Charmide

Charmide Personnage * Critias : Critias est le neveu de Glaucon, qui est le grand-père de Platon. Il est représenté dans le dialogue sous les traits d’un homme d’une trentaine d’années, habile. Il est mort lors d’une banale bataille de rue contre des démocrates, près du Pirée, en -404. L’une des accusations portées plus tard contre Socrate vient de ses relations avec ce personnage. * Charmide : Charmide est l’oncle de Platon et le frère de Périctionè, la mère de Platon. Platon le décrit

dit-il ; mais ce n’était encore qu’un enfant avant ton départ ; c’est Charmide, fils de mon oncle Glaucon, et mon cousin. — Oui, par Zeus, je le connais, repris-je ; il n’était déjà pas mal en ce temps-là, bien qu’il ne fût encore qu’un enfant ; mais ce doit être aujourd’hui un jeune homme tout à fait formé. — Tu vas t’assurer tout de suite, reprit-il, de sa taille et de son air. » Et comme il disait cela, Charmide fit son entrée. III. — Pour moi, camarade, je ne sais rien mesurer ;

Extrait du Charmide de Platoni Ce dialogue porte sur la sagesse, mais le mot grec est sophrosune et non sophia, donc sagesse ici veut en faire dire quelque chose comme prudence ou tempérance. Ce n’est donc pas la sagesse théorique, mais la sagesse pratique. C’est un sens plus proche de celui de vos parents lorsqu’ils vous disaient : « Sois sage avec la babysitter. » S=Socrate, Cr=Critias et Ch=Charmide […] Critias, à ces mots, s’écria : Ce mal de tête, Socrate, serait une bonne fortune pour ce

ne me possédait plus et j’ai compris que Kydias était très versé dans les choses de l’amour, lui qui a donné ce conseil, en parlant d’un beau garçon : prends garde qu’un jeune faon rencontrant un lion ne se fasse arracher un morceau de chair ». (Charmide 155d, trad. Dorion) 2) – Eût-on la tête tout encapuchonnée, Ménon, rien qu’à ta façon de parler à ton interlocuteur, on reconnaîtrait que tu es beau et que tu as encore des amoureux ! – Et pourquoi donc ? Parce que tu ne fais, en tes propos

probablement beaucoup plus proche du Socrate historique: Par exemple, cette éloge d'Alcibiade à la fin du banquet fait partie des textes reconnus par les héllénistes comme très primitifs dans l'oeuvre de Platon. En lisant les textes, on voit dans le Charmide, un Socrate qui explique qu'il a été initié lors de ses voyages par un certain chaman, et c'est là qu'il a appris ce que c'était que les incantations enchanteresses. De même, dans le Ménon, un texte très important, Ménon se plaint d'avoir été comme

autres créatures. Ca va nous invité a observé ce qu’il en était de la place du sujet à une époque plus ancienne. IV- Conception antique du sujet : lecture de Charmine de Platon PLATON : IVème siècle av JC Dialogue entre Critias et Platon de Charmide C’est une réflexion sur une phrase célèbre de l’antiquité « connais-toi toi-même ». Cette phrase était inscrite sur le temple de Delphes.

prétendait en effet descendre de Codros, dernier roi légendaire d'Athènes, et plus sûre du côté de sa mère, Périctionè, qui descendait d'un certain Dropidèsp. 2, proche de Solonp. 3. Elle était également la cousine germaine de Critias et la sœur de Charmide, deux des Trente Tyrans d'Athènes en -404. Platon avait trois frères : Adimante et Glaucon, interlocuteurs de Socrate dans La République et sans doute plus âgés que lui, Antiphon, ainsi qu'une sœur, Pôtonê, mère de Speusippe, qui succéda à Platon

qualité d'écrivain.il sera le disciple de socrate(1) qu'il fera parler dans l'une de ses oeuvres et était le maître à penser d'Aristote (2). son idéalisme était très vaste. sa philosophie reposait sur une lucidé inégale. outre "le banquet", "phèdre", "charmide", "phédon","la république" qui sont des écrits complets, Platon a reproduit la mort de Socrate. né à Athènes au sein d'une famille aristocratique en 429, Platon mourra en 347 av. J.C. ilsera de'autre marqué par la guerre que son pays avait livré

dernier tient sa propre origine de Nélée et Poséidon. Solon eut un frère du nom de Dropidès qui eut un fils nommé Kritias, qui lui-même eut un fils qui s’appela Kallaischros, père de deux enfants, Kritias et Glaucon. Ce dernier fut lui-même le père de Charmide et Periktionè, mère de Platon ainsi que de Glaucon, d’Adimante et de Potonè qui engendra Speusippe[2]. En ce qui concerne la généalogie paternelle, elle est beaucoup moins détaillée, il s’agit juste de souligner là aussi un lien mythologique avec

Résumé pages 10 à 16 de « Lachès » Texte dialogique de Platon Lysimaque et Mélésias voyant arriver leurs fils à l’adolescence ne désirent pas qu’ils manquent d’instruction qui fera leur fierté futur, tels qu’eux-mêmes ont en leurs pères qui étaient trop occupés par les affaires publiques pour prendre soin de leur développement intellectuel et moral. Ils décident donc d’aller voir leur amis Socrate, Nicias et Lachès pour leur demander conseil sur la nécessité ou non d’apprendre l’escrime en armes