Gorgias

vieNote 13,17,18. Athènes est au ve siècle le centre de la vie culturelle et est un lieu de passage obligé pour les personnalités du temps : l'historien Hérodote, les physiciens Parménide et Anaxagore, le médecin Hippocrate, les sophistes Protagoras, Gorgias, Hippias, Prodicos15… On ignore quelle a été la formation de Socrate. Anaxagore et Archélaos de Milet lui ont été donnés comme maîtres par une tradition tardiveNote 14, mais ce n'est peut-être qu'une reprise du passage « autobiographique » du Phédon

mouvement de la pensée philosophique s’est divisé en deux grandes section. D’un côté il y a les philosophes dont fait partie Socrate et son protégé qui est Platon et de l’autre côté nous avons les rhétoriciens qui sont gouvernés par le grand homme qu’est Gorgias. Il faut faire attention de ne pas confondre ces deux mouvements de pensés car ils sont quasiment l’opposé l’un de l’autre. Fait à noter, il ne fait surtout pas mettre les rhétoriciens et les sophistes « dans le même panier » sans aller dans le fin

Kenny Le Groupe: Lundi 12h Analyse du Gorgias de Platon Travail présenté à: M. Yong Chung Remise: Jeudi 21 mai 2015 Collège Ahuntsic Le Gorgias met en scène le conflit entre la philosophie, incarnée par Socrate, et la rhétorique, personnifiée par Gorgias. Socrate demande à Gorgias de définir la rhétorique, de manière à distinguer le discours rhétorique et le discours philosophique, et tous deux ce questionnent l’un entre eux pour parvenir à une définition

certitudes, cad qu’elle relève de la croyance alors que la vérité relève du savoir. Or le propre d’une croyance est de pouvoir être vraie ou fausse alors que le propre du savoir est d’être toujours vraie. Cette distinction est établie par Platon dans Gorgias en 454d. De là naissent les deux grandes déceptions face à l’opinion : * La déception face à son caractère essentiellement contradictoire. La dimension perpétuelle et le conflit sont observés alors que devant un théorème on parvient à une vérité

sujet. A quoi tient le pouvoir des mots? Votre sujet a probablement pour origine un texte de Gorgias (455 b-c) dans lequel Platon fait parler Gorgias, met en évidence son habileté, sa persuasion, et en même temps fait apparaître les dangers de la rhétorique, la spécialité des sophistes qui vendaient l'art de bien parler censé permettre aux jeunes gens d'accéder au pouvoir. L'argumentation de Gorgias s'appuie sur des exemples: or un exemple ne prouve rien car il y a des exemples de tout: l'exemple

Marc-André Elliott et Kenny Le Groupe: Lundi 12h Analyse du Gorgias de Platon Travail présenté à: M. Yong Chung Remise: Jeudi 21 mai 2015 Collège Ahuntsic Première section 1) L'art pratiqué par Gorgias est la rhétorique. Son objet est les discours et il forme aussi d'autres orateurs à la rhétorique. Il montre surtout la brièveté de la réponse afin de convaincre un public. 2) La rhétorique est: << La rhétorique ne consiste aucunement en un travail manuel

par l’intermédiaire de Socrate, demande au sophiste Gorgias ce que permet la rhétorique, après avoir essayé de l’impressioner sans donner de but concret, Gorgias avoue le but secret de leur technique du langage : manipuler. GORGIAS Cela même, Socrate, qui est réellement le plus grand bien: ce qui procure aux hommes à la fois la liberté et le pouvoir de dominer les autres dans leurs cités respectives. Socrate Que veux-tu dire par là ? Gorgias Je veux dire: être capable par des discours de persuader

Disserte finale Gorgias de Platon Travail présenté à Département de philosophie Le 19 novembre 2013 Gorgias Tout d’abord, durant l’époque où Rome était une grande puissance, certains hommes ont su se démarquer des autres en utilisant une tout autre force de frappe, la philosophie. Ceci dit, ils utilisaient leur parlé afin de convaincre et d’expliquer certains points de vues envers les citoyens de la cité. Le dialogue « Gorgias » écrit par Platon est une

hésiter à lui communiquer donc il le manipule pour lui faire avouer ce qu'il sait ou ce qu'il ne sait pas. Socrate serait heureux de voir que Gorgias et Ménon sache ce qu'est la vertu pour que Socrate lui même reconnaisse ses torts et qu'il s'est trompé car il ne connaît personne ayant le savoir de définir ce qu'est la vertu. « parce que si tu fais voir que Gorgias et toi, vous savez ce qu'est la vertu[...] ce serait une grande chance pour moi de m'être laissé tromper par cette trompeuse idéé ». Ménon

différentes opinions des sophistes et de Socrate. Dans la philosophie platonicienne, sur les trois grands sophistes Hippias, Thrasymaque et Calliclès du Gorgias qui développent des doctrines sur la justice, seul Hippias a conçu et prône l’égalité dans la justice. De l’aveu de Platon, les deux autres c’est-à-dire Thrasymaque et Gorgias ont conçu une justice inégalitaire fondée sur la thèse de la supériorité de l’homme fort sur l’homme faible. , l’ultime conviction de Platon est que les sophistes