José María Iparraguirre

Musique « GERNIKAKO ARBOLA » (L'arbre de guernica) de José Maria Iparraguirre I- Introduction 1) L'oeuvre : « Gernikako arbola » (« l'arbre de Guernica » et une chanson de José Maria Iparraguirre devenue l'hymne non officielle basque. Elle a été étrennée dans le café San Luis à Madrid en 1853 et c'était une improvisation, accompagnée au piano par l'enseignant Juan Maria Blas de Altuna. Iparraguirre a improvisé l'hymne mais n'a jamais annoté la musique. C'est pour cette raison que l'on se

Notes Les parnassiens [modifier] Les précurseurs [modifier] * Théophile Gautier ; * Théodore de Banville. Les parnassiens les plus célèbres [modifier] * Leconte de Lisle, * Catulle Mendès, * Sully Prudhomme, * José-Maria de Heredia, * François Coppée, * Léon Dierx. Les parnassiens, stricto sensu [modifier] La liste complète des poètes qui ont contribué aux trois recueils du Parnasse contemporain figure dans l'article de ce titre. Parmi ceux-ci, signalons

...............................................................................................................7 Le rêve du jaguar.................................................................................................................7 José-Maria de Heredia..............................................................................................................8 Jason et Médée............................................................................................................

grecque, était la montagne des Muses et d'Apollon, dieu de la beauté et de la poésie ... Émaux et Camées de Théophile Gautier; Les Stalactites, Odes funambulesques de Théodore de Banville; Médailles antiques de Leconte de Lisle; Trophées de José Maria de Heredia Théophile Gautier Théophile Gautier, « L’Art » (1857) (Emaux et Camées, 1872) Q1 : Eléments prouvant que ce poème répond à celui de Banville. Le poème de Théophile Gautier répond à celui de Théodore de Banville. En effet, on peut

Correction du sujet d’écriture du devoir de type bac n°2 Plan possible d’un commentaire de « Midi » de José Maria de Heredia Problématique retenue : Comment l’écriture poétique sublime-t-elle la nature ? I. Un sonnet décrivant un moment de bien-être dans un cadre naturel apaisant A. Description d’un moment particulier d’une chaude journée estivale 1. Le titre du sonnet, «Midi » repris dans le poème : v 5 : « Midi splendide » 2. L’omniprésence du soleil et de sa chaleur: v:2

représentant tous les poètes du Parnasse qu'il éditait. Autour de José-Maria de Heredia, sont portraiturés notamment Paul Bourget, Sully-Prudhomme ou Leconte de Lisle. Ce tableau a pour cadre la propriété de l'éditeur. Élu à l'Académie française le 22 février 1894 en remplacement de Charles de Mazade, il fut reçu en séance publique le 30 mai 1895 par François Coppée. Lors du voyage des souverains russes à Paris, en 1896, José-Maria de Heredia composa le Salut à l'Empereur2. Il était membre de la

juste, proche de la perfection  Image du sculpteur récurrente pour montrer la résistance de la matière poétique. Auteurs et Artistes représentatifs        Théophile Gautier Leconte de Lisle Théodore de Banville José Maria de Hérédia Sully Prudhomme Villiers de L’Isle Adam Gautier Préface de Mademoiselle de Maupin (1835) : « Il n'y a de vraiment beau que ce qui ne peut servir à rien ; tout ce qui est utile est laid » Manifestes  Gautier Emaux et Camées

trouver sa place que dans les anthologies. Aux samedis de Leconte de Lisle s’était retrouvé un petit groupe de poètes, parmi lesquels Léon Dierx (1838-1912), Sully Prudhomme (1839-1907), Catulle Mendès (1841-1909), François Coppée (1842-1908), José Maria de Heredia (1842-1905), Louis Xavier de Ricard (1843-1911). Ces jeunes poètes font paraître chez Alphonse Lemerre (1838-1912), en 1866, le premier recueil du Parnasse contemporain, auquel collaborent également Baudelaire, Verlaine et Mallarmé. En

dont on peut considérer la poésie comme intermédiaire entre le Parnasse et le Réalisme et qui reprend ainsi la tendance intimiste et familière inaugurée par Sainte-Beuve. Mais celui de tous qui réalise le mieux l’idéal parnassien est certainement JOSÉ-MARIA DE HEREDIA (1842-1905), un Cubain fixé en France : grâce à sa reconstituer avec une précision toute scientifique les civilisations de l’Antiquité à nos jours ; comme LE CONTE DE LISLE , il attache une grande importance à la religion grecque et à

Le Parnasse. José-Maria DE HEREDIA, l’un des plus grand poète parnassien, est l’un des plus fidèle disciple du chef de fil du mouvement, LECOMPTE DE LISLE. Ce dernier se fera entouré de plusieurs écrivains qui à eux tous, deviendront l’école des poètes parnassiens. Ils développeront les grandes règles et doctrine de cette nouvelle littérature, contraire au romantisme. C’est à son maître et grand ami que l’auteur de notre recueil dédira son œuvre. Les Trophées est donc un recueil de poésies parnassiennes