Kominform

du « rideau de fer » : Churchill l’annonça dès 1946 dans son discours de Fulton • 16 pays adoptent le plan Marshall, le « containment » américain à l’Ouest répond à la soviétisation de l’Europe de l’Est et l’alignement de tous les P.C. par le Kominform de Jdanov - « coup de Prague » : fév. 1948 : dernier acte de la satellisation de l’Europe de l’Est - blocus de Berlin Ouest (le relater…… c’est l’exemple fort du sujet… pont aérien…) il entérine la partition allemande : naissance de la RFA &

prennent une importance accrue. On distingue trois périodes dans la guerre froide. La division du monde en deux blocs engagés dans une lutte sans merci est solennellement énoncée par le délégué soviétique Jdanov lors de la réunion de formation du Kominform (bureau d'information des partis communistes) à Szklarska Poręba en Pologne, le 22 septembre 1947. Ce que l'on a appelé le « coup de Prague » de février-mars 1948 – le parti communiste s'empare du pouvoir faisant basculer le dernier régime démocratique

d’accepter l’aide américaine, les Soviétiques tentèrent de mettre en place une « contrepartie du plan Marshall ». Ne pouvant directement rivaliser avec les Etats-Unis sur le plan économique, leur réponse fur idéologique (doctrine Jdanov) et politique (Kominform). La création d’une association économique entre pays du Bloc de l’Est, le CAEM, fut plu tardive (1949) 3) H. Truman présente le blocus de Berlin (1948-1949) comme une conséquence du Plan Marshall, les Russes prenant prétexte de « difficultés techniques

communistes nationaux, à la refuser. Cet antagonisme conduit les deux Grands à former avec leurs alliés deux blocs économiques(Organisation Européenne Cooperation Economique / Conseil Assistance Economique Mutuelle), politiques (Alliance Atlantique / Kominform) et militaires (OTAN / Pacte de Varsovie). Comme les autres pays d’Europe de l’Est passés sous contrôle de l’URSS, la RDA est devenue une « démocratie populaire », c’est-à-dire une dictature aux mains d’un parti unique, sous contrôle de Moscou.

et en Asie dans les années d’après guerre. Q2 : En reléguant les dirigeants du PCF au second plan et en présentant Staline en maître du jeu, l’affiche insiste sur les rapports de soumission du parti communiste français à Moscou par le biais du Kominform : créé fin 47 , cet organe est l’instrument qui permet à l’URSS de forcer les PC européens à s’aligner sur ces propres positions et à ne pas s’en écarter. Q3 : Cette affiche de propagande anticommuniste avait pour but d’alerter les français que

l’impérialisme américains st les 3 fléaux d’un monde que l’URSS et le camp communiste déclare combattre. Dès lors, 3 perspectives déterminent le cadre de la future rivalité des puissances : ▪ La remise sur pied d’une Internationale communiste (le Kominform) où les pays d’Europe de l’Est st bientôt « normalisés » et assujettis à la seule puissance soviétique stalinienne. Ces « démocraties nouvelles » st en fait des pays totalitaires dominés par les PC ▪ La division de l’Europe (et de l’Asie) en

février 1945), suivie de cellede Postdam (17 juillet-2 août 1945). Il dessine alors avec Churchill (puis Attlee) et Roosevelt (puis Truman) l’avenir de l’Europe ; et notamment la partie orientale. Il est aussi à l’origine de la doctrine Jdanov et du Kominform qui unissent les démocraties populaires au « Grand Frère soviétique ». 3Les pays poignardés correspondent aux « satellites » de l’URSS appelés aussi « démocraties populaires ». Ainsi, la Tchécoslovaquie est poignardée à la suite du coup de Prague

anti-socialistes de par le caractère totalitaire du régime soviétique. (à développer) La période étudiée et décrite s’étire jusqu’en 1953 ; elle se termine en raison de la mort de Joseph Staline, le dégel soviétique par conséquent avec la dissolution du Kominform, mais encore la stabilisation de la situation en Allemagne et en Corée… Ces événements marquent un premier grand tournant dans les rapports et les relations que les Grands entretiennent entre eux. S’ouvre dès lors un nouvel épisode que l’Histoire

antidémocratique et belliciste dirigé par les Etats-Unis et un camp démocratique, anti-impérialiste et pacifiste conduit par l’URSS. Le 5 octobre 1947, un bureau central de liaison et d’information entre les partis communistes est créé : c’est le Kominform qui a pour but de coordonner la lutte révolutionnaire contre l’impérialisme américain. Cette “doctrine Jdanov” est approuvée par les membres de partis communistes européens dont le français Jacques Duclos, comme on peut le voir dans le document

vraiment pour les communistes. En septembre 1947, la Pologne accueille la conférence constitutive du Kominform, la nouvelle version de l’Internationale communiste. Les communistes français s’y font sévèrement réprimander. Jdanov, reproche au PCF son « crétinisme parlementaire ». L’heure n’est plus à la participation au gouvernement, mais bien à l’opposition aux politiques atlantistes. Soumis au Kominform, le PCF devient ainsi un fidèle soutien à l’URSS. En 1952, le communiste Jacques Duclos écrit dans Les