Juron

longuement. Il excusa la verdeur de son langage en ayant recours à une métaphore : « Je ne suis plus qu’un vieil ours aigri ». Plus tard dans la conversation cela recommence. Il se livre à une série de jurons envers le pourvoyeur de drogue. Une hyperbole est utilisée pour amplifier ces jurons : « le torrent d’insultes ». Bref, on peut facilement déduire que le général Grant est un personnage indécent. Il est subjectif dans ses propos, impétueux dans ses réactions et grossier. Le détective Hercule

de lui et il apparaît). Il fait irruption dans la violence, en défonçant la porte (cf didascalie : « La porte est défoncée, Ubu pénètre suivi d’une légion de Grippe-Sous »). Il dérange déjà l’espace par sa voix tonitruante, emplie d’insultes et de jurons, du-dehors : « Corneguidouille ! Ouvrez, de par ma merdre, par saint Jean, saint Pierre et saint Nicolas ! ouvrez, sabre à finances… ». L’espace préservé est d’ailleurs envahi d’une horde de rapaces avides d’argent : la scène se remplie à l’arrivée

mots de Lisette.


 II. Conflit de deux personnalités 1. Une maîtresse et sa servante. Ce sont deux personnages socialement différents. Leur différence sociale est marquée par la situation d’énonciation : Lisette appelle Silvia " Madame ". Les jurons de la servante (" Pardi ! ", " Vertuchoux ! ") sont opposés aux paroles soutenues de Silvia. Sur cette, il faut imaginer que les costumes identifient les personnages. 2. Des relations nuancées : il y a une certaine intimité, complicité entre les

Les dialogues sont vivants et restituent l’ambiance décontractée et conviviale de ce moment : le juron « zut ! » qui ouvre le roman nous plonge d’emblée dans la familiarité d’un dialogue vrai ; cet emploi de l’oralité constitue d’ailleurs une véritable provocation envers les normes littéraires du XIXe siècle : œuvre réaliste, Pierre et Jean montre la réalité triviale du langage populaire. Ce juron, donné au discours direct, constitue un début in medias res : le lecteur est plongé directement dans

pour ensuite croire qu'elle n'a point été fidèle, c'est à dire qu'elle a raconté des choses qu'elle a vu ou entendu dans leur maison à d'autres servantes. Mais tout cela, Philaminte s'enfiche, ce qui l'importe c'est ce qui c'est vraiment passé, le juron prononcé par Martine ( Vers 16-17 « […] insulté mon oreille, Par l'impropriété d'un mot sauvage et bas »). Question 3 : Des deux époux, qui a le plus d'audace et d'originalité ? Des deux époux, c'est Philaminte qui fait preuve du plus d'audace et

« bâbord », « tribord », « tolet », « aviron »… b) Le traitement du temps C’est une scène en temps réel avec un déroulement linéaire ou chronologique. Les dialogues sont vivants et permettent de restituer une ambiance par souci de réalisme. Le juron « zut » qui ouvre le roman est une véritable provocation. 2. Une scène de pêche chez les petits bourgeois a) Un début dynamique in medias res Le lecteur est plongé directement dans l’action grâce à un narrateur extérieur à l’histoire mais omniscient

était, mais aussi au tout début de la pièce lorsque que Chérubin et le comte se cachait l'un de l'autre dans la même pièce ( la chambre de Suzanne et Figaro) ou même lorsque Figaro a faillit épouser sa propre mère. Le comique de Mots avec tout les jurons que prononce les personnages tout au long de la pièce. Le comique de gestes, le comique de gestes est omniprésent dans cette pièce de théâtre, dès le début de l'acte 1 lorsque Figaro était en train de dimensionner sa chambre à coups de longues enjambées…

verbale : jurons, injonctions à l’impératif, menaces. L9- 10 / l 31 Violence physique : lutte finale et destruction de la maison, cf didascalie l 36 C- une autorité abusive Double paiement des impôts, l 26. Injustice et cupidité Menace cruelle et incontrôlée de châtiments l 21, 31 Un roi impitoyable, sourd aux supplications, qui règne par la force II le caractère absurde et comique de cette scène A- Un roi bouffon, parodie du pouvoir royal -comique de mots : jurons familiers qui

Dieu ?   Allons vite, cuisinier ! Appelle tes gardes ! Répétition OrdresImpératif  Juron Créon ne fait que répéter le même ordre : il veut qu’Antigone se taise. Si on l’entend, il ne pourra plus la sauver. Il y a une gradation : il s’énerve de plus en plus (il emploie le juron « bon dieu », dans la dernière réplique.A la fin de l’échange, c’est Antigone qui donne des ordres. Les rôles ont été inversés. bon Dieu juron CRÉON Tu ne sais plus ce que tu dis. Tais-toi.CRÉON, la secoue. Te tairas-tu, enfin

de nombreuses recherches. Et oui! Les jurons peuvent effectivement avoir un effet thérapeutique. Ils peuvent soulager la douleur physique et psychologique. Cet effet s'explique par le fait que le sacre est une réponse émotive. Le corps réagit pour lutter contre une situation difficile soit le battement du cœur s'accélère. C'est une analgésie induite par un stress. D'ailleurs, nous avons tenté l'expérience en classe et elle a été très concluante! Les jurons prospérés par un camarade lui a permis