Légitimité Du Roi De France

des pouvoirs ou le régime parlementaire II- Une nouvelle classification des régimes politiques A- L'équilibre légitimité - responsabilité - pouvoirs Le peuple n’accepte d’être gouverne que par des gens que l’on peut contrôler, c’est le principe de base du régime parlementaire, c’est le contrôle du pouvoir politique. Ces régimes instaurent un équilibre parfait entre 3 notions : légitimité (idée qu’on se fait de ce qui est juste), la responsabilité (pouvoir contrôler et révoquer a tout instant), et

résultat du mélange entre les traditions barbares et romaines. La dynastie mérovingienne apparaît par le biais de Mérovée. 1 Les caractères romains et francs de la royauté Mérovingienne (V-VII) Quelques éléments de chronologie : Avant la chute de l'Empire Romain d'Occident, Childéric Ie règne sur les Francs Saliens, dans le Nord de la France et de la Belgique, qui ont passé un accord avec Rome et possède donc le statut de peuple fédéré (participent à des luttes militaires pour préserver le territoire

lois ? « Le roi inspire vigueur de loi aux coutumes », Guy Coquille exprime ceci à propos des coutumes. En effet, selon lui, le roi inspire vigueur de loi aux coutumes rédigées. Le roi respecte et confirme les coutumes existantes. Les coutumes sont rédigées sous l’autorité royale de Charles VII en avril 1454. Les coutumes sont organisées et harmonisées, facilitant alors le travail des juges et des tribunaux. L’Etat se forme autour du roi. La coutume écrite est

foncièrement mauvais. Il est faux de croire que les personnes étaient moins libres. La question est : pourquoi un roi ? - unité : Le roi incarne l’unité du royaume. Il n’est issu d’aucun parti et décide donc en toute imPARTIalité. Cela supprime les querelles de parti désolantes que l’on peut voir dans notre pays, et focalise les énergies sur les intérêts du pays. - continuité : Le roi ne meurt pas vraiment. Un successeur prend sa place et continue l’œuvre de son prédécesseur tout en l’adaptant au

Commentaire de texte «Mieux vaut appeler roi celui qui détient la puissance que celui qui dispose du titre, mais pas du pouvoir » le pape Zacharie. Ce document provient de l’ouvrage intitulé « vie de charlemagne » aussi appelé « Vita Karoli Magni » qui est une compilation de livres sorte de biographie du roi franc mais qui dans le premier livre décrit la déchéance de la dynastie merovingienne. Cette biographie est l’œuvre de

Section 3 : le triomphe des francs : Conquête non pas au détriment de l’empire mais des autres tribus barbares. Cette soif de conquête n’a pas été assouvie, et les barbares vont continuer a vouloir étendre leur territoire : ils reste des peuples guerriers et les barbares savent très bien que s’ils ne dominent pas les autres tribus, ils seront dominés et même supprimés par les autres barbares. | Paragraphe 1 : la tribu franque : La tribu franque est essentielle car elle va dominer en quelques

principe!). Le roi est contraint à attribuer la patrimonialité des fiefs. On arrive dans une situation où les compagnons et les vassaux deviennent des seigneurs puisqu'ils ne tiennent plus leurs fiefs du roi, ils ne sont plus dépendants de son autorité. Le serment prêté ne lui garantit plus le contrôle des territoires détenus par les seigneurs. Les seigneurs disposent dans ces territoires de ressources à peu près identiques à celles du roi et ce aux niveaux militaire et financier. Le roi n'est qu'un

lui le roi incarne les intérêts supérieurs du royaume et il appartient au roi de se placer au dessus des factions religieuses pour imposer la paix entre le factions. Pour lui le roi doit disposer d’un pouvoir absolue afin de garantir la paix entre ces sujets . Il veut justifier l’absolutisme royale . Mais Bodin au 16 siècle fait aussi oeuvre scientifique car il décrit un phénomène politique qui est en train de se produire, c’est la naissance de l’état moderne. Au 11 eme siècle, la France est dans

Travaux Dirigés d’Histoire des Institutions n°4 L’église Commentaire de la bulle Unam Sanctam de Boniface VIII (18 novembre 1302) à Philippe IV Le Bel. « Il n’y a pas d’autorité, de corps social organisé, sans l’union du roi et du clergé ». Telle est la pensée d’Hincmar, Archevêque de Reims à la moitié du IXème siècle. Ce dernier traduit aisément les relations particulières qu’entretiennent l’Eglise et l’Etat. Par la suite, la réforme Grégorienne du XIème siècle qui tendait

le plus judicieux pour légitimer le pouvoir des rois. Le sacre est une cérémonie religieuse par laquelle un roi obtient un caractère sacré voir divin, le distinguant ainsi des autres laïcs. C’est une cérémonie distincte du couronnement où il s’agit de remettre une couronne à un roi, prince ou seigneur. Le sacre trouve ses origines dans l’antiquité, où le roi David (personnage biblique, roi du peuple juif) a reçu une onction divine qui lui confère un pouvoir sacré qui n'a pour origine, ni le peuple