Le Pessimisme De Pascal

NADAL Antoine BTS NOT. 1 SYNTHESE Au cours des siècles furent données de nombreuses définitions du « bonheur ». L’optimisme avec en chefs de file Spinoza, Diderot ou Montaigne, s’opposa au pessimisme brandit par Pascal, Schopenhauer ou même Freud. Pour certain le bonheur vise à répondre à des besoins vitaux comme savoir où dormir, avoir de quoi manger. Pour d’autre il est bien plus que ça. Il est en tout cas quasi universellement définit comme le but ultime, le Saint Graal de nos existences

pas des moyens de « faire » notre bonheur ? Et ces moyens sont-ils des limites à leur tour ? Notions : Bonheur, Liberté, Désir Auteurs en référence : Platon et le désir Freud et lo’bstacle au bonheur (le bonheur = principe du plaisir) Pascal Roussseau Kant Etc. Le plan proposé : I. Le bonheur : des conditions objectives extérieures à réunir II. L’obstacle au bonheur, c’est plutôt nous ! III. Le bonheur : est-ce vraiment un état à rechercher ? I. Le bonheur : des conditions

réside dans l'affrontement entre l'optimisme et le pessimisme. Le premier soutient la thèse de Leibnitz, tandis que le second suit le raisonnement de Pascal : il relativise quant à l'existance de Dieu, car il pense qu'il abandonne les hommes à leurs passions. Chacun met en avant ses idées, sans que l'on puisse déterminer lequel l'emporte sur l'autre. Voltaire se sert de Candide pour nous montrer que ni l'optimisme de Pangloss, ni le pessimisme de Martin ne mènent à quelque chose : le meilleur

moderne où philosophes, académiciens, physiciens et les premiers véritables chimistes ont réussi à donner sa scientificité à la chimie notamment en l’enseignant et la vulgarisant grâce à l’imprimerie. la Géométrie- PASCAL/ DESCARTES / ARNAULD / DESARGUES les Probabilités- PASCAL/ LEIBNIZ/ FREMAT/ la Logique - LEIBNIZ / ARNAULD B) de nombreuse découvertes 1610· Galilée utilise pour la première fois une lunette grossissante pour observer le ciel. Ayant vent du nouvel instrument fabriqué

centre de son inspiration se trouve un profond pessimisme, heureusement corrigé par son désir de croire : ses personnages, tendres et fragiles, sont tous emportés par le tragique destin des hommes et nous font penser à l'œuvre d'un autre poète, Virgile. Bibliographie : Les Bacchantes Électre Héraclès furieux Hécube Médée Oreste Les Phéniciennes Blaise Pascal Savant, homme de lettres et chrétien, Blaise Pascal manifesta, dès qu'il fut en âge de parler, un talent

riche mais ne s’intéresse plus à rien ("poco" peu ; " curante " soin). Il montre à Martin que le pessimisme ne sert à rien. b) Notes Les noms en eux-mêmes jouent un rôle important (ironie, moquerie et étymologie) Les gens se donnent un genre qu’ils n’ont pas : le baron se prend pour un roi car son château possède une porte et une fenêtre, l’aumônier se fait appeler grand inquisiteur. Martin réagit comme Pascal et suit son raisonnement, il relativise et est pessimiste quant à l’existence de Dieu car il

pas longtemps. Voltaire qui n’aime pas ce genre de personnage veut nous mettre en garde contre ce type de philosophe. Pococurante: Ce seigneur est très riche mais ne s’intéresse plus à rien ("poco" peu ; "curante" soin). Il montre à Martin que le pessimisme ne sert à rien. Cacambo: Il est un des rares personnages avec la vieille et Martin à avoir les pieds sur terre et à donner de bons conseils. Il a apparemment de l’expérience car il sait quoi faire en toute circonstance. Il aide beaucoup Candide

importantes, et “la disgrâce”. Mais il va permettre de donner un autre sens au terme “divertissement”, par deux fois associé à des verbes synonymes : ”penser à eux-mêmes”, “songer à eux”. === Ainsi deux techniques caractérisent l'argumentation de Pascal. D'abord on note l'alternance entre le général, la notion philosophique, et le particulier, l'exemplum. Puis on constate la démarche expérimentale lors de l'exemple, avec une mise à l'épreuve et une contre-épreuve, les deux se rejoignant dans leur

FRANÇAIS PREMIERE 4. ARGUMENTATION ET GENRES LITTERAIRES Extrait 3 : un essai PASCAL Pensées 126 « Divertissement » (manuel p394-395) Intro Pascal (1623-1662) mathématicien génial et chrétien convaincu. A la suite de la révélation mystique du 23 novembre 1654, consignée dans le « Mémorial », il consacre son énergie à défendre la religion chrétienne auprès des « libertins », des libres-penseurs mondains. Les Pensées, qui appartiennent au genre de l’essai, sont des notes, préparant un

nécessaire pour émouvoir le spectateur, sa définition reste problématique. Corneille : La tragédie doit provoquer l’admiration, c’est-à-dire la stupéfaction admirative ou horrifiée devant des êtres hors du commun. Racine : tragédie nourrie du pessimisme janséniste, fait entendre la souffrance d’une créature abandonnée à sa misère, assez lucide pour en souffrir mais trop faible pour y échapper : l’être humain Les formes du comique Pour rivaliser avec la tragédie, et respecter les principes de