Hydroptère

technique hors norme « Il y a cent ans nous sommes passés du dirigeable à l’aéronef, sur l’eau à la voile il s’agit de prendre la même transition, aujourd‘hui les bateaux flottent demain ils voleront… » Alain THEBAULT, septembre 2009 Le projet Hydroptère a vu le jour sous la double impulsion d’Eric Tabarly et d’Alain Thébault qui dans les années 80 développent un voilier utilisant des plans porteurs1. Le but recherché est de déjauger2 la coque et la maintenir hors de l’eau afin de réduire de manière

surcharges structurales par mer agitée pouvant empêcher l'exploitation au-dessus d'un certain état de mer. Ce point peut être en partie réglé par une augmentation des dimensions du navire ou par l'emploi d'une stabilisation active dans le cas des hydroptères de deuxième génération. * Rentabilité d'exploitation à grande vitesse difficile à obtenir compte tenu de l'évolution du prix du carburant Ce deuxième point risque de rester sans soluhtion autre que celle de réduire la

d'une aile immergée ou foil est encore dix fois plus forte que celle d'une aile d'avion. Un m² d'aile d'avion de ligne porte 600 à 700 kg ; un m² de foil peut porter 6 à 10 tonnes. Cela explique que quelques m² de foils suffisent à faire voler un hydroptère d'une masse de l'ordre de la dizaine de tonnes. La surface S de l'aile (surface alaire). Le déploiement vers l'arrière des volets d'une aile à basse vitesse (atterrissage et décollage) peut augmenter la surface effective de l'aile, cependant par

compensé par la poussée d'Archimède correspondant au poids du volume d'eau déplacé (d'où le terme de déplacement). C'est le cas de tous les gros navires et de la majorité des bateaux « classiques ». • pour un bateau à coque « planante », de type hydroptère, la sustentation est hydrodynamique : le bateau flotte à l'arrêt mais la coque se soulève à pleine vitesse grâce à l'action de l'eau sur les surfaces portantes, réduisant d'autant la résistance de l'eau. • pour les navires à effet de surface

originale à un problème. ! LES OUTILS DE LA CREATIVITE ! ACHELHIHicham ACHELHI Hicham achelhihicham@yahoo.fr PROCESSUS AMONT DE LA CONCEPTION
 CONCEPT C UN BATEAU CONNAISSANCES K AEROGLISSEUR HYDRAVION QUI VOLE HYDROPTERE COMMENT FAIRE EMERGER
 DES CONCEPTS INNOVANTS TRIZ
 LOIS D’EVOLUTION Potentiel d’évolution Trajectoire d’innovation Les pages lois d’évolution sont extraites du logiciel Créatriz de la société CREAX - www.creax.com La théorie

environ le temps mis par l'Eurostar pour relier la France à l'Angleterre par le tunnel sous la manche) A l'heure actuelle, des recherches s'orientent vers d'autres domaines concernant l'amélioration des rendements des véhicules marins (tels les hydroptères), mais la seule voie réellement exploitée dans l'industrie à but commercial reste celle des aéroglisseurs marins qu'ils soient à jupes souples ou à quilles latérales rigides

hydrolat Masc. hydrolithe Fém. hydrologie Fém. hydrolyse Fém. hydromassage Masc. hydromel Masc. hydrométéore Masc. hydrométrie Fém. hydronéphrose Fém. hydronymie Fém. hydropéricarde Masc. hydrophobie Fém. hydrophone Masc. hydropisie Fém. hydroptère Masc. hydropulseur Masc. hydroquinone Fém. hydrosilicate Masc. hydrosphère Fém. hydrothérapie Fém. hydrothorax Masc. hydrotimètre Masc. hydrotimétrie Fém. hydroxyde Masc. hydroxylamine Fém. hydroxyle Masc. hydrozoaires Masc. hydrure

vent. L ’objectif est d’arriver à une vitesse triple par rapport à celle du vent. Le secteur de la planche à voile présente donc encore un potentiel évolutif du côté technologique. On peut également supposer que de la même manière que le trimaran Hydroptère a inspiré l’AFS-1, des innovations dans les secteurs du sport nautique (kite surf, paddle board, surf...) , comme de la glisse (snowboard, ski...) pourront avoir des conséquences sur les évolutions futures de la planche à voile. La section Recherche

fluviales vi) Aéroport 83 E. Transport maritime E.II. MATERIEL DE TRANSPORT (NAVIRES) E.II-01. Bâtiment de mer Construction marine flottante ayant une ou plusieurs coques à déplacement ou à effet de surface. Cette définition inclut les hydroptères, les aéroglisseurs, les catamarans (engins à grande vitesse), les pontons d’exploitation pétrolière, les bateaux-phares et les barges. Elle inclut également les navires en réparation. Sont exclus les navires navigant exclusivement dans des eaux

presque permis de réaliser ce rêve. Mais tant que chacun ne pourra pas à tout instant choisir entre « marcher » ou « voler », cette idée continuera à motiver les inventeurs de tout poil. Il existe déjà un bateau volant sur l’eau qui s’appelle l’« Hydroptère »… La voiture volante, elle, est annoncée pour bientôt par deux sociétés concurrentes, Moller avec sa Skycar1, et Urban Aeronautics avec la X-Hawk2. Qui réalisera en premier le rêve d’Icare ? Ce qui s’éteint parfois n’est pas l’idée mais ses incarnations