Lachès

Résumé pages 10 à 16 de « Lachès » Texte dialogique de Platon Lysimaque et Mélésias voyant arriver leurs fils à l’adolescence ne désirent pas qu’ils manquent d’instruction qui fera leur fierté futur, tels qu’eux-mêmes ont en leurs pères qui étaient trop occupés par les affaires publiques pour prendre soin de leur développement intellectuel et moral. Ils décident donc d’aller voir leur amis Socrate, Nicias et Lachès pour leur demander conseil sur la nécessité ou non d’apprendre l’escrime en armes

1. La toute première définition du courage qu’énonce Lachès est que l’homme courageux est certainement celui qui est déterminé à faire tête à l’ennemi en gardant son rang, sans prendre la fuite. 2. L’objection que formule alors Socrate est qu’il y a des personnes qui combattent tout aussi bien en fuyant qu’en chargent. 3. Le premier exemple que fournit Socrate afin d’illustrer le sens de son objection est celui des Scythes qui n’ont pas besoin d’armes pour combattre mais au contraire

Lachès ou Sur le Courage - Platon Personnages du dialogue: Lysimaque, Mélésias, Nicias, Lachès, les fils de Lysimaque et de Mélèsias, Socrate Lysimaque Vous avez vu, Nicias et Lachès, cet homme combattre tout armé. Pourquoi nous vous avons priés, Mélèsias et moi, de venir le voir avec nous, nous ne vous l’avons pas dit alors, mais nous allons vous le dire à présent; car nous pensons qu’il faut être franc avec des hommes comme vous. Il y a des gens qui tournent en ridicule ces sortes d’exercices

PHILOSOPHIE COURS 1: LACHES de PLATON 178a : l'homme qui fait profession d'enseigner le combat en armes ou hoplomachie s'appelle Stésilas ce genre de choses = combats en arme178b : selon Lysimaque il y a certaines personnes à qui on demande conseil et qui ne donnent pas leur opinion propre mais cherchent à deviner la pensée de celui ou ceux qui les consultent 179a : Thucydid = politicien athénien très influent, appartient au parti aristocratique. Aristide = politicien athénien, un des principaux

savoirs sont dépendants au savoir le plus général; la vertu. Une personne vertueuse est un être qui agit toujours bien pour lui-même et pour les gens autour de lui. Ainsi, seuls les hommes savants possèdent le savoir de la vertu. Or, comme dans le Lachès de Platon, Socrate dit à ses interlocuteurs : <<nous [...] affirm[ons] que le courage n'est qu'une des parties de la vertu>> (Réf: [199e]). Donc, seuls les hommes savants peuvent être courageux. D'autres personnes penseraient plutôt

Platon traite de la nature du courage dans un dialogue de jeunesse intitulé Lachès. Bien que la question du courage n'intervienne que vers la moitié de l'ouvrage, le texte s’interroge du début à la fin sur l'opposition et la conciliation qu’il peut y avoir entre l'action et la parole, relativement à ce que l'on prétend savoir des qualités de ses propres actes. Ainsi, dans une recherche de l’essence du courage, une réflexion sur la science se tisse en filigrane par le biais d’une critique constructive

Le maniement des armes Lors d’une disscution, entre Nicias, Lysimaque et Lachès, Nicias donne son opinion sur l’enseignement du maniement d’armes chez les jeunes pour différentes raisons. Pour commencer, il dit quand pratiquant cet exercice, leur corps acquerra une meilleure résistance car cet exercice demande un effort que ne le cède à aucun des exercices pratiqués en gymnase. L’équitation et cet exercice sont faits pour un homme libre dit-il. Ils deviendront plus durs et moins sensibles

Lachès (190e-194b) SOCRATE: Alors, tentons en tout premier lieu, Lachès, de dire ce qu'est le courage. Après cela, nous examinerons aussi de quelle façon on peut en assurer la présence chez les jeunes gens, et dans quelle mesure cette présence peut se fonder sur les exercices et les apprentissages. Eh bien, essaie de formuler ce que je demande: qu'est-ce que le courage ? LACHES : Par Zeus, Socrate, ce n'est pas difficile à formuler. Si un homme est prêt à repousser les ennemis tout en gardant son

humain. Le partage, la communication et l'idée de l'universel. Cette idée qui est partagée avec le langage. La première définition d'Hippias est : « La beauté, c'est une belle femme ». À ce moment, Hippias est sur le terrain de l'opinion. Comme Lachès avait fait avec le courage, Hippias mélange l'exemple à la définition. Cet exemple relève de son opinion qui est le fruit de son vécu. Socrate peut facilement contredire son point de vue puisque ce n'est pas la vérité, l'opinion change, il n'est pas

fut pas la surprise de Socrate de constater que, par ses questions, il embarassait considérablement le "sage" en question ! Celui-ci, homme politique de renom, ne savait en fait rien du tout. La lecture de certains dialogues platoniciens comme le Lachès peut donner une idée assez exacte de la situation : tout comme ce grand général échoue à définir le courage (alors qu'on pourrait de prime abord le croire fort bien placé pour le définir), l'homme politique athénien que Socrate interrogea d'abord