La Mort Est Mon Métier Rudolf Lang

Fiche de lecture I. Le paratexte Œuvre : La mort est mon métier Auteur : Robert MERLE, écrivain de nationalité française (1908-2004) Edition : Gallimard Collection : Folio Nombre de pages : 370 pages Nombre de parties : Sept parties Robert MERLE a également écrit : -1955 : Oscar Wilde ou la « destinée » de l'homosexuel (essai) -1959 : Vittoria, Princesse Orsini (biographie) -1965 : Moncada, premier combat de Fidel Castro (histoire contemporaine) -1965 : Ahmed Ben Bella (histoire

Ce n’est pas un livre de plage, ni un livre de détente, c’est un livre dur, qui fait mal car il nous rappelle l’ignominie de la Shoa, qui livre qu’il fait parti du devoir de mémoire. Robert Merle nous raconte l’histoire de Rudolf Lang (en réalité Rudolf Hoess) commandant du camp d’Auschwitz. Extrait de la préface du livre écrite par Robert Merle signé du 27 avril 1972 Il y a bien des façons de tourner le dos à la vérité. On peut se refugier dans le racisme et dire : les hommes qui ont fait

L’ENFANCE DANS LA GUERRE Livre : « La mort est mon métier » de Robert Merle MARC GALLET 3è6 SOMMAIRE : Page 1 : Page de Présentation Page 2 : Sommaire Page 3 : Présentation du Livre Page 4 : Biographie et Bibliographie de Robert Merle Page 5 : Résumé Page 6 : Analyse Page 7 : Appréciation Personnelle Page 8 : Etude du thème Page 9 : Sources Page 2 sur 9 PRESENTATION DU LIVRE : Titre : La mort est mon métier Auteur : Robert Merle Paru aux Editions

Robert Merle « LA MORT EST MON METIER » 1) Présentation du livre : - L’histoire du livre est tirée de faits réels : Rudolf Lang a existé. Il s’appelait en réalité Rudolf Hoess et il était le créateur et un des commandants du camp d’Auschwitz. Dans la préface de robert merle, Rudolf hoess est un homme qui faisait qu’obéir aux ordres, il agissait par pur respect pour l’état et par fidélité au chef. C’était un homme de devoir et ne se rendait alors pas compte de l’atrocité de ses actes. Pour

Présentation d’un roman LA MORT EST MON METIER, Robert Merle Editions Gallimard, 1952 BIOGRAPHIE DE L’AUTEUR Robert Merle est un écrivain français né en 1908 en Algérie où son père est officier et mort en 2004 à Yvelines en France. Il vit dans ce pays à partir de 1918. Il est titulaire d'une licence de philosophie, d'un doctorat en lettres et agrégé d’anglais. Il devient par la suite professeur d’anglais. Quand la Deuxième Guerre éclate, Robert Merle est agent de

de la guerre, comme le montre celui-ci, La Mort est mon métier, paru en 1952. Robert Merle retrace la vie de Rudolf Hoess, renommé Rudolf Lang dans l’ouvrage, de son enfance jusqu'à sa condamnation. L’essentiel de sa vie est connue grâce à un entretien par un psychologue américain lors du procès de Nuremberg. Rudolf Hoess était le commandant du camp de concentration et d'extermination d'Auschwitz pendant la Seconde Guerre mondiale. Les actions de Rudolf, selon Robert Merle, sont justifiables grâce

famille d'éducation rude et pratiquante de la foi chrétienne, Rudolf Lang a deux petites sœurs et sa famille est propriétaire d'un magasin qui la fait vivre. Ayant commis une faute impardonnable le père de Rudolf avait décidé que son fils rentrerait dans les ordres, mais son père meurt et Rudolf ne suivra pas les dernières volontés de son père. Rudolf admire ses ancêtres et veux devenir comme eux officier. Il commencera par le métier d'aide brancardier et quittera ensuite sa famille pour se battre

Résumé du livre La mort est mon métier - Robert Merle 1913 Enfance de Rudolf Lang. Il a un père très strict et traumatisé par son séjour à Paris (et par les Français car les Allemands de l'époque étaient en général racistes). Pour faire pénitence de ce voyage, il a promis à la vierge de faire de son fils un prêtre. Rudolf a une mère et deux sœurs. À l'école, après avoir repoussé un de ses camarades (Werner), ce dernier s'est cassé la jambe. Rudolf se confie au prêtre de l'école. Celui-ci le

|Créer l’impensable … | |Dans La mort est mon métier, l’écrivain Robert Merle s’est attaché à |30 |Le procédé demandait du temps, exigeait un service d’ordre compliqué, et en | |reconstituer la vie de Rudolf Hoess (rebaptisé “Rudolf Lang”, dans le | |cas de révoltes simultanées, posait même de graves problèmes. | |livre), commandant du camp de concentration d’Auschwitz, à partir des | |A ces inconvénients, l’emploi du Cyclon

plus meurtrier, alors que tous les moyens techniques et scientifiques pour la promotion et le bonheur de l’homme ont connu leur apogée en cette période. Ce paradoxe est déjà souligné par le thanatologue Louis Vincent Thomas dans un article sur la mort dans L’Encyclopeadia Universalis : « Paradoxe insoutenable, jamais l’humanité n’a autant fait pour exalter l’homme, prolonger sa vie et proclamer ses droits, or jamais elle n’a affecté pour l’homme un aussi grand mépris (hier, 38 millions de morts