Les Souffrances Du Jeune Werther

les années 1980 ; on conçoit bien un certain contraste entre ces générations. a.) Les zazous Ceux qui avaient vingt ans en 1939 virent tous leurs projets de vie interrompus ou brisés par la guerre, particulièrement les projets familiaux. Etre jeune sous l’occupation constituait une expérience spécifique. Plusieurs choix s’offraient : accepter passivement les conséquences de la défaite, collaborer activement avec l’occupant, résister ou être zazou. Les zazous correspondent aux jeunes qui, en France

indépendants. Les sources qui ont inspiré les œuvres de Chateaubriand proviennent de son enfance passée en Bretagne aussi que de ses séjours en pays étrangers, particulièrement en Amérique du Nord en 1791. Tandis que Atala avec l'héroine du même nom, une jeune fille d’origine indienne et d’éducation chrétienne, est complètement situé dans les endroits lointains de l’Amérique. René nous invite à découvrir pluisieurs lieux – la Nouvelle Calédonie, Londres, l'Italie.... Ce sont des exemples de l’attrait pour

aspiration ou ennui, mélancolie, sensibilité exacerbée, souffrance et déception. Ex : « Souffrance du jeune Werther » de Goethe avec l’omniprésence du je et hypersensibilité du héros 3. La Nature Elle reflète un état d’âme = miroir de l’âme du héros romantique = aspiration à l’infini. Elle est en harmonie avec les êtres = exprime leur sentiment, solitude et le silence ( indicible) ex : «Atala» de Chateaubriand ou « Souffrance du jeune Werther » de Goethe ou « Adolphe » de B. Constant avec le

qui se les approprient et exprime sa propre sensibilité face au monde et face à l’amour. 3) L’imitation d’une œuvre permet au créateur de porter un regard nouveau sur son époque. Massenet, dans son opéra Werther de 1893, reprend le roman de Goethe Les souffrances du jeune Werther publié en 1774, mais il s’écarte de son modèle en donnant un rôle plus important à Sophie et à Charlotte. Il nous révèle ainsi l’évolution de la société qui accorde en France à la fin du XIXème siècle un rôle plus

homme ne recherche-t-il pas le bonheur, et le bonheur n'est-il pas idissociable de l'amour? Tout d'abord la littérature aborde le plus souvent l'amour sous l'angle du malheur, ce qui est une façon d'envisager l'humanité comme étant en proie aux souffrances et aux difficultés dans la quête d'un bonheur jamais acquis. Pour qu'il y ait une intrigue, il faut des obstacles, des contrariétés ; un roman commençant par un amour heureux va nécessairement aller vers les épreuves, voire l'échec du couple ; le

l’exploitation au travail des mineurs). Œuvre de la série Les Désastres de la Guerre, Goya, 1810-1820 Le peintre espagnol dénonce dans cette œuvre engagée les souffrances du peuple dues à l’occupation Napoléonienne. Œuvre de la série Les Désastres de la Guerre, Goya, 1810-1820 Le peintre espagnol dénonce dans cette œuvre engagée les souffrances du peuple dues à l’occupation Napoléonienne. 3- Manifestes et Tentatives de Définition °Deux Manifestes du Romantisme° : Deux textes font principalement

temps , est un espace de liberté qui tient dans la poche . Certains livres peuvent transmettre des idées tragique , comme la publication des " souffrances du jeune Werther " de Goethe en 1774 qui entraîna une vague de suicide en Europe , dont le suicide de  Marilyn Monroe  ou, en 1994, de Kurt Cobain sont deux exemples bien connus à l'origine d'un effet Werther. la littérature rend anti social : c'est vrai que la littérature peut rendre anti social , prenons l'exemple du livre Fahrenheit 451 de ray

ce phénomène d’imitation des désirs des autres, qui est un cas particulier du mimétisme affectif. En effet, le mimétisme ne concerne pas seulement le désir, mais l’ensemble des affects, des émotions : la joie se transmet comme la tristesse et la souffrance (c’est la pitié, ou compassion) ou la peur. Les sociologues de la fin du XIXe siècle ont insiste sur ce point, que ce soit Le Bon avec sa Psychologie des foules ou surtout Gabriel de Tarde, qui voit dans le mimétisme le phénomène social fondamental

cherchera la souffrance pour contrer l’ennui, mais le romantisme a aussi sa place en peinture et en sculpture. Le héros romantique mène effectivement une vie « libre, tranquille » il est « bien portant » comme nous le dis Senancour dans Oberman. Dans le même ouvrage Senancour nous montre que le héros possède « une terre libre à parcourir » mais malheureusement cela ne luis suffit pas le héros recherchent plus qu’une vie paisible il cherche l’exaltation comme dans les souffrances du jeune werther de Goethe

douloureuses en parallèle avec l'Histoire russe. La littérature romantique avec le début du culte du moi, de la psychologie, aime également les grandes passions et les grands hommes. Les Souffrances du Jeune Werther de Goethe, roman phare du Sturm und Drang (littéralement tempête et passion) dépeint un jeune homme sujet à des passions lyriques qui le mèneront à la mort. Le roman eu un immense succès et déclencha par ailleurs dit-on une vague de suicides; ce qui montre bien l'effet du romanesque