Juron

réplique de Mère Ubu ajoute un second mot grossier qui accentue la vulgarité du précédent.  Cette vulgarité est présente aussi dans le lexique : fiole , cul (repris), dur à la détente. D'autres jurons émaillent le passage: Ventrebleu , et l'expression de par ma chandelle verte, constante chez Ubu. Ces deux jurons frappent par leur archaïsme. Le terme Ventrebleu et la construction de par font référence au langage du XVI e siècle. B Le mélange des genres : on remarque aussi la présence d'archaïsmes soutenus

tient à lui-même. Le monologue n'appartient qu'au monde de l'écriture fictionnelle. Un juron : Un juron est un terme ou une expression brève, plus ou moins grossier, vulgaire ou blasphématoire, dont on se sert pour donner une intensité particulière à un discours. Un juron peut éventuellement être interprété comme une insulte selon les circonstances dans lesquelles il est proféré. Cependant, de manière générale, le juron est une réaction devant une situation et ne vise pas, en principe, un destinataire

coté dramatique du poème Ton grave qui apporte du rythme et de la musicalité Répulsion du désir physique : anaphore trop, « trop mal donné », « trop caressé », « trop souvent mais » Il ne faut pas juger la femme : « Messieurs ne crachez pas de jurons ni d'ordure » II – L'amour qu'à le poète pour Sarah 1) La sensualité de la femme malgré son age Champ lexical du corps et de la sensualité : « œil, visage, mains, yeux, bouche, les seins, le corps » Evocation de plaisir dans le lit de la femme

part de la caricature, l’auteur cherche à ridiculiser un autre auteur. Ainsi, dans Virgile travesti, Scarron parodie l’Eneide de Virgile en utilisant la farce et le vulgaire pour faire rire son lecteur. De même, Alfred Jarry dans Ubu roi utilise des jurons (« Merdre »), le langage familier (« braillant », « gueulant ») et des bouffonneries pour parodies Macbeth, de William Shakespeare. Les personnages ne sont pas très définis dans Ubu roi, ainsi que le cadre spatio-temporel, ce qui permet de se concentrer

libro, de copiosate reverentiarum , estime qu'on les appelle Parrhésiens en grec, c'est-à-dire fiers en paroles. Ce nouveau baptême de la ville s’accompagne de jurons à tous les saints. La première édition proposait ici 21 jurons assez salés et pour la plupart blasphématoires (« par saint andouille ! par saint vit ! par saint Foutin l’apôtre ! ») (note de M. Marrache-Gouraud, GF) Le culte des saints, de leurs prétendus miracles, de leurs reliques

noient les parisiens sous des flots d’urine car ils sont coupables de crédulité (chap. 17 p.155), Gargantua invente le « torche-cul » et créé des poèmes « torcheculatifs » (chap. 13 p. 139)....Rabelais utilise également un langage grossier, des jurons et des termes crus. Dans le prologue, il insulte ses lecteurs en les traitants de « vits d’âne » (p.53) à travers le masque d’Alcofribas. Alors que Gargantua devient plus sage au fur et à mesure que l'histoire avance, le personnage de Frère Jean

caché dans l'intimité d'un foyer est révélé au grand jour. Molière avec Dom Juan utilise avec adresse le comique du langage et rend ainsi les personnages ridicules. Le spectateur rit face à la parodie du patois paysan (les mots sont déformés, des jurons étranges sont lancés…). Mais aussi face au personnage comique de Sganarelle invitant sans cesse à la dérision et à la détente en étant représenté comme superstitieux, croyant reconnaître un spectre (« c’est un spectre, je le reconnais à sa façon

elle soutient la cause de Don J. Elle ne joue pas « sa promise ». L'innocent qui subit une punition qu'il n'a pas mérité (comique de situation) et Sganarelle. Comique de répétition (les soufflées qui ponctue et met en valeur les exclamations et jurons de Pierrot) Un constat de la société Qu'est ce qu'une farce ? C'est lorsque que çà fait rire. Qu'est ce qu'une comédie ? C'est lorsque çà fait rire afin de dénoncer les vices, travers d'une société, époque.. Dans la farce on y trouve

réel », sans ellipse temporelle ; le narrateur nous fait suivre tous les actes et paroles des personnages comme si nous assistions réellement à cette pêche. Les dialogues sont vivants et montrent l’ambiance décontractée et conviviale de ce moment : le juron « zut ! » qui ouvre le roman nous plonge d’emblée dans la familiarité d’un dialogue vrai.

un automobiliste muni d’un A, rentra dans une Lamborghini. La personne qui en sortit était très maniérée. Elle ordonna au misérable de faire un constat. Le jeune conducteur débraillé ne sachant pas ce qu’était un constat devint furax et envoya des jurons au riche conducteur. Le bourgeois mécontent menaça d’appeler la police ! A ce moment même, l’autre lui envoya une gifle. L’ « aristocrate » choqué lui dit : « Moi Roger je ne me laisserai pas faire ça » ! Ils se battirent sans savoir se battre… On