Karl Popper Logique De La Decouverte Scientifique

certains philosophes qu'il y a la possibilité que l'inconscient soit bien une partie de soi. On attache traditionnellement la découverte de « l’inconscient » à Sigmund Freud, médecin mais non philosophe. Le sens qu’il a donné à ce concept dans sa politique de médecin s’est imposé chez les intellectuels. Mais le mythe vient s’introduire entre ses auteurs et ses découvertes, le mythe, du latin « Muthos » qui est fait de récit populaire, mensonges et fables. La pensée mythique n’est pas qu’un lointain

1984. Le modèle de la scientificité APOSTEL et coll. L’explication dans les sciences, Flammarion, 1973. BACHELARD G., La formation de l’esprit scientifique : contribution à une psychanalyse de la connaissance (1965), Paris, Vrin, 13è éd. 1986, 258 p. BACHELARD Gaston , Le rationalisme appliqué, PUF, 1949. BACHELARD Gaston, Le nouvel esprit scientifique, PUF, 1934. BOURDIEU P., Sciences de la science et réflexivité, Raisons d’agir, 2001. CANGUILHEM Georges, Idéologie et rationalité dans l’histoire

d’expliquer les faits. C’est une erreur de penser que l’expérience seule suffit. III – La démarche scientifique n’est pas empirique mais expérimentale La démarche scientifique de Claude Bernard (XIXe siècle) : • L’observation met en évidence un problème. • L’hypothèse est une supposition, une anticipation rationnelle des phénomènes. Elle a un rôle heuristique, c’est-à-dire qu’elle facilite la découverte. Bachelard : « Il n’y a de science que du caché » (XXe siècle). • L’expérience est la vérification

connaissance. En conséquence, nous essaierons de dégager les idées clés de sa pensée en les regroupant autour d’un chapitre qui mettra en exergue l’évolution de la connaissance à ses différents stades préscientifique, scientifique et le dernier stade qui est le nouvel esprit scientifique ou stade ultime dans lequel se trouve la vraie connaissance rationnelle du réel d’après Bachelard. En outre, notons que cette partie sera précédée d’un chapitre qui permettra de jeter un regard global sur la connaissance

Pour répondre à cette question, il y a eut un débat dans les années 1950 entre Karl Popper (partisan de la réfutation) et Milton Friedman (partisan de la vérification). A. Popper En 1935, Popper publie " La logique de la découverte scientifique " où il propose de remplacer le critère positiviste de la vérifiabilité par celui de la falsification ou de la réfutation et avance comme argument que " pour être scientifique, une théorie doit pouvoir être mise en défaut par l'expérience ". Il critique également

recherche scientifique elle-même était conçue (par la majorité des scientifiques) comme une tâche religieuse, un moyen de comprendre la sagesse de Dieu manifesté dans la création et comme un moyen d'adorer Dieu. Discutant cette attitude chez les Puritains, R.K. Merton remarque: "C'est cette même motivation, qui, reproduit dans une mesure constante dans les écrits mêmes qui contenaient souvent des contributions scientifiques considérables: ces activités mondaines et accomplissements scientifiques manifestent

positivisme logique, ce ne sont pas ses diverses graves erreurs de doctrine… mais le fait qu’il ait cessé de s’intéresser aux grands problèmes. Bref, le fait que son esprit soit devenu scolastique. » 1 INTRODUCTION Les mythes n’ont aucune pertinence objective. Cependant, le mythe de l’objectivité de la connaissance scientifique en droit est le seul qui continue à exister seulement à tra- vers l’effort des théoriciens néo-positivistes. Dans une large mesure, cette citation de Karl Popper trouve sa pertinence

que son entendement est limité. Seul Dieu a des idées claires et distinctes. Leibniz est plus exigeant que Descartes : la vérité necessite un calcul bien réglé. Il y a des degrés de connaissance et seule la logique nous permet de rechercher la vérité. Le problème d'un critère purement logique, c'est qu'il ne concerne que la validité du discours, indépendamment de la réalité.- Descartes : Pour lui, le critère de la vérité c'est l'évidence ; une idée « claire et distincte » est une idée vraie. L'évidence

et la lettre…………………………………………………………… 9 Modèle explicatif scientifique……………………………………………………. 11 Définition…………………………………………………………………….... 11 L’unité des sciences…………………………………………………………. 12 La connaissance scientifique………………………………………………. 13 -La raison scientifique…………………………………………………….. 14 -La falsifiabilité de Popper………………………………………………... 15 Comparaison des modèles explicatifs mythologique et scientifique……. 18 Organisation du mythe……………………………………………………… 18

. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 1. Le statut de l’expérience . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 2. Le progrès scientifique . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 1 3. L’épistémologie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .