Foi

que la science et la religion portent sur des réalités différentes. La religion est un acte de croyance. L’adepte d’une religion est un croyant et on pense naturellement trouver là son essence même. Mais le phénomène de croyance est plus large que la foi religieuse. Elle consiste essentiellement à donner son assentiment à une représentation ou un état de chose en général. Or il faut nécessairement distinguer dans la croyance la disposition d’esprit et le contenu de la croyance. Si croire consiste toujours

relie ? Relie-t-elle les hommes avec le Divin ? C’est-à-dire une réalité anonyme et impersonnelle à laquelle on se soumet. Ou alors, relie-t-elle plutôt les hommes entre eux en tant qu’ils se retrouvent autour de valeurs, de traditions ou encore d’une foi commune ? Dans ces deux cas, ce lien est d’une tout autre nature que celui que les hommes entretiennent dans la vie ordinaire. Lien intemporel entre le fini et l’infini, le relatif et l’absolu. Autrement dit, derrière toute religion se cache une

L'EXISTENCE AVEC DIEU Niveau 1.2 http://www.bibledoc.com L'EXISTENCE AVEC DIEU «Sans la foi il est impossible de lui être agréable; car il faut que celui qui s'approche de Dieu croie que Dieu existe, et qu'il est le rémunérateur de ceux qui le cherchent» (Hébreux 11:6) 1 Preuves ou Foi ? Nous devons d'abord reconnaître la réalité de Dieu. Cela paraît chose facile, mais pour certains, le pas semble impossible. Ils cherchent, par méprise, la preuve de l'existence de Dieu, mais Dieu la leur

le doute qui est une extravagance (113), mais la seule certitude possible dans ce monde mouvant est "la foi et la révélation" (122), car Dieu est la seule vérité (91). Pour y accéder, la grâce est nécessaire. On reconnaît ici la théorie janséniste : "L'homme n'est qu'un sujet plein d'erreur naturelle, et ineffaçable sans la grâce" (41) qui doit être donnée "par sentiment de cœur, sans quoi la foi n'est qu'humaine et inutile pour le salut" (101). La raison s'incline devant le cœur, le mathématicien

L’Evangélisme est, au départ, un simple adjectif découlant du terme « Evangile » (du grec euaggelion, bonne nouvelle). Il représente un accès direct à la source du texte biblique, dans l’espoir d’aboutir à une foi rénovée et plus proche de l’Evangile. Les humanistes veulent ainsi montrer que la foi religieuse peut s’enrichir du trésor des lettres anciennes par un effort de critique, par un retour à l’esprit primitif de l’Évangile et par la diffusion de la Bible. Lefèvre d'Etaples se charge de traduire

où Dieu n’intervient pas dans les affaires humaines et où la mort conduit tous les êtres vivants dans le néant. 
 Plus que les athées, ce sont les véritables croyants qui devraient être troublés et même offusqués par un tel argument qui ramène la foi à un choix de joueur, à une simple question de probabilité.
 On peut aussi objecter que le croyant, pour gagner la vie éternelle doit renoncer à la vie terrestre. Si Dieu existe, il gagne tout, mais si Dieu n'existe pas, on doit faire la différence

sa supériorité d’aristocrate , jeu cruel ,cruauté du à son propre égoïsme, il ne voit que son propre plaisir. Il v a jusqu’ à imaginer que le matérialisme va supplanté les idées de l’ermite. Il veut donner un louis d’or pour faire confession de foi ( choquant de donner de l’argent contre une idée= condamnable moralement). Don juan veut reconvertir le pauvre mais il échoue . il essaie de faire jurer 4 fois le pauvre=> le mot « jurer » apparaît 4 fois dans sa bouche, même Sganarelle va dire au

réprouvons les caricatures qui insultent la foi des musulmans. Je comprends, en tant que musulman, le sentiment de dégoût et de révolte qui anime de bonne foi les musulmans qui se sont sentis offensés par les caricatures blasphématoires du prophète Mohamed (PSL) faite par le journal Charlie Hebdo. Je partage entièrement leur sentiment légitime. Je considère que la liberté d’expression ne saurait signifier la liberté d’insulter ce que les autres ont de plus cher, leur foi en l’occurrence. Aussi me suis-je rendu

lecteur est implicitement invité à réfléchir à une autre impossibilité physique : la mise au monde de Jésus par une vierge. Invraisemblable, mais article de foi pour Rabelais ! 2) Une controverse sur l’expression foy est argument des choses de nulle apparence (Saint Paul). a) La Sorbonne pense qu’il s’agit là d’une définition de la foi, et que celle-ci consiste donc à croire des choses invraisemblables (« de nulle apparence » de réalité). ⇒ Absence d’esprit critique, qui fait du croyant

refus parfois violent de la raison (Platon). b. La foi religieuse renonce à donner une explication rationnelle de ce qu'elle tient pour la vérité. II. La croyance est un fait humain pénétré de pensée (Hegel). a. L'irrationalité de la croyance correspond à une rationalité inconsciente (Jung). b. Il n'est pas absurde de faire confiance aux autres, d'avoir, foi en eux. III. La croyance est en réalité complémentaire de la raison. a. Si la « foi » renonce à prendre appui sur la raison, elle l'utilise