Grégoire VII

Conversion : adoption d’une religion Excommunication : être banni de la chrétienté par le pape Catharisme : exemple de répression violente 2. Personnages GREGOIRE VII (à droite) Ildebrando Aldobrandeschi de Soana (né vers 1015/1020 et mort le 25 mai 1085), devient en 1073 le 155e pape sous le nom de Grégoire VII. Il est le principal artisan de la réforme grégorienne. Cette réforme de l'Église entend purifier les mœurs du clergé (obligation du célibat des prêtres, lutte contre

chef de l’Eglise de l’Occident, le Pape, va prétendre exercer un pouvoir supérieur à celui des chefs politiques. Notre période commence en 1050 avec la première prétention dans ce sens par les papes, ces prétentions sont exprimées par le fameux Grégoire VII (pape de 1073 à 1085) qui a donné son nom à la réforme grégorienne [cf. Texte n°10 : les Dictatus papae, qui affirme quelque chose qui est une nouveauté, la prise de pouvoir des papes sur les empereurs sur tous les pouvoirs séculiers]. L’histoire

Bible et sur le dogme . Les chrétiens au service de l'église forment le Clergé. Les autres sont des laics au Xième siècle, l'Eglise se réforme grace au propre pape Grégoire VII et s'affirme face aux états. Le pape est élu par des carolinaux et non plus par l'empereur ou par un roi. La simonie et le micdaisme sont combattus. Grégoire VII publie les Dictatus Papus en 1074 pour affirmer la place de l'Eglise , le pape peut déposer les princes et les évèques . Il peut excommuniquer des sujets catoliques

C’est Urbain II (Odon de Lagny) qui initiera le concile de Clermont. Urbain II est d’abord chanoine à Reims puis il se fait moine de Cluny où il devint prieur. Il succéda à Grégoire VII et Victor III. Il lui Incomba donc de poursuivre le mouvement réformateur initié par ses présélecteur, notamment Grégoire VII. Le concile de Clermont avait pour but initiale de régler certain problème de discipline ecclésiastique à la suie du concile de Plaisance qui avait déjà avancé le sujet. Le fléau de l’époque

dopée sa remise en circulation. Elle n'est redecouvert que au XI. B-LA REFORME GREGORIENNE La réforme Grg est un mouvt qui commence veritablt miliu du XI et qui trouve son pplein aboutisseent a la fin du XI a partir de l'elec en 1073 du Pape Gregoire VII. Cette réforme a des racins plus anciennes remontant au X et qui plonge dans l'idéologie dvlp au X dans certains milieux monastique liés a l'ordre de Cluni. Ordre qui se dvlp a partir de la Bourgogne et qui eysseymey dans tte l'europe. Ces idées

mendiants » ), prêchent partout pour réconcilier les laïcs avec l'église et convertir les hérétiques. Le pape Grégoire VII ( 1073 – 1085 ) pense que toutes les critiques que l'on peut faire à l'église sont dues à l'investiture laïque qui permet aux empereurs et aux rois de nommer les évêques et les abbés sous prétexte qu'ils sont aussi seigneurs féodaux. Avec sa réforme grégorienne, le pape Grégoire VII interdit cette méthode et s'oppose à l'empereur du Saint-Empire. Ses successeurs, poursuivent cette lutte

catégorique – de la simonie et du nicolaïsme  question de l’hérésie simoniaque - tentative de discipliner clergé séculier (Nicolas revoit règle d’Aix) et laïcs (contre inceste et polygamie) 2.) Grégoire VII – un règne combatif et décisif - Nicolas II a bien préparé (1059 et Latran 1060) - avec Grégoire nouvelle dynamique - renouvellement de la condamnation du nicolaïsme et de la simonie (signe que pas encore bien appliqué partout) a) le problème de l’investiture laïque - phases de l´accession

pour les élections pontificales. On a en 1046 : Benoît IX qui a 12 ans, pape imposé par sa famille, neveu de la grande famille des Tusculum Sylvestre III, de la famille adverse, Crescenti, il a des renforts armés, va faire peur au jeune Benoît. Grégoire VI, parrain de Benoît qui a acheté sa dignité papale. Henri III est appelé, descend avec ses troupes, dépose les 3 papes, annule leur trois charges, tient un concile qu'il dirige, et va faire nommer un pape de sa suite, en 1046, Clément II, évêque

politique menée sous l'impulsion de la papauté. Si les historiens admettent que le pape Léon IX a commencé le redressement de l'Église, c'est pourtant le pape Grégoire VII qui a laissé son nom à la réforme. De plus, les efforts pour sortir l'Église catholique d'une crise généralisée depuis le Xe siècle se poursuivent bien après le pontificat de Grégoire VII. Ainsi l'expression « réforme grégorienne » peut paraître impropre puisqu'elle ne s'est pas limitée à quelques années mais concerne au total près de trois

bien un coup de force qui est effectué. Son successeur, Nicolas II, fera droit en énonçant juridiquement l’élection du pape par les cardinaux et il s’attaque alors à l’investiture laïque. Ce césaropapisme se heurtera alors au papocésarisme de Grégoire VII. B)La crise des Investitures ou le « discordat » (Clémenceau) entre les pouvoirs : J. Picq est passé rapidement sur la querelle des investitures qui nécessiterait pourtant une approche un peu plus approfondie et nuancée ; querelle entre la Papauté