Éthique de la sollicitude

Une éthique infirmière mercredi 30 janvier 2008par Jacques Sauvignet Relative autonomie de la profession : Pour réfléchir sur la nature de la capacité éthique des infirmières, il m’a semblé pertinent de rechercher dans l’histoire de la profession ce qui pouvait animer des personnes à donner des soins à autrui. Ce n’est évidemment pas l’objet de cette étude de réaliser une étude approfondie des concepts de soins qui ont contribué à l’identité professionnelle actuelle des infirmières,

personnes âgées- handicap, esquisse d’une éthique de l’accompagnement Sylvie Pandelé Date de restitution : 27 octobre 2009 | | | |Référence de |La grande vulnérabilité : fin de vie – personnes âgées – handicap, esquisse d’une éthique d’accompagnement | |l’ouvrage

La qualité, un souci éthique pour prendre soin© 2018 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés http://dx.doi.org/10.1016/j.soin.2018.02.009SOiNS - no 824 - avril 2018 41 Des principes et des valeurs pour prendre soin dossier La qualité, un souci éthique pour prendre soin S i la morale met l’accent sur « ce qui s’impose comme obligatoire », l’éthique se rapporte à « ce qui est estimé bon », comme le rappelle le philo- sophe Paul Ricœur [1]. Nous pouvons noter que le verbe “estimer”, proche d’évaluer

première ligne de pensée supporte l’euthanasie comme geste éthique. Sa pratique devrait être légalisée. En considérant une éthique du sentiment, les positions sont différentes. Les sentiments, le bien-être, les valeurs de la personne sont prises en compte. La sollicitude joue un rôle important, même chez les membres de la famille qui peuvent souhaiter une telle mesure, simplement et strictement pour soulager le souffrant. Cette sollicitude se répercute également à travers les membres du personnel

L’éthique du care :Problématique  : En quoi l’éthique du care introduit-elle de nouveaux enjeux éthiques en plaçant la vulnérabilité au cœur de la morale ? I/ Qu’est-ce que l’éthique du care ? La notion de  care  a surgi sur la place publique en France suite à une déclaration de Martine Aubry : « Il faut passer d’une société individualiste à une société du  care , selon le mot anglais que l’on pourrait traduire par

philosophie, la psychologie ou la sociologie, des tentatives pour faire de l'affectivité le ciment de la morale. Il s'agit, plus spécifiquement, de mettre l'accent sur des sentiments qui organisent le rapport à autrui sur le mode du soin ou de la sollicitude. Les valeurs de confiance, d'attention et d'amour pour des êtres particuliers caractérisent des relations morales dans lesquelles l'investissement affectif est important. Les relations humaines valorisées sont alors celles qui passent par l'interdépendance

1 PHILOSOPHIE DE L'ÉDUCATION SÉANCE N° 2 : Morale et éthique PLAN 1)Rien, dans l'étymologie, n'impose de distinguer "éthique" et "morale" : *le premier terme vient du grec, *le second du latin... *et les deux renvoient à l'idée de réflexion sur les "comportements humains", sur les "moeurs". 2 2) L'histoire de la philosophie a cependant progressivement distingué les deux termes : * le terme de "morale" renvoie à un système de normes qui s'impose aux membres d'une collectivité ou à un

Paul ricoeur L'intention éthique Ricoeur analyse l'agir éthique en trois moments: Le moment éthique: "la visée d'une vie accomplie sous le signe des actions estimées bonnes." Le moment de la morale: "marqué par des normes, des obligations, des interdictions caractérisées à la fois par une exigence d'universalité et par un effet de contrainte." Le stade de la sagesse pratique: articulation de la visée éthique et du devoir moral dans le rapport de soi à l'autre que soi, dans une "volonté de promotion

Evaluation UE 6.1s1 : La fiche de lecture 7 Novembre 2014 Auteur de l’article : Nadia PEOC’H, cadre supérieur de santé, maître de conférence en sciences de l’Education Titre de l’article : Bientraitance et éthique du care Similitudes et différences autour d’une recension des écrits scientifiques. Références bibliographiques complètes : COLLIERE, M.F, (2001) : ‘’ soigner… le premier art de la vie ‘’ Paris, Masson [1ère édition, 1996, InterEdition].

du sujet se trouve dans le domaine moral et éthique du fait que son action aura une répercussion sociale. Ainsi la décision se trouve au cœur des considérations morales et éthiques, et c’est dans cette perspective que se pose le problème du point de vue féminin. Au premier abord parce que le point de vue féminin ne correspond pas aux principes de morale « standard » qui s’appuient sur les principes de justice mais au contraire dépend de la sollicitude dans les rapports humains et constitue une