Juron

fille n'est pas encore en retard mais qu'Alexandre se plaint quand même, et : « Sacrebleu ! Je ne vois pas le signal ! » l.36 le Duc marque cette fois son impatience par un juron. On nous présente ensuite quelqu'un de riche et d’avare : « Entrailles du pape! Avec tout cela je suis volé d'un millier de ducats » l.12-13 le juron qu'il emploi est comique car il passe pour un fils bâtard du pape. Il est enfin montrer comme un homme débauché, car il parle ici d'une jeune fille de « quinze ans » l.17 il

qui le remplace… d’où l’épouvante du Comte, de Rosine et de Figaro à son arrivée : les trois premières répliques sont ainsi très courtes, de trois syllabes chacune, constituées de trois exclamatives, deux phrases nominales, le nom de Bazile puis un juron, et d’une proposition minimale dans laquelle Figaro évoque « le Diable ». Cette évocation fait écho à celle de Bartholo parlant de Figaro dans l’III, scène 2 « Le diable est entré chez moi ». L’hyperbole correspond cette fois au rôle dramaturgique

L3 on assiste à une longue réflexion sur son dilemme., Dans le texte 3 cette fois ci nous avons ; nom des personnages dévalorise avec des allure paysanne dévalorisation es personnages ainsi présenter comme non noble le langage familiers avec le jurons « Merde !! »que l'ont peu caractérisé comme des euphémisme de la comédie classique, double transgression,, double dégradation avec la vulgarité, expressions familières sonorité » un méchant et gras chat » et des archaïsmes « vous êtes » ces procédés

« je ne pense plus qu’au poisson »  , « le vieux pêcheur », « sa manie de pose marine ». Le narrateur fait apparaître le caractère fruste du personnage. Son langage est familier voir même grossier le roman commence « zut ! », et il prononce encore le juron « cristi ! » malgré les remontrances de sa femme et de ses fils. L'utilisation du langage familier rend la scène plus authentique. Le roman réaliste présente les différents aspects des personnalités des personnages. Ainsi, si la présentation de Pierre

s’enchainent de façon comique: « Horreur. Infamie. Scandale. Indignité » ou encore « C’est idiot; c’est absurde; ça n’a ni queue ni tête ». Le comique de langage est aussi présent dans cette scène comme dans le reste de la pièce avec toujours les même jurons et le fameux « merdre » qui répond de façon catégorique aux magistrats qui s’opposent à touts changements. Ils seront ignorés comme toutes les personnes autour de Ubu puis exécutés. Jarry invente aussi des objets comiques tel que « la caisse à noble »

+ en + fort, adressés au poète, concernant la galanterie du sonnet, sa finesse d’expression. Il se montre connaisseur en flattant la chute et emploi un langage mondain. 3) La réaction d’Alceste est forte. Il fait des apartés au début. Il emploi le juron « morbleu » 2 fois. Prononce deux interrogations rhétoriques et il emploi « vil complaisant » (qui signifie lèche bottes). Il faut penser ici aux intentions de Molière. Il connaissait parfaitement cet usage de la poésie mondaine, précieuse et qu’il

Personnages, orchestre et argument de la Traviata |Personnages |Rôles |Voix | |Violetta |Personnage principal |Soprano | |Flora Bervoix |Amie de Violetta |Mezzo-soprano | |Annina

« clair de lune ; jardin ;minuit sonne » Tout est réuni pour une scène romantique, cependant la réalité est tout autre en effet , le duc s’exprime dans un langage peut châtier, on note : dans ses trois répliques qu’ il ne peut s’empêcher d’émettre deux jurons car il croit perdre son argent « je suis volé » (l.10) Lorsqu’il évoque la température « il fait un froid de tout les diables »(l.2) celle ci révèle son ardeur amoureuse. Cette scène n’a rien de noble elle transgresse la morale et écrase l’idéalisme

mode de séduction chez Marivaux aussi appelé : la parodie du marivaudage B. Une scène caricaturale Les effets de décalage, essentiellement liés au jeu d'Arlequin : ses gestes, son rire rompent les conventions de la conversation galante. 1. juron "palsambleu" Ligne 55 2. insiste sur la gestuelle 4 "on" Ligne 56 3. La didascalie "il saute de joie" Lignes 56-57 Les commentaires critiques de Cléanthis soulignent ces ruptures. Exemple : « Rayez ces applaudissements ils nous dérangent. »

plaisir : son diner Don Juan se caractérise comme un héros subversif  Qui retourne les valeurs établies, transgresse l’ordre social I) UN HEROS SUBVERSIF PAR RAPPORT A L’ORDRE ETABLI A) L’INSOLENCE Don Juan fait preuve d’insolence, exclamations, jurons, audace de Don Juan B) SOUMISSION D’UN PERSONNAGE INTERLOCUTEUR Ils ont conscience de cette insolence, mais modèrent leurs ardeurs Le pauvre est même obligé de se justifier sur l’aumône qu’il réclame, alors qu’il s’agit de règles établies par