Le Role Du Comique Dans Le Changement De La Societe

« L’illusion comique » de Corneille Caractéristiques du genre « L’illusion comique » est une œuvre baroque écrite par Corneille en 1635. En voici les caractéristiques : * Un mélange des genres et des styles : le premier acte est un prologue, les trois suivants font une « comédie imparfaite » et le dernier est une tragédie. Le style et les personnages sont entièrement de la Comédie. Corneille définit donc son œuvre comme une comédie à part entière. * Une recherche des extrêmes : elle

autres personnages. Comédie : a d’abord désigné toute pièce de théâtre (d’où le terme comédien) mais se dit aujourd’hui d’une pièce ayant pour but de divertir en représentant les travers, les ridicules des caractères et des mœurs d’une société. Comparse : rôle muet ou insignifiant Coup de théâtre : rebondissement, retournement brutal de la situation dans une pièce, dans le but d’accroître l’intérêt de l’action. Deus ex machina : dieu descend au moyen d’une machine (sauveur providentiel.) Didascalie :

l'intrigue qui vont exciter la curiosité du spectateur. Les enjeux d’une scène de comédie sont de montrer les vices, les travers et les mœurs d’une personne ou d’une société de manière divertissante. Les enjeux particuliers de la situation présentée ici sont importants car c’est la scène d’exposition. Elle joue bien sont rôle car le spectateur est tenu en haleine: le maître va-t-il tuer le valet ? Si non, comment réagira-t-il à sa nouvelle condition d'esclave ? Comment Arlequin se comportera-t-il

théâtre a joué un rôle très important au paravent, surtout pendant le Moyen Age. Dans une époque ou la maladie et la mort étaient présentes en tout lieu et à tout instant, où le travail rythme la vie de chacun et la société était fortement hiérarchisée et codée beaucoup de pièces théâtrales, surtout du genre de la farce ou de la sotie ont centralisées ou ont accordé une place primordiale à la folie. Dans le théâtre médiéval le fou, incarnation de la liberté dans une société plein des restrictions

ensuite le comique de mot qui amuse le public car le style des expressions qu'il utilise, telle la gradation au rythme ternaire de la ligne 5 "maigres, étiques, et puis morts de faim", contrastent avec leur contenu. Arlequin paraît bien insouciant à l'opposé d'Iphicrate qui est au désespoir. Il continue de jouer avec les mots quand il détourne les propos de son maître : "les marques de votre amitié" désignent en réalité les coups de bâton qu'il reçoit. Il manie tout aussi bien le comique de répétition

fasciné par son maître et ne pourrait plus se passer de lui. Don Juan quant à lui a besoin de Sganarelle, car à force d’être tyrannique avec tout le monde, il finit par être détesté de tous et seul son fidèle valet reste là pour lui, ce qui renforce son rôle de confident. Nous pouvons dire que la relation du couple Dom Juan/ Sganarelle illustre parfaitement bien la relation qu’entretiennent maître et valet au XVIIème siècle. Cette relation n’est pas ressentie comme un problème de classes sociales au XVIIIème

noble et son rôle de messager ensuite, cet être inferieur dont les critiques de la société le conduisent à son inadaptation sociale. En premier lieu, le poète est un être supérieur .D’abord, il est de nature noble. L’auteur a décrit l’albatros, symbole du poète, avec des mots qui appartiennent au champ lexical de la noblesse. « Que ces rois de l’azur » (v.6). « Le poète est semblable au prince des nuées » (v.13).Ces deux métaphores montrent la position qu’il occupe dans la société et son classement

par exemple - tant de place au comique. Auteurs, metteurs en scène, acteurs «jouent» des aspects comiques de leur création avec des intentions variées. Le comique au théâtre - et sur scène - répond d'abord au premier objectif du théâtre qui est de divertir le spectateur. Mais il remplit aussi sur scène une fonction dramatique dans la progression d'une pièce par l’état d'esprit qu'il suscite chez le spectateur pour le préparer à des changements de registre. Le comique enfin peut avoir - paradoxalement-

liaisons dangereuses, Pierre Choderlos de Laclos, 1782 Le « on » dans le texte ne désigne personne en particulier (sa famille, la société dans laquelle elle évolue, ceux qui sont chargés de son éducation). Elle observe pour savoir ce qu'on lui cache et elle apprend a dissimuler (émotion & signe du visage). Sous ses airs de Femme qui joue son rôle dans la société elle parfait son apprentissage. Il y a beaucoup de verbes pronominaux car elle se décrit elle même. Elle fait sa propre éloge en utilisant

plaire et instruire . 1 t ' son public . Le • Malade Imaginaire, dernière œuvre de Molière écrite en 167.3 , est une comédie - ballet c'est- à - dire une comédie qui mêle le théâtre, la danse et le chant . L'auteur , dans ce cas Molière , incarne le rôle d'Argan . Il met en scène un homme qui se croit , un malade imaginaire . Aryan , contient une satire de la médicine et porte une réflexion sérieuse sur une question qu'on pourrait qualifier d'existenceelle : la peur de la mort . Cette œuvre a été représentée