Fontaine de jouvence

CARNET JEAN DE LA FONTAINE Commentaire – « La Jeune Veuve » (Fables, VI, 21) Clément Mouille Présentation générale du texte à commenter « La Jeune Veuve » est le dernier poème du premier recueil des Fables, publié par Jean de La Fontaine en 1668. « La Discorde », qui le précède, était allégorique et sérieux ; « La Jeune Veuve » apporte, pour clore le premier recueil, une tonalité plus légère, presque gaillarde. Si les critiques ont parfois parlé d’une « misogynie » de La Fontaine, qui se ferait

m’emplisse la bouche au moment de tout finir ». - précision des détails : accumulation des notations enfantines chez Albert Cohen. C’est l’essence même de la vie que saisit l’autobiographe. Colette continue à se nourrir symboliquement à la fontaine de jouvence recréée par le souvenir. Rôle des images. Valeur fondatrice des sensations. Corrigé Bac 2007 – Série L – Français – Métropole www.sujetdebac.fr - dimension poétique et lyrique : proses très poétiques et intimistes, dimension incantatoire

Commentaire La Jeune Veuve, Livre VI, fable 21 Jean de La Fontaine est un auteur français du XVIIe siècle, il est issu du Classicisme et du mouvement libertin. Il s’empare des fables d’Esope pour les remettre au goût du jour et propose ainsi de nombreux sujets de réflexion. Les Fables mettent en scène très généralement des animaux personnifiés. Mais nous verrons par cet exemple qu’il en existe à caractère humain. Ces vers devenus proverbiaux ont fait de lui un homme honorable. C’est

fl Le lion , le loup et le renard Intro : Jean de la fontaine est un moraliste et un auteur classique du 17 eme siècle ; - tenu à l'écart du roi louis 14 pour des raisons politiques -protégé par Mme de montespan la favorite de louis 14 afin de continuer sa critique envers le roi -Jean LF imitait Esope et phèdre (auteurs de l'antiquité ) -2 intrigues : le roi qui veut détenir l'éternel jouvence covoque deux charlatans / deux courtisans rivalisent de cruauté pour s'éliuminer mutuellement

Ce corpus nous présente quatre textes qui traite d'une manière plus ou moins différente le même sujet; le pouvoir de souverains. Nous avons tout d'abord deux fable de Jean de La Fontaine qui sont premièrement " Le Lion, le Loup et le Renard " qui mets en scène deux courtisans qui se rivalisent, le Loup et le Renard et le Lion qui représente le roi, et deuxièmement " Le Jardinier et son Seigneur " qui mets en scène un jardinier qui semble représenter un prince et le seigneur qui lui fait allusion

et l'Antiquité. Pour Charles Perrault , le siècle de Louis 14 représente l'apogée de la littérature, qualifiant Corneille, Molière, La bruyère et La Fontaine de supérieurs à tous les anciens.Les modernes disent ne pas imiter aveuglément les auteurs de l'Antiquité, affirmant qu'ils ne font que s 'en inspirer pour créer une œuvre originale. La Fontaine souligne que Boileau, Racine et Molière, considérés comme des ' modèles ' de littérature sont justement ceux qui ont le plus imité les anciens. Enfin

Récit de Jean de La Fontaine (1621-1695). I- Présentation de l’auteur : Jean de La Fontaine (8 juillet 1621 à Château-Thierry, 13 avril 1695 à Paris) est un poète français de la période classique dont l'histoire littéraire retient essentiellement les Fables et dans une moindre mesure les contes licencieux. On lui doit cependant des poèmes divers, des pièces de théâtre et des livrets d'opéra qui confirment son ambition de moraliste. Proche de Nicolas Fouquet, Jean de La Fontaine reste à l'écart de

cas Michael Jackson 4. Les enfants perdus III – La société sous le signe de Peter Pan : le refus de vieillir L'éternelle jeunesse L'éternelle jeunesse dans les mythes et la littérature a. La fontaine de jouvence b. La légende de la comtesse sanglante c. Le portrait de Dorian Gray Conclusion Introduction Peter Pan a 100 ans et pas une ride !! Les aventures du « garçon qui ne voulait pas

l’habit, au linge, à la coiffure. Le deuil enfin sert de parure, En attendant d’autres atours. Toute la bande des Amours Revient au colombier : les jeux, les ris, la danse, Ont aussi leur tour à la fin. On se plonge soir et matin Dans la fontaine de Jouvence. Le Père ne craint plus ce défunt tant chéri ; Mais comme il ne parlait de rien à notre Belle : Où donc est le jeune mari Que vous m’avez promis ? dit-elle.

            En attendant d'autres atours ;             Toute la bande des Amours Revient au colombier ; les jeux, les ris , la danse,             Ont aussi leur tour à la fin :             On se plonge soir et matin             Dans la fontaine de Jouvence. Le père ne craint plus ce défunt tant chéri ; Mais comme il ne parlait de rien à notre belle :             «Où donc est le jeune mari             Que vous m'avez promis?» dit-elle.