L'inquiétante étrangeté

manière rationnelle, raisonnable et responsable. Freud va lui donner un tout autre statut : l'inconscient est une faculté au même titre que la conscience, c'est une source animé par le désir, qui nous fait agir. Ainsi dans cet extrait de l'inquiétante étrangeté, rédigé en 1913, Freud va soulevé sa théorie de l'inconscient en remettant en cause la gestion classique des pulsions et les erreurs répétés dans l'éducation traditionnelle qui peuvent, selon lui,conduire à l'hystérie (névrose caractérisée

ainsi plutôt celle du réalisme magique, qui repose sur une oscillation proche de l’inquiétante étrangeté. Travail sur les extraits : Extrait 1 : voix narratrice : cf oralité du conte (« Alors je commence») + Mime (étrangeté) + vidéos projetées nuages) avec mots « imagination » : rupture d'un espace temps : plongée du spectateur ds le merveilleux : appel à son imagination (cf paroles de la narratrice). Etrangeté de sa voix (Marcella Carrara, italienne) et inquiétude de mettre une voix off féminine

ses nombreuses thèses, le renommé psychanalyste Freud expose une notion appelée "Unheimlich" : L'inquiétante étrangeté. "Un cas d'inquiétante étrangeté par excellence est celui-ci : « celui où l'on doute qu'un être en apparence animé ne soit vivant, et, inversement, qu'un objet sans vie ne soit en quelque sorte animé », [...] l'un des procédés les plus sûrs pour évoquer facilement l'inquiétante étrangeté est de laisser le lecteur douter de ce qu'une certaine personne qu'on lui présente soit un être

roman gothique (The Gothic Novel). Repris par Ann Radcliffe, dont Les Mystères d’Udolfe, le Roman de la forêt et L’Italien connaissent un vif succès, ces romans noirs exaltent le goût pour le morbide, le terrifiant, le mystère, autant que l'inquiétante étrangeté des ruines médiévales. Avec son Pèlerinage de Childe Harold paru en 1813, Lord Byron connaît une célébrité foudroyante. Son héros qui traine sa mélancolie désenchantée à travers l’Europe et l’Orient devient le modèle du héros byronien que

mort qui se rattache lui-même à son athéisme (Au lieu de croire en Dieu, rappelez-vous, don juan croit que deux et deux font quatre). L'invitation de la statue du commandeur et le geste inattendu accompli par cette statue introduisent L'inquiétante étrangeté,le unheimlich dans la scène. L'étrange et le fantastique s'installent: ils préparent la fin étrange de don Juan.

tercet : l’inquiétude revient ; sa narine est inerte. Au vers 13 on retrouve quelque chose de paisible, alors que le dernier vers est une surprise : sa blessure est sérieuse le lecteur surpris va relire le poème autrement, à la recherche de l’inquiétante étrangeté (Freud : quelque chose qui cloche mais dont on ne se rend pas compte au début) IV. Deuxième analyse - Premier quatrain : « un trou » (v .1), cela peut être un trou d’obus, de bombe, une tombe … « Haillons d’argent » (v.2 et 3), la

Essais « Chacun regarde devant soi, moi je regarde dedans moi » 3. Les limites de l’introspection * L’introspection conduit le plus souvent à une connaissance partielle, superficielle du moi, car l’homme à également un ça. Freud dans l’Inquiétante étrangeté dit que la plus grande partie du moi est cachée, elle n’est donc pas accessible à l’introspection. * Elle risque d’aboutir a une connaissance partiale * Elle est tout à fait impossible dans la mesure ou l’introspection est une tentative

exclusion. Conclusion : Bergson, flirt, durant tout ce texte, avec une notion, qui ne sera révélée que par un de ses collègues : Freud qui fait la découverte et l’élaboration précise du concept d’inconscient. En effet, il insiste dans L’Inquiétante Etrangeté et autres essais sur le fait que le moi (conscient) n’est pas nécessairement maître dans sa maison, c’est-à-dire que nous ne contrôlons pas notre psychisme dans son intégralité, étant donné que une partie reste hors de porté de ce que nous

accès ?I) Le rire atteint une forme de perfection formelle : comique de mot exagérations, comique de caractère et de mœurs, comique de situation et rire scatologiqueII) Détourne l’homme du deuil qui le mine et le consume : éloigner l’homme de l’inquiétante étrangeté du monde (ex : ), rire comme injonction épicurienne à profiter de la vie, le bonheur dans la liberté plutôt que dans le rireIII) Le rire pour devenir un meilleur humain : rire pour instruire, rire humaniste de Rabelais, devenir meilleur et

Charles ne vois que les ongles de la jeune fille : « brillants », « fin du bout », « plus nettoyés que les ivoires ». Le narrateur quant à lui garde un point de vue objectif, décrédibilisant Charles : « Sa main pourtant n’était pas belle » II. L’inquiétante étrangeté des signes Charles Bovary est tout à la fois sensible à la beauté d’Emma et au raffinement des lieux. Pourtant certains détails présents dans la scène suggèrent une ambiguïté du personnage féminin. La description de la main d’Emma nous donne