Le Role Du Consentement Dans La Formation Du Mariage

Dissertation : « Le consentement au mariage » Le mariage civil est consacré en France par le législateur depuis 1792, c'est-à-dire depuis la période révolutionnaire. Avant cette date, il n’existait qu’un seul type de mariage : le mariage religieux, célébré par des prêtres. L’institution même se trouvait réellement sous l’influence de l’Eglise mais peu à peu, l’Etat en assure le contrôle en instaurant un mariage civil, placé sous l’autorité de la loi. Il permet ainsi d’établir une certaine égalité

dissertation : « Mariage simulé et mariage forcé » Accroche : Le principe de la liberté matrimoniale, reconnu tant en droit français qu’au plan international, gouverne la formation du mariage. Toute personne doit être libre de se marier ou de ne pas se marier. La volonté exprimée par le consentement des futurs époux constitue l’une des conditions essentielles de la formation du mariage. En effet, selon l’article 146 du Code civil, « il n’y a pas de mariage lorsqu’il n’y a point de consentement ». Délimitation

Dissertation : Mariage simulé et mariage forcé     La problématique entre le mariage simulé et le mariage forcé. Néanmoins la différence est que dans le mariage simulé, il y a absence de consentement, ce qui est une cause de nullité absolue, alors que dans le mariage forcé, le consentement est entaché de vice du consentement. On a donc d’un côté une absence totale de consentement, et de l’autre un vice du consentement. Il faut se demander comment le Code civil permet de lutter contre le mariage simulés

caractères du domicile A - Le domicile est nécessaire B - Le domicile est unique Section II - La constatation de l'état des personnes § I - Les actes d'état civil  I - Inventaire des actes d'état civil 1°) L'acte de naissance 2°) L'acte de mariage 3°) L'acte de décès II - La force probante des actes d'état civil III - sanction des irrégularités § II - L'action d'état   SOUS-TITRE II - LES PERSONNES MORALES   Chapitre I - La nature des personnes morales Section I -  La thèse de la fiction

Le rôle de la volonté se manifeste d'abord dans le domaine de la conclusion des contrats. La volonté est la faculté de se déterminer soi même vis-à-vis d'une décision à prendre ou bien d'une action. Le contrat est avant tout, un acte de volonté qui seule, permet de créer des obligations. La théorie de l'autonomie de la volonté, permet d'expliquer la force obligatoire du contrat qui ne vient pas d'une autorité extérieure, du législateur, mais de l'individu lui même. La loi, n'a donc pour rôle que

facit ». Selon ce proverbe latin ce n’est pas l’accouplement mais le consentement qui fait le mariage, sujet de plus en plus important au XVIe siècle. Entre 1545 et 1563 se tient en Italie le Concile de trente qui rappelle le caractère sacramentel

reconnaissait officiellement qu’une seule forme invariable et permanente -la famille était alors LEGITIME, patriarcale, lignagère, indissoluble -légitime car elle avait pour socle le mariage et pour seul socle l’union matrimoniale. Tout le droit de la famille était ordonné autour du mariage et cela jusqu’en 99 : le mariage en constituait le centre de gravité -cela ne signifie pas que l’union de fait, le concubinage n’existaient pas mais le droit ne leur reconnaissait aucune valeur, il l’ignorait volontairement

ce corps une certaine force directrice appliquée au bien commun de ses membres ». Cette citation tirée de l’œuvre de Thomas d’Aquin ; « Regime principum » , datant du XIIIème siècle, représente l’importance du rôle de la famille dans la société monarchique. Les hommes sont antérieurs à la Société, et lorsque l’homme, par la volonté de Dieu, décide de s’unir avec une femme, celui-ci fonde une famille. Les familles s’unissent entres-elles ; la communauté

Le rôle de la volonté dans la formation du contrat Les conditions de formation du contrat sont dominées par la volonté des parties. Il faut se demander si les parties ont réellement voulu s'engager. Il faut vérifier leur consentement. Il faut s'assurer que les parties étaient aptes à vouloir. Il faut donc vérifier leur capacité à s'engager. Il faut vérifier ce qu'ont voulu les parties. Cela revient à s'interroger sur l'objet de l'engagement. Ces quatre éléments sont imposés dans le code civil

famille traditionnelle c’est aussi sa conception du mariage considéré comme « un contrat par lequel le chef de famille agissant au nom et pour le compte de la famille, engage une jeune fille avec ou sans son consentement et sur laquelle il exerce la puissance paternelle, dans des liens conjugaux avec un homme, membre d’une autre famille, représenté par son chef et moyennant une contrepartie qui est définie par la coutume de la fille ». Le Mariage était donc un accord de volonté entre deux familles ;