Johann Wolfgang von Goethe

demi-frère aîné, est un homme impétueux en qui le vice et la vertu se livrent une grande bataille. Ce dernier incarne, selon l'auteur lui-même, « l'homme russe ». Les Années d’apprentissage de Wilhelm Meister est un roman d'apprentissage écrit par Goethe en 1795-96 : un héros chemine et doit faire son apprentissage de la vie tout en déjouant les différents obstacles qui se dressent devant lui. Wilhelm Meister est un jeune marchand qui se croit une vocation d’acteur dramatique, vocation qui se serait

naturel en art. Le Romantisme s'exerce dans les romans, la poésie, ainsi que le théâtre. Histoire du romantisme I. Le romantisme en quelques lignes... Au lendemain de la Révolution, dans le cadre d'un vaste courant européen (Byron en Angleterre ; Goethe en Allemagne), le romantisme se manifeste en France dans les œuvres (romans et mémoires) de Chateaubriand, qui invente un terme pour caractériser la nouvelle sensibilité dont il est porteur : « le mal du siècle ». Dès les années 1820, c'est la poésie

partir de 1773, constituent un aspect caractéristique de la littérature du Sturm und Drang; les plus célèbres sont Léonore et Chasseur sauvage. Mais c'est Schiller et Goethe qui ont porté le genre à sa perfection. Le Roi de Thulé (1774), le Roi des aulnes (1778), l'apprenti sorcier (1797) sont les plus connues des ballades de Goethe. En France, les romantiques, et Victor Hugo en particulier cherchèrent à rivaliser avec leurs modèles allemands. De nos jours, alors que Paul Fort, dans ses Ballade

obsession, pas seulement pour en revivre mais parce que l’enfance réalise la fusion du rêve et de l’actualité - Grand attrait pour la culture allemande est les paysages allemands ( Sa mère y est morte et enterrée ) Il y traduit notamment Faust de Goethe, s’intéresse aux légendes et aux contes. Il y fait des voyages-Pèlerinages. - Amour fou pour une actrice , Jenny Colon. Elle le quitte pour un autre, il en est complètement bouleversé. Sa mort le laisse tellement désemparé qu’il commence à être pris

particulièrement forte accentue la novation. La Révolution française incarne ainsi à elle seule une époque de l'histoire de l'Europe et du monde, rompant la chaîne des temps, comme les contemporains n'ont pas manqué de l'observer, qu'ils s'appellent Saint-Just, Goethe ou Joseph de Maistre. Aussi ses causes, ses modalités et ses conséquences ont été régulièrement l'objet d'analyses passionnées. La brutalité des affrontements et l'ampleur des guerres civiles et extérieures, les retournements de situations accompagnés

se réfugiant dans le passé, dans la religion, dans l’inconnu. Elle hisse l’imagination au rang de « reine des facultés » et regarde l’art comme le seul moyen de faire face. Déjà gagné, grâce à Mme de Staël, au drame philosophique allemand (Faust de Goethe), au roman anglais (Walter Scott), à la poésie lyrique (lord Byron), Delacroix trouve chez Dante, Shakespeare ou Ossian une source d’émotion nécessaire à son art.  Le chant VIII de l’Enfer de La Divine Comédie inspire à Delacroix le sujet de son

ont été sculptés sur les murs de la prison des Baumettes, à Marseille – ce qui correspond à l’idée de Dumas. 15 La Divine Comédie (l. 39) est de Dante ; le Paradis perdu (l. 40) est un poème de Milton ; Faust (l. 40) est probablement, ici, celui de Goethe (tous trois cités l. 42). Angèle ou Antony (l. 41) sont des œuvres de Dumas. 16 La tapisserie de Pénélope, tissée le jour et détissée la nuit, rappelle un épisode de L’Odyssée où la femme d’Ulysse, toujours absent, avait trouvé ce moyen ingénieux

Faust Goethe Résumé détaillé : Tableaux, Personnages : Action Prologue sur le théâtre. Le directeur, le poète dramatique, le personnage bouffon : Le directeur de théâtre a besoin d'une pièce nouvelle et réclame l'aide du poète et de l'histrion. Les aspects contradictoires de la création littéraire sont mis en lumière par la discussion. Le Poète évoque la postérité, la vulgarité du public, l’aspect divin de la fonction de poète, le génie, l’harmonie, l’inspiration et sa désillusion. Il souhaite

entré en contact avec le peintre, avait fait l’expérience d’une sorte communion. Ils se reconnaissaient l’un l’autre, partageant notamment le goût des Lettres d’outre Manche, de Byron et de Shakespeare, mais aussi de l’Italien Dante et de l’Allemand Goethe, le dandysme et le spleen. Cette autre qualité que Baudelaire goûtait en particulier chez Delacroix, «la plus remarquable qui fait de lui le vrai peintre du XIXe siècle : c’est cette mélancolie singulière et opiniâtre qui s’exhale de toutes ses

le juste châtiment de la vie errante et inutile qu'il avait menée jusqu'alors.   René ajouta de nouveaux transports à l'enthousiasme qu'avait suscité Atala. Chateaubriand y décrivait un sentiment bien connu en Allemagne depuis le Werther de Goethe, à savoir cette inspiration vers l'infini qui remplit le cœur et que rien ici-bas ne peut satisfaire. Ce fut la maladie de Chateaubriand pendant sa jeunesse, celle qui le poussa à chercher en Amérique le soulagement ou l'oubli de ses maux imaginaires