Fourberies De Scapin Finale

les valets ) :  « couvrez ce sein que je ne saurais voir (acte III , scène) dit Tartuffe à Dorine. On pense pour l’obsession de l’argent au personnage d’Harpagon qui accuse tout le monde de l’avoir volé ou encore Géronte dans Les Fourberies de Scapin qui est d’accord pour payer la rançon de son fils mais qui en réalité empoche la bourse chaque fois qu’il est sensé la donner. Si l’on considère Les précieuses ridicules ou encore Le misanthrope , on se

| |Beaumarchais a dit : « La comédie, cet art dont la loi première, et peut-être la seule, est | | |d’amuser en instruisant ». Selon lui, chaque comédie a donc au final une fonction instructive, | | |derrière des aspects comiques. Mais comment cette fonction est-elle remplie ? On sait que dans la| | |plupart des comédies étudiées

écrit des pièces pour les fêtes royales et les comédies ballets. La troupe devient la Troupe du roi. Molière tombe malade en 1666. Plus tard, il écrit des comédies (L’Avare), des comédies ballets (Le Bourgois gentilhomme) et des farces (Les Fourberies de Scapin). Pendant la quatrième représentation du Malade imaginaire, le 17 février 1679, Molière fait un malaise sur scène et meurt quelques heures plus tard. 2/ Bibliographie : Quelques livres de l’auteur... Les Précieuses ridicules (1659) Sganarelle

semblent être intégrées artificiellement à l’ensemble, elles sont destinées à dénoncer. Ex : Acte 3 scènes 14-15 : Cette scène est uniquement destinée à être un pamphlet. D’autant plus que ce procès était finalement inutile vu que le coup de théâtre final résout le problème du mariage. c) Le personnage de Figaro Figaro a un statut particulier : en tant que valet il acquiert ici le statut de personnage à part entière qui n’est plus uniquement un personnage qui sert de faire valoir aux autres. Ex :

par le travail et la maladie (il est phtisique), Molière meurt le 17 février 1673 à l’âge de 51 ans après la quatrième représentation du Malade imaginaire. Il écrivit aussi d’autres pièces de théâtre comme le médecin malgré lui (1666) ou Les Fourberies de Scapin (1671) ou Le Bourgeois gentilhomme en 1670. Molière demeure depuis le XVIIe siècle le plus joué et le plus lu des auteurs de comédies de la littérature française. Le français est également surnommé « la langue de Molière ». Bref résumé

deboires conjugaux (sa femme, la jeune actrice Armande Béjart, ne jouent pas les coquettes seulement sur scène) et la maladie assombrissent la suite de sa vie mais ne ralentissent nullement le rythme de sa production. Le théâtre lui offre son apothéose finale avec une ironie toute moliéresque : il entre en agonie sur scène en jouant le rôle du malade imaginaire. IV Ses plus grandes ouvres sont : ------------------------------------------------- -Le Médecin malgré lui Le Médecin malgré lui est une pièce

revient à Paris à jouer de pièce de théâtre et il obtient du roi le salle du Petit-Bourbon puis celle du Palais-Royal où il reçoit un énorme succès en tant qu’auteur, acteur et directeur de troupe. Il est toujours bénéficiaire de la faveur du roi. Au final de sa vie, il est épuisé par le travail et malade (phtisique). Il meurt en 1673, durant une représentation du Malade Imaginaire où il jouait d’Argan. Il sera enterré par ordre du roi de nuit et sans cérémonie dû à son travail. Biographie Le dépit

« librement » et « comme étonné ». Mais aussi grâce à une aparté « allons, voilà qui est parfait » lors de la scène 9 de l’acte III, révélant ses spéculations et ses fourberies. On peut retrouver ces comportements, propres aux valets de comédie, dans Les Fourberies de Scapin de Molière où le personnage de Scapin utilise un comique de geste dans la scène célèbre des coups de bâtons. Mais encore dans Dom Juan ou Le Festin de Pierre du même auteur, où

l’apprécier dans son ensemble. De plus, le texte n’est pas suffisant pour représenter une pièce dans son ensemble. Il manque le décor, indispensable pour situer le lieu dans l’espace et dans le temps. Ainsi, l’antique temple à la romaine dans la scène finale de Dom Juan lui confère une dimension de châtiment divin, chose qu’on ne peut remarquer au premier abord à la lecture de la pièce mais qui marque tout de suite l’esprit du spectateur dès l’acte III lors de la représentation. Il en va de même pour

n'étant pourtant pas lui même atteint par l'action, ressentant les sentiments tour à tour de chacun des personnages. Le spectateur va autant se sentir coupable à la place de Phèdre (de Racine), pour son amour pour Hippolyte, qu'amusé comme Scapin (des Fourberies de Scapin de Molière) lorsqu'il frappe son maître avec un bâton, alors c'est ces sentiments que recherche le spectateur qui va au théatre, autant passer du rire aux larmes que des larmes au rire, parce qu'un spectateur en allant au théatre recherche