une comparaison mais très banale : « Car vous tremblez, comme une feuille entre les feuilles ! » Au fur et à mesure de la tirade, Cyrano se « désarm[e] de plus en plus » de l’ « artificiel » et exprime librement, naturellement, « le vrai du sentiment » (vers 1430). B. Vocabulaire : des répétitions, des redondances, qui donnent l’impression du naturel de propos non recherchés.  Répétitions : vers 1441 : « Tous ceux, tous ceux, tous ceux... » (comme s’il

quelqu'un ou quelque chose, et violentus, qui évoque un abus de force. La violence est une force qu'un être impose à un autre ou à d'autres, et qui peut aller jusqu'à la contrainte exercée par l'intimidation et la terreur. L'agressivité implique le désir de faire reconnaître sa puissance par l'autre. Elle ne vise pas sa destruction, bien au contraire, elle en a besoin. Une personne agressive existe par rapport à ce qu'elle fait à l'autre. Elle en a besoin pour se sentir devenir et être soi. Une personne

qui introduit le recours à l’irrationnel dans l’élucidation du fonctionnement mental. Freud nous donne quantité d’exemples dans « Psychopathologie de la vie quotidienne » (1901), notamment quant aux actes manqués ; ces derniers reflètent toujours le désir inconscient de ne pas entreprendre (réaliser, vivre, réussir, etc.) la dite démarche dans laquelle le lapsus ou l’acte manqué survient : une entreprise qui suscite un conflit intérieur tel que ces symptômes en témoignent a peu de chance d’aboutir.

mouvement qui nous conduit à accomplir une action dont l’agent, volontaire, est cause. L’acte volontaire implique le travail d’une intelligence qui puisse poser un objectif précis et construire les moyens en vue de cette fin. Elle doit être distinguée du désir, simple inclination vers un objet dont nous espérons une satisfaction sensible et immédiate. Ainsi, par ex. vouloir réussir à un examen, c'est travailler à ce succès, s’investir en ce sens. Que veulent les hommes? Nous voulons tous les choses que nous

chacun est doté , au sein d’une communauté, d’une indépendance sans limite, alors chacun aura à tout moment à craindre d’être réduit en esclavage, puisque rien n’empêche un individu de décider de priver tous les autres de leur liberté, si tel est son désir et s’il a la capacité d’y parvenir. « Faire tout ce que l’on veut » pourrait alors s’entendre comme le fait de satisfaire ses moindres désirs ; sans distinction et sans considération de l’autre, ce qui pourrait faire de certains les esclaves des autres

fardeau pour les femmes au vu de ce qu’elles ont pu vivre dans le passé comme de nombreuses fausses couches, grossesses imposées, accouchements répétés (les familles nombreuses auparavant étaient plus courantes qu’aujourd’hui, en Occident), enfants non désirés, etc. Elles pourront dès lors choisir leur avenir et s’ouvrir à une certaine liberté sexuelle. L’apparition du sida quelques années plus tard freinera celle-ci. Il y a un essor énorme en ce qui concerne l’aide aux femmes. Des plannings familiaux

Chapitre II : Le Désir Philosophie : le désir introduction : Position du problème : le désir est à la fois la sensation douloureuse d'un manque et ce qui nous pousse à agir. En effet, lorsque l'on désir quelque chose on a la sensation douloureuse, anticipation de la douleur, qui nous pousse à agir. On peut dire que le désir est toujours l'expression d'un manque, et que pour combler ce manque nous cherchons à agir en pensant que la satisfaction de nos désir nous permettra d'atteindre

aux désirs et aux pulsions qui à nouveau, nous entraineraient dans l'inconscient. Ainsi, renoncer à la maîtrise de soi peut être considérer comme renoncer à une certaine responsabilité dont on doit faire preuve au quotidien, et se soumettre librement à l'irresponsabilité totale. La maîtrise de soi partielle pose un certain problème de dédoublement de soi; ainsi, lorsque l'on parle d'être « maitre de soi », nous pourrions d'une autre manière, considérer que nous sommes « maitrisé par ce soi »