Inflation Désinflation

lutter contre l’inflation en baissant la demande. On parle dés lors de politique qui peuvent être conjoncturelle ou structurelle et qui désigne l’action à long et court terme des pouvoirs publics visant à maitriser les variables fondamentales : inflation, chômage, solde extérieur, croissance. L’Etat assure aussi une fonction d’allocation en internalisant les externalités qui sont l’ensemble des situations dans laquelle l’activité d’un agent économique a des répercutions positive ou négative sur

économistes quant à son application, en particulier les keynésiens face aux libéraux.   Définition des mots-clés :   Politique conjoncturelle = politique destinée à agir sur la conjoncture ( situation économique, sociale et politique du moment) Inflation = hausse durable du niveau moyen des prix Impôt = versement obligatoire à l’Etat ou à une collectivité publique effectué par les agents économiques sans contrepartie immédiate, et sans affectation à une dépense particulière. Taxe = comme les impôts

De manière très simple, on peut dire que la croissance économique est l'accroissement sur une longue période des quantités de biens et services produits dans un pays. Cette quantité de biens et services est mesurée chaque année : on utilise en général pour cela un indicateur que vous connaissez bien, le PIB (produit intérieur brut), c'est-à -dire, schématiquement, la somme des valeurs ajoutées. Quand on le peut, on prend en compte la croissance du PIB par habitant qui est bien plus significative

Description - L'endettement public rend-il la rigueur inéluctable ? - Une politique de rigueur est toujours nécessaire. En vérité, la question qui se pose est de savoir s'il faut une politique de réduction du pouvoir d'achat. Sans aucun doute, il va falloir réduire les dépenses de l'Etat et augmenter les impôts, ce qui se traduira par un transfert de pouvoir d'achat vers des dépenses collectives. Sinon, la dette continuera à augmenter, et nous serons en faillite. - Votre livre est très pessimiste

Théorie quantitative de la monnaie de Milton Friedman Introduction : Milton Friedman est un économiste américain né le 31 juillet 1912 à New York et mort le 16 novembre 2006 à San Francisco, considéré comme l'un des économistes les plus influents du XXe siècle[1]. Titulaire du prix de la Banque de Suède en sciences économiques en mémoire d'Alfred Nobel (couramment appelé prix Nobel d'économie) de l'année 1976[2],[3], il a été un ardent défenseur du libéralisme. Il a travaillé sur des domaines

- salaire réel (ne pas confondre salaire nominal [rémunération du salarié en monnaie courante] et réel [quantité de bien et services que l’on peut se procurer en fonction du niveau des prix avec le nominal]. Salaire réel = salaire nominal / inflation). Le salaire réel n’augmente que si le salaire nominal augmente + que l’inflation. D’après les libéraux, salaire réel doit être = productivité marginale. Point E d’équilibre : salaire d’équilibre qui satisfait à la fois l’offre et la demande de

économique : les écrits dit mercantilistes (monnaie, marchands et le Prince) Découverte des Amériques ( pillages or et argent ( arrivée d’or ++ en Europe (dès 1503) Espagne = puissance dominante Les métaux précieux affluent ( montée des prix (grande inflation entre 1475 et 1590) Et la stabilité des salaires nominaux ( baisse salaires réels (-50%) ( révoltes et troubles sociaux Réponse du gouvernement face aux troubles sociaux et à la hausse des prix : • Edit de Villers-Cotterêts (1539) = interdiction

Le marché est un lieu de rencontre souvent fictif à la fois réel entre l’offre et la demande de bien et de service. Les rapports marchands se généralisent dans de nombreuses sphères de la société. Ce processus, appelé marchandisation qui signifie Passage d’une forme non marchande à une forme marchande de l’offre de biens et services. On peut considérer une économie capitaliste ou libérale. Les rapports marchants sont indispensables à la survie d’une société mais ne flirtent-ils pas parfois avec

Cas d’entreprise PSA ou comment adopter une démarche stratégique adaptée. I. Analyse de la situation de l’entreprise. Question 1. Les opportunités qui influencent la stratégie de PSA sont : - Avantage obtenus par l’Etat pour les constructeurs automobiles français (prime à la casse, bonus, malus…) - PAS a poursuivi sa croissance en Amérique latine (hausse de 5,5%) et 67% des ventes ont augmenté en Russie (67%) - Fusion de Citroën et Peugeot - Proposition de véhicule

les banques ne peuvent offrir des crédits qu’à la hauteur d’un certain montant. Le mode de financement qui est proposé par les banques commerciales est largement inflationniste puisqu’il y a alors dans l’économie française, inflation par création monétaire mais aussi inflation par les coûts puisque les entreprises qui font face à des taux d’intérêts élevés lorsqu’elles font appel aux crédits bancaires répercutent ce coût de l’emprunt sur leur prix de vente. C’est donc pour se défaire de cet environnement