Johann Wolfgang von Goethe

Récit dialogué de Denis Diderot (1713-1784), commencé vers 1761. Plusieurs fois remanié, il fut publié d’après une copie autographe par G. Monval à Paris chez Plon-Nourrit en 1891. Avant cette date, le texte n’était connu que par une traduction de Goethe (1805), elle-même retraduite en français (1821) ; puis par une copie autographe, mais défigurée par des interventions de la fille de Diderot, Mme de Vandeul (1823) ; enfin par les éditions, sensiblement plus fidèles, d’Assézat (1875) et de Tourneux

chronologique, le récit débutant par l’enfance et se finissant à la période où l’auteur écrit. Les souvenirs d’enfance soulève une des difficultés de l’autobiographie, car comme le souligne le père de la psychanalyse en référence à Poésie et Vérité de Goethe ; « Quand on cherche à se rappeler ce qui nous est arrivé dans la toute première enfance, on est souvent amené à confondre ce que d’autres nous ont raconté avec ce que nous possédons réellement de par notre propre expérience ». Il arrive aussi que

représentations d’œuvres de Shakespeare qui va être pour lui une importante source d’inspiration. En effet, il consacrera à l’œuvre de Shakespeare une suite de lithographie entre 1834 et 1843, comme il le fit pour les traductions françaises de Faust de Goethe en 1827. Il est fasciné par la figure d’Hamlet, solitude de l’âme incarnée. En 1827 il assiste à la première représentation d’Hamlet au théâtre de l’Odéon. C’est pour cela qu’on suppose que la pièce lui a inspiré son premier autoportrait. Effectivement

I) Introduction Les souffrances du jeune werther est un roman épistolaire écrit par Goethe et publié en 1774. Le roman épistolaire est un genre littéraire dans lequel le récit se compose de plusieurs lettres entre les personnages. En effet, les chapitres de ces romans sont généralement organisés par les lettres écrites (chaque lettre séparée des autres et portant un chiffre, une date, le nom du destinataire ou une combinaison de ces éléments) Dès sa sortie, ce roman reçut un succès incroyable

L'Etranger où le héros est un être dépourvu de subjectivité. Et pour ne pas m'enfermer dans une opposition romantisme/réalisme j'ai montré que les Affinités électives de Goethe sont un roman "expérimental" dans lequel les sentiments des persos sont régis par des lois scientifiques (ou plutôt littéraire mais bon ce n'est pas ce que dit Goethe...) III : interroger le "moi" du héros romanesque 1) la place de l'auteur: je cite Flaubert et Proust qui déclarent donner d'eux-mêmes dans leurs personnages. Idée

dormir ou digérer, Chanter un vieux refrain, porter quelque rasade, Au fond d’un de ces chauds intérieurs, qu’Ostade D’un jour si doux sait éclairer ! III À vous faire oublier, à vous, peintre et poète, Ce pays enchanté dont la mignon de Goethe, Frileuse, se souvient, et parle à son Wilhelm ; Ce pays du soleil où les citrons mûrissent, Où de nouveaux jasmins toujours s’épanouissent : Naples pour Amsterdam, le Lorrain pour Berghem ; À vous faire donner pour ces murs verts de mousses

Philosophie PHILOSOPHIE ET SCIENCE DE LA NATURE CHEZ GOETHE MISE EN PERSPECTIVE A L’ERE DE LA PHYSIQUE MATHEMATIQUE DIRECTEUR DE RECHERCHE : M. JACQUES DARRIULAT REDACTION ET SOUTENANCE : M. YVES-MARIE L’HOUR Année universitaire : 2003 - 2004 « "Je crois en un seul Dieu !", voici une belle et louable parole ; mais reconnaître Dieu là où il se révèle et de quelle manière il le fait, telle est bien la félicité sur terre. 1 » GOETHE « L’œil accomplit le prodige d’ouvrir à l’âme ce qui

la guerre des deux bleus tinctoriaux (pastel européen contre indigo exotique) se lit dans les règlementations étatiques et les luttes coloniales. Vers 1710, une fraude commerciale donne naissance à un nouveau pigment, le bleu de Prusse (p. 133). Goethe (Traité des couleurs, 1810), réaffirme contre Newton la forte dimension anthropologique de la couleur : « Une couleur que personne ne regarde n’existe pas » (p. 138). Et c’est lui aussi qui, avec l’habit bleu de Werther (1774), lance le bleu romantique

compte dans ses rangs Goethe, Ludwig Tieck, A. Von Arnim, Novalis. Ces poètes cherchent à retrouver la poésie de la tradition populaire, qui, parce que plus "primitive", est conçue comme plus proche du modèle divin originel. Ce faisant, ils sont à la recherche de "l'âme allemande". Les frères Grimm collectent un grand nombre de récits populaires qu'ils réécrivent plus ou moins, L. Tieck.fait intervenir de nombreux éléments de folklore dans ses récits, Goethe et A. von Arnim réécrivent l'histoire

1.définition de l'illusion 2.ce qui favorise l'illusion 3.les conséquences 2)les dangers de l'illusion romanesque? 1.la déception et le suicide .(Mme Bovary de FLAUBERT) 2.La projection ds un personnage au point d'adopter son comportement .(GOETHE les souffrances du jeune Werther) 3.La folie .(CERVANTES Dom Quichotte) 3)un avertissement paradoxal 1.Le paradoxe 2.ces dangers peuvent etre écartés? 3.L'importance de l'esprit critique • Il y bouleverse les principes d'énonciation établis