Lithosphère

océanique, ce qui écarte les domaines continentaux. Ce qui montre que la Pangée n’était pas un continent imaginaire. Lors du TP9, on a pu caractériser les propriétés physico-chimiques des croûtes, du manteau lithosphérique et de l’asthénosphère. La lithosphère rigide repose sur l’asthénosphère moins rigide dans la zone de contact. Pb : 1e activité : Réalisation d’un modèle. A partir des activités précédentes de l’ensemble des TP (notamment les informations apportées par Wegener), construisez un

où il y a du magmatisme, soit aux dorsales océaniques, dans les zones de subduction et aux points chauds. Le magmatisme de dorsale et la séquence ophiolitique. Les dorsales océaniques sont des zones très importantes où agit le magmatisme; la lithosphère océanique s'y regénère perpétuellement. Il se fait une fusion partielle du manteau sous la dorsale à cause de la concentration de chaleur due à la convection. Il s'agit d'une fusion de péridotite. Comment peut-on affirmer qu'il s'agit d'une fusion

La tectonique des plaques (qui complète la théorie appelée dérive des continents) est un modèle actuel du fonctionnement interne de la Terre. Elle est l'expression en surface de la convection qui se déroule dans le manteau terrestre. La lithosphère, couche externe de la Terre, est découpée en plaques rigides qui flottent et se déplacent sur l'asthénosphère, plus ductile. Les premiers concepts, entrevus dès le xvie siècle, ont été formulés en 1912 par le climatologue allemand Alfred Wegener à partir

terrestre est animé d'un mouvement de convention. Le manteau est un fluide riche au dans la partie supérieure. Ce qui provoque des courants thermiques « cellule de convention » divergente ou convergente. À l'aplomb des cellules divergentes, la lithosphère avait subi des tensions et finit par se fracturé. Le manteau basaltique forme alors un plancher recouvert par une océanique qui envahit la fracture, mais dans ce modèle Holmes n'envisage pas de dorsale. Modèle de Hess. Hess est un géologue

1100°C et 2000°C Lithosphère : * épaisseur varie entre 70 et 150 Km * englobe la partie solide du manteau supérieur et la croûte terrestre Croûte terrestre : * appelé écorce terrestre * occupe moins de 2% du volume terrestre * température variable Croûte continentale : * forme les continents * épaisseur entre 30 et 65 Km Croûte océanique : * forme le fond des océans * épaisseur entre 5 à 15 Km Enveloppes de la Terre  * Lithosphères : englobe la partie

formation. Numéro de l’étape Etape de l’histoire Alpine 4 Points à justifier à partir des données de terrain épaississement de la croûte continentale qui s’est produit lors de la collision. (nommer les plaques en présence) 3 subduction de la lithosphère océanique. 2 présence d’un océan Alpin et métamorphisme basse température (apparition méta gabbros à minéraux verts) 1 Etirement, fracturation de la croûte continentale. 0 Etape traitée à titre d’exemple (voir au dos ) Etape 0 : On observe

individu ⟶ population ⟶ communauté ⟶ écosystème ⟶ biosphère. L’écologie globale étudie la biosphère : cad la totalité des milieux occupés par les EV à la surface de la planète Terre (sphère du vivant). La Terre se partage en 3 grands compartiments : Lithosphère = écorce terrestre (la couche superficielle, le sol, est également appelée pédosphère) Hydrosphère = océans et eaux continentales Atmosphère = océans et eaux continentales La biosphère occupe tout ou partie de ces compartiments : Ex : baleine bleu ⟶

Une zone de subduction est marquée par un relief particulier, positif et négatif, par une activité magmatique et sismique importante, par un flux géothermique anormal et par une déformation de la lithosphère qui se caractérise par la présence de prismes d'accrétion sédimentaire. Au niveau de la zone de subduction, la plaque lithosphérique plongeante qui reste froide va être à l'origine de contraintes, ce qui va déclencher des séismes dont les foyers peuvent être très profonds. La localisation de

diminution de vitesse est interprétée par une diminution de la densité du manteau et donc comme une zone plus « visqueuse » (on dit ductile) : c’est l’asthénosphère (de 250 à 670 Km). Elle soutient une zone plus rigide susceptible de rompre ; la lithosphère, constituée par la croûte et la partie supérieure du manteau (120 Km d’épaisseur). Schémas bilan 3 et 4

géothermique n’est pas le même à tous les endroits du globe, le site de SSF présente donc un flux géothermique important. Dans le cas de la centrale de SSF, l’asthénosphère a connue une remontée il y a 35 Ma lors d’une phase d’extension de la lithosphère continentale. On trouve alors sur le site plusieurs failles normales témoignant de cet effondrement de la croûte continentale. Ce rift de SSF réduit donc la distance séparant la surface du site au MOHO (limite entre croûte et manteau) : celui-ci