Les Fables Et La Fontaine Généralités

dont celui du Roi-Soleil engendrent des guerres de Religions. Alors que les « Anciens » et les « Modernes » débattent sur la perfection de l’homme qui à déjà été atteinte, ou pas. B - Le genre littéraire de la Fable - Le Cheval et le Loup (La Fontaine) : Thème principal : La chasse en campagne, au printemps. Les personnages sont des animaux pour détourner la critique et pour généraliser le propos. Le loup est rusé, malin alors que le cheval est domestiqué, docile. Mais les rôles s’inversent

subjective du sujet, donc discuter du sujet en général, par exemple dans «la xénophobie», où Tahar Ben Jelloun parle des phénomènes complexes qui sont le racisme et la xénophobie. Il parle des questions qui le préoccupent mais garde comme même de la généralité : il utilise le pronom «on». L’auteur peut aussi donner et expliquer son point de vue par exemple dans De l’esprit des lois, où Montesquieu donne bien son point de vue sur les différences ethniques et la domination des supposés «barbares» par les

Pascal, qui est extrait de Trois discours sur la condition des grands, le récit se compose de deux parties: l'action, des lignes 1 à 21 et la morale, de la ligne 21 à la fin. L'action se déroule sur une île inconnue, métaphore qui symbolise une généralité des lieux, et qui ne se limite donc pas à un pays ou un royaume ("... jeté par la tempête sur une île inconnue,"). Rapidement, une dualité s'installe dans la psychologie du protagoniste ("D'abord il ne savait pas quel parti prendre ;"), qui est

Rabah Belamri extrait de Mémoire en archipel, et deux fables de Jean de La Fontaine extraites du livre premier, dans le premier recueil des Fables publiées en 1668 : « La Génisse, la Chèvre et la Brebis, en société avec le Lion » et « Le Loup et l'Agneau ». Ces textes mettent en œuvre une série d'oppositions. Le « Conte arabe » est ainsi fondé sur la différence sociale entre le peuple et le roi. Cette différence se retrouve dans les deux fables, par la mise en scène de prédateurs représentant l'autorité

disposition des matières est nouvelle. Quand on joue à la paume, c'est une même balle dont joue l'un et l'autre, mais l'un la place mieux." ( fragment 575, édition Sellier) I UN BUT DIDACTIQUE ( cette question est traitée, en partie, dans les généralités sur Les Caractères) Dans la préface La Bruyère se défend d'être un législateur, c'est-à-dire un prescripteur de "lois morales" mais en revanche dans la préface à son discours d'intronisation à l'Académie Française, il revendique un triple

les defaults, la bruyère va peindre les hommes de son temps, la cour, la ville, son ambition est aussi plus grande et haute, il touche à l’essence de l’homme, il peint es hommes en général, pas de portrait sur tel et tel individu, il saisit les généralité, peindre les hommes c’est aussi, pas seulement le 17eme mais espère toucher d’autre époque, la Bruyère pour expliquer cela, utilise la métaphore du théâtre «  le théâtre d’autre homme qui vont jouera d’autre homme … » Vision fixiste des choses.

THEATRE SOMMAIRE Page.3 Molière, l'homme et ses œuvres. Page.4 Contexte du 17e s. Page.8 Généralité sur le théâtre de Molière. Page.8 Le théâtre. Page.13 Le discours théâtral. Page.13 La mise en scène. Page.13 Le vocabulaire de base. I.MOLIERE L'HOMME ET SES OEUVRES. Biographie : (1622/1673) Molière est né le 15 janvier 1622 à Paris avec le nom de Jean Baptiste. Fils de Jean Pocquelin et de Marie Cressé. Son père, tapissier a racheté en 1631 l'office de tapicier du

reçues, de cliché puisque toujours « un texte en cache un autre » ? [Explication du sujet et annonce du plan, de la démarche argumentative]. Déjà, à l’époque du classicisme, courant littéraire fondé sur le principe de l’imitation des Anciens, La Fontaine déclare, dans son Épître à Huet en 1687 que « son imitation n’est point un esclavage. » Bien sûr, pour s’affirmer en tant que créateur, pour prendre la pleine mesure de leur force créatrice, les écrivains et les artistes en général, ont besoin d’imiter

GENERALITES SUR LE THEME DU DETOUR                                                               G.VALLEE – ESUP SAINT‐GERMAIN        DOMAINE  D’EXERCICE :  partout,  dans  la  communication,  le  social,  la  religion,  la  psychologie,  les  arts, les sciences, l’urbanisme…    DEFINITION : tracé qui s’écarte du chemin direct, perte de temps….    SYNONYMES :  angle,  boucle,  méandre,  sinuosité,  labyrinthe,  dédale,  circonvolution,  volute,  ruse,  faux‐fuyant, biais, subterfuge, stratégie, feinte

Les passions sont dominées par la raison. Mais selon Molière, en dépit de la faute originelle, l’homme peut faire qqch pour son salut. Il s’agit alors de l’optimisme auquel va s’opposer, vers le milieu du siècle, une attitude morale différente. La Fontaine et Molière ne croient plus au stoïcisme. Ils ne pensent pas qu’on puisse beaucoup compter sur l’homme, ni beaucoup lui demander. Ce serait une naïvité de croire qu’il est naturellement bon ou raisonable (l’infulence du courant libertin). Un pessimisme