Les Montagnes Hallucinées

[pic] Howard Phillips Lovecraft LES MONTAGNES HALLUCINÉES Titre original : At the Mountains of Madness 1936 Table des matières 1 3 2 15 3 36 4 48 5 59 6 74 7 83 8 95 9 105 10 117 11 126 12 137 À propos de cette édition électronique 144 1 Je suis obligé d’intervenir parce que les hommes de science ont refusé de suivre

consécutifs à la mort de sa tante qui l'ont contrainte à ce choix professionnel. · C'était une jeune femme robuste, active, passionnée de sport depuis l'âge de 20 ans, elle faisait partie du club alpin, passait toutes ses vacances en montagne. Elle envisage d'aller vivre en montagne près d'un couple d'amis qui tiennent une pension.· Elle ne dissimule pas son hostilité vis-à-vis de sa belle-sœur dont elle a toujours été jalouse. · L‘hostilité est d'ailleurs réciproque. La belle-sœur que nous avons vue, manifeste

lui est profondément étranger. H. P. Lovecraft a écrit une saga appelé le « Mythes de Cthulhu » composé des livres suivants  Dagon (1917) L'Appel de Cthulhu (1926) L'Affaire Charles Dexter Ward (1927) L'Abomination de Dunwich (1928) Les Montagnes hallucinées (1931) La Maison de la sorcière (1933) Dans l'abîme du temps (1937) Le Cauchemar d'Innsmouth 3. Stephen King Edgar Allan Poe a exercé lui aussi une influence majeure sur le style de King. Il lui rend hommage dans Shining, l'enfant

Emile Verhaeren, Les Campagnes hallucinées, 1893 I./ La description de la ville : un espace immense, chaotique et écrasé 1.) l’immensité La ville est évoquée à travers l’article défini « les » ou « la » avec une valeur générique qui indiquent une ville indéterminée mais à valeur générale. On peut parler de description grâce aux nombreux termes géographiques qui identifient les différents éléments de la ville moderne et des termes qui indiquent leur organisation. Cette immensité est présente grâce

sa conscience sociale lui fait évoquer les grandes villes dont il parle avec lyrisme et grande musicalité. Il a su traduire dans son œuvre la beauté de l'effort humain. Voici la première partie du poème sur lequel s’ouvre le recueil Campagnes hallucinées. La ville Tous les chemins vont vers la ville. Du fond des brumes, Avec tous ses étages en voyage Jusques au ciel, vers de plus hauts étages, Comme d'un rêve, elle s'exhume. Là-bas, Ce sont des ponts musclés de fer, Lancés,

légende de Sleepy Holow ou le Cavalier sans tête » en 1819, adaptée au cinéma par Tim Burton * Peter Ruge avec « le disparu de William Austin » en 1824, • H.P Lovecraft,  « les montagnes hallucinées », nouvelle écrite à la 1ére personne et qui se déroule sur un chaine de montagnes encore plus haute que celles de l’Himalaya.Il inspirera de nombreux auteurs du 20 ème siècle, notamment Stephen King. Définition du genre fantastique : Selon le théoricien TODOROV, « le fantastique »

(1888-1891). Après cette période assez sombre, il met à l’honneur la thématique de la « Ville », et fait ressortir la beauté des paysages, et il dépeint la vie moderne de l’époque. On peut citer comme références, entre autres textes, Les Campagnes hallucinées (1893), Les Villages illusoires (1894), Les Villes tentaculaires (1895). Il ne cessera plus d’écrire, cependant la guerre bouleversera sa vie personnelle et poétique, elle inspirera à Emile Verhaeren son dernier recueil de poèmes Les Ailes rouges

trois romans de la trilogie de Pan : Colline (1929), Un de Baumuges (1929) et Regain (1930). Dès lors, il abandonna son emploi à la banque pour se consacrer pleinement à l’élaboration de son œuvre : le Grand Troupeau (1931), d’abord, où les visions hallucinées de la violence destructrice alternent avec un hymne à la nature et à la vie, puis Jean le Bleu (1932), Solitude de la Pitié (1932), le Chant du monde (1934) et Que ma joie demeure (1935), qui sont autant d' incantations panthéistes à la provençale

tête, abandonnant le personnage principal – qui n’est autre que le peintre lui-même si on en croit la note associée à l’œuvre – sur le ponton qui surplombe un fjord, avec à droite, un vertigineux précipice. Enfin, on distingue en arrière plan des montagnes d’un bleu sombre qui, par contraste, se détachent du rouge ardent du ciel.  . : Composition La barrière et le sol du pont forment des lignes de force qui convergent vers un point de fuite situé à gauche et donnent ainsi profondeur et perspective

années 60. On aurait pu croire à un adepte du Nouveau Roman, et quelques hardiesses typographiques (mots imprimés rayés, fragments de quotidiens eu leurs caractères, etc.) purent donner le change. En fait, par sa vision non pas « objectale », mais hallucinée, et par le brillant de récriture, Le Procès-verbal s'inscrit, ainsi que les œuvres suivantes, dans la lignée du Sartre de La Nausée. LE PROCÈS-VERBAL On y voit le jeune Adam Polo, isolé des hommes par la folie ou la mystique de la vie, subsister