Ecole Classique Max Weber

l’individu et pas de la communauté. Ils refusent toute médiation religieuse, c’est la naissance de l’individualisme. Elle sera à l’origine d’un processus d’intellectualisation : les protestants revendiquent un rapport modéré et personnel à la foi. Weber appelle cela le « désenchantement du monde » (by Lydie). C’est un début de laïcisation du monde (les défenseurs de la laïcité au XIX° sont tous protestants). Ils contribuent à faire de leur Dieu un dieu beaucoup moins facilement atteignable, beaucoup

management…………………………………………………………...…2 1. L’école classique …………………………………………………………………………………………………….…....2 2. L’école des relations humaines …………………………………………………………….……………………..2 3. Le management participatif …………………………………………………………….…………………….…..3 4. La sociologie des organisations …………………………………………………….……………………………..3 II. L’évolution du management……………………………….…………………………..4 III. Les nouvelles tendances : la théorie Z……………….…………………………....5 Chapitre 2 L’école néo-classique 1. Alfred P. Sloan....

installé à Athènes qu'à l'âge de 17 ans. De ce fait, ce dernier était un métèque, un étranger libre mais sans droit de citoyenneté. C'est dans la cité grecque qu'il fit la connaissance de Platon et qu'il devint son disciple avant de créer sa propre école : le lycée. Cette trajectoire est importante car elle lui a permis de développer un autre regard sur la politique et l'idée selon laquelle la politique devait être la science de l'intérêt général. Or cet intérêt général ne peut être pour lui que le

l’économie et la politique, le droit et la politique. L’étude de la chose politique devient un objet et un champ d’étude en tant que tel. -Développement des attributions étatiques et para étatiques, qui entraine l’établissement d’écoles (en France, 1871, Ecole libre des sciences politiques pour former l’élite et agréger de manière empirique des savoirs spécifiques). -Émergence de nouveaux objets d’études -Les exigence de la société de connaitre le plus exactement possible les rouages de son fonctionnement

5.2 Historique du management 46 5.3 Organiser pour produire efficacement – L’école des Classiques 46 5.3.1 L’organisation scientifique du travail (OST) 46 5.3.2 Frederick W.Taylor (1856/1915) 46 5.3.3 Henri Fayol (1841/1925) 48 5.3.4 Henry Ford (1863/1947) 50 5.3.5 Max Weber (1864/1920) 50 5.3.6 Alfred P. Sloan (1875-1966) 51 5.3.7 Faut-il rejeter l’école classique ? 52 5.4 Motiver l’individu - L’Ecole des relations humaines 53 5.4.1 Elton Mayo (1880/1949)

grande taille. De plus elle permet une très bonne gestion de l’entreprise à court terme et l’autorité (hiérarchie) est partagée. 19 Chapitre 2 : Les théories de l’organisation où l’organisation comme un organisme simple Section 1 : L’école classique 1. L’approche One Best Way (OBW, Taylor et Fayol) TAYLOR (1856-1915) «Principles of scientific management», 1911. Il veut démontrer que l’élimination nécessaire des gaspillages de temps d’argent et de matière n’est pas fait d’hommes exceptionnels

c’est que de nombreux agents sont concentré par l’entreprise, ont des intérêts pour l’entreprise, en retour l’entreprise doit satisfaire non seulement ses actionnaires mais aussi l’ensemble parties prenantes. Deux visions s’opposent :   Classique : l’entreprise est détenue par les actionnaires, et le manager rend des comptes qu’aux actionnaires, et le manager rend des comptes qu’aux actionnaires (vision anglosaxonne). Vision « globale » : c’est la vision des parties prenantes, on prend

Bible des principes essentiels nécessaires au bon gouvernement des hommes et permettant d’organiser au mieux la société.Tous ces penseurs ont en commun de ne pas se soucier de la société telle qu’elle est mais comme elle devrait être. B) Le courant classique. L’appellation de courant positif doit être ici nuancée. En effet, les penseurs de ce courant procède tous à une analyse de la société des réalités sociales de façon objective et sans préjugés. Cependant, une fois cette observation effectuée, ils

un spécialiste ou un service spécialisé, ce dernier n’ayant ni autorité ni pouvoir de décision. L’organigramme de l’entreprise (quand il est formalisé) est une représentation simplifiée de ces organes et liaisons ; cependant dans sa forme classique il privilégie les liaisons hiérarchiques entre individus et/ou services, et n’est donc que le reflet partiel de l’organisation réelle de l’entreprise. 2-6-2 La division de l’entreprise La division de l’entreprise en organes distincts repose

idées, des pensées, des philosophies, des doctrines, des constructions intellectuelles, des explications, des visions du monde des économistes (exemple : la pensée d'Adam Smith) mais également des écoles auxquelles ils appartiennent. (exemple : école classique). Faits : (vient du latin « factum » signifiant actions ou actes), les faits économique représentent donc l'ensemble des actes, des actions, des pratiques, des activités, des événements économiques passés (Crise de 1929), présents (Crise de 2014