Nicolaïsme

ce procédé qui a permis aux laïcs de s’enrichir. Très répandue aux Xème et XIème siècles, la simonie fait l’objet d’une réaction virulente de la part de l’Eglise dans le cadre de la réforme grégorienne, tout comme le nicolaïsme. C. Le nicolaïsme D’origine peu certaine, le nicolaïsme se définit comme l’incontinence sexuelle des prêtres, d’évêques, d’abbés et même de certains papes, sous forme soit du mariage, soit du concubinage. Cette mauvaise conduite du clergé est dénoncée à plusieurs reprises

officielle (ce n'est pas du droit ecclésiastique officiel, droit canonique) Auteur : Probablement le Pape Grégoire VII, ou tout du moins initié par lui Grégoire VII (1073-1085) principal acteur de la réforme grégorienne lutte contre le nicolaïsme : célibat ecclésiastique lutte contre la simonie : achat et vente de biens spirituels en particulierles charges ecclésiastiques et le sacrement-> conflit avec Philippe 1er lutte contre l'investiture -> conflit avec Henri IV Destinataire

nombreuses terres en echanges de benefices ecclesiastiques (L 10 a 27) et enfin il donne des terres de chanoines a son fils (L 32 a 36) B) Nicolaïsme Nicolaïsme : comcubinage astreint au celibat Il se marie avec une femme : Hildeberge et aura de nombreux enfants et qu'ils favorisera par rapport aux membres du clergé du mans celon l'auteur ses actes de nicolaismes provoque la mort de don siffroi L 43 a 46 II … En accord avec son temps …. A) Autres exemples B)Les maux de l'Église III … Qui

Pape vicarius Petri, monter en puissance des cardinaux qui modifis le mode d’élection ( prêtre et êveque : réformateur) d. une montée en puissance des cardinaux II. Une réforme des mœurs de l’Eglise et de son fonctionnement a. les condanation de Nicolaisme 2/12/21 Remise en cause du mariage des prêtres à présent condamnés (concile de Mayence), les biens de l’église doivent être indivisible, le pape interdit les messes de ce type. b. promotion d’une vie canoniale vie en groupe et pas de richesses

Gui (Guido Da Velate) l'archevêque de Milan de 1045 à 1069 est selon Bonizon de Sutri la cause de "la ruine de l'église milanaise" l.1. En effet selon lui, Gui serait un homme "illettré, concubinaire" l.2 donc notamment un Nicolaïte. En effet le nicolaïsme est le fait pour un homme d'église de se marier, de vivre en concubinage avec une femme ou même un autre homme, ou encore de s'adonner aux plaisirs sexuels avec eux. L'église se doit d'être irréprochable envers ses fidèles, et pour Bonizon ces prêtres

volantes... Au début du XIème siècle, ce type de manifestation se poursuit. 2. L’institution en crise a. Mesure de la crise du clergé On disait, autrefois, qu’avant la réforme grégorienne les deux tares principales du clergé étaient la simonie et le nicolaïsme. Simonie : le terme vient des Actes des Apôtres (Ac 8, 18-24) dans lesquels il est dit que Simon le Magicien, voyant que “l’Esprit-Saint était donné par l’imposition des mains des apôtres..., leur offrit de l’argent. ‘Donnez-moi ce pouvoir à moi

développer la curie pontificale qui contrôle ce qui se fait dans l'Église. Enfin, le pape multiplie les interventions pontificales. L'une des plus connues est matérialisée par le Décret de 1059 réformant l'élection pontificale et interdisant le nicolaïsme et la simonie.

du monastere. Et ce personnage occupant la fonction d'eveque est plus un chasseur et un client de bordel. Un certain nombre d'intelectuel vont agir en voulant retablir une discipline de l'eg. COmbattant la simonie (trafique des biens ecc) et le Nicolaisme (concumbinage et mariage des clercs). Les réformateurs monastiques disent qu'il faut lutter contre ces maux,l meilleur moyen étant de reinstaurer une monarchie indépendante de tt ce qui est seculier; Le meilleur moyen étant de partir du pape. Ces

de crises (développement des hérésies, peurs engendrées par la fin du millénaire…) et par les difficultés vécues par l’institution ecclésiastique : récurrence de la simonie (c'est-à-dire la vente de charges, de fonctions au sein de l’Église), du nicolaïsme (le mariage ou concubinage des prêtres). Il s’agit pour l’Église de faire face à ces difficultés, d’assurer l’unité des Chrétiens et d’affirmer son autorité. a. L'affirmation du pouvoir de l'Église L’état inquiétant de l’Église suscite une

qui oublie que le christianisme a comme idéal la pauvreté, rois et nobles qui nommaient des clercs contre de l’argent, ou qui plaçaient des membres de leurs familles. Ces clercs faisaient des trafics d’argent (SIMONIE) et vivaient en concubinage (NICOLAISME). L’Eglise a lutté contre les hérésies : Des idées hérétiques remettaient en cause l’organisation de l’Eglise et ces idées se diffusaient dans des régions entières. Les papes, avec les rois et les seigneurs, ont organisé des croisades pour massacrer