Glycogénolyse

Les minéralocorticoïdes=L’aldostérone : rétention de sodium, excrétion de potassium Le pancréas : Les sécrétions endocrines du pancréas prennent leur source dans les ilots de Langerhans. Les cellules α sécrètent le glucagon : Favorise la glycogénolyse hépatique ; augmente le taux de glucose dans le sang. Il est hyperglycémiant. Sa sécrétion est régulée par la valeur de la glycémie lorsqu’elle est inférieure à la fourchette (0.7-1.10g/l) Les cellules β sécrètent l’insuline : Permet le passage

• Augmentation du catabolisme glucidique cellulaire • Diminution du catabolisme lipidique et synthèse de graisse • Augmentation de l’anabolisme protidique. Si la glycémie baisse : hypoglycémie : • Sécrétion de glucagon • Glycogénolyse hépatique ( lyse du glucose qui a été stocké dans le foie) • Inhibition de la synthèse lipidique • Stimulation du catabolisme protidique. Equilibre calcique : • La concentration de calcium dans le sang : la calcémie est constante :

sécrétion d’insuline, qui a pour but : A. Une augmentation du taux d’oxydation de glucose B. Une augmentation du taux de synthèse de glycogène C. Une augmentation de l’activité du pyruvate déshydrogénase D. Une augmentation du taux de la glycogénolyse 9/ La pyruvate déshydrogénase (PDH), A. C'est un complexe multi-enzymatique constitué d'au moins trois enzymes différentes. B. L'enzyme est mitochondriale. C. Elle utilise le NAD+ comme coenzyme. D. La réaction est thermodynamiquement

Les minéralocorticoïdes=L’aldostérone : rétention de sodium, excrétion de potassium Le pancréas : Les sécrétions endocrines du pancréas prennent leur source dans les ilots de Langerhans. Les cellules α sécrètent le glucagon : Favorise la glycogénolyse hépatique ; augmente le taux de glucose dans le sang. Il est hyperglycémiant. Sa sécrétion est régulée par la valeur de la glycémie lorsqu’elle est inférieure à la fourchette (0.7-1.10g/l) Les cellules β sécrètent l’insuline : Permet le passage

auto-immune) l’injection de leptine permet de corriger des troubles glycémiques en inhibant la sécrétion de glucagon. (Car déficit en insuline provoque un taux élevé de glucagon) ce qui provoque donc une activation de la voie néoglucogenèse et de la glycogénolyse se induit une production de glucose qui sera libéré dans le sang. De plus la même équipe a complète ses propos en montrant que lors de l’injection sous cutanée de leptine et/ou d’insuline, Voir schéma et explication Il a été montré que la

l'oxygène dans le sang par le biées de la création plus importante de globules rouge dans la moelle osseuse. Cet apport supplémentaire en oxygène permet aux muscles d'avoir un effort plus intense et plus prolongé. L'insuline va elle favoriser la glycogénolyse (transformation du glycogéne en glucose) qui va permettre un apport plus performant aux muscles en glucose d'où les fonctionnement plus performant. .Les bêtabloquants : Les bêtabloquants sont des éléments qui sont régulièrement utiliser pour

coll.1990) et par conséquent, fournissent à leurs muscles le plus d’énergie par unité de temps par la voie de la glycogénolyse. Ceci résulte de la vitesse de resynthèse de l’ATP par la glycogénolyse qui est beaucoup plus rapide que celle de la phosphorylation oxydative et peut être activée en quelques secondes seulement (Brooks et coll., 1996, Spriet et coll., 2000). La glycogénolyse anaérobie permet donc à l’organisme de s’adapter aux situations nécessitant un ajustement rapide et important de la

Libération d’AG libres β1 Rein Sécrétion de rénine Augmentation β2 Artères coronaires Calibre Dilatation β2 Artères musculaires Calibre Dilatation β2 Bronches Calibre Dilatation β2 Utérus Contractilité Relaxation β2 Foie Glycogénolyse Augmentation β2 Pancréas Sécrétion d’insuline Augmentation II. Les β-bloquants Effets : Cardiaques :  Ralentissement de la fréquence cardiaque (chronotrope -)  Ralentissement de la force contractile cardiaque (inotrope -)  Ralentissement

les transporteurs du glucose Favorise la glycogénogénèse hépatique et bloque la glycogénolyse, donc l’insuline fait diminuer la glycémie. Elle a une action sur les graisses et favorise la lipogénolyse. Elle a une action sur les protéines et stimule la synthèse des protéines. Le glucagon : L’hypoglycémie vas inhiber la sécrétion du glucagon c’est son facteur régulateur. Le glucose : Stimule les glycogénolyse hépatique Inhibe la glycolyse Il a une action sur les lipides : libération des

de glycogène au niveau des organes de stockage (foie et muscles) ; elle stimule également la synthèse de graisse pour les tissus adipeux. Le glucagon se fixe sur les hépatocytes et les adipocytes et induit une hyperglycémie en favorisant la glycogénolyse et en inhibant la glycogenèse. Hormones corticosurrénaliennes Les glucocorticoïdes : le cortisol se fixe sur la plupart des cellules de l’organisme et possède plusieurs fonctions. -Effet sur le métabolisme glucido-lipido-protéique : stimule