Malglaive

.......................................................p6 Annexe………………………………………………………………………………………...p7 I/ Introduction : a) Présentation de l’ouvrage : « Quand la nuit sera couverte de jour, je sortirais de l’hôpital » de Gaëlle de Malglaive, éditions France Loisirs, février 2007, 224p. Il s’agit d’un auto-récit sous forme de journal intime. C’est un témoignage pour expliquer à son fils ce par quoi il est passé et lui montrer tous l’amour que lui portent ses parents. Les personnages

désigne « la hiérarchie que l’on peut établir entre les individus selon leur capacité prouvée » * Compétences : * « La logique de compétence est antipathique avec les process SIRH » * Auteurs : Zarifian, Minet, Dewitte, Malglaive… * Pour MALGLAIVE : il s’agit d’un ens de savoir-faire (partie motrice), de connaissances théoriques (algèbre pour rendre la monnaie), de connaissances procédurales et de connaissances empiriques (je ne c comment expliquer, mais je c comment ça marche)

Editions d’Organisation. Lorrain, J. & L. Dussault (1998), “Relation between psychological characteristics, administrative behavior and success of founders entrepreneurs at the start-up stage”, Frontiers of Entrepreneurial Research, Babson College. Malglaive, G. (1995), Compétences et ingénierie de formation, in MINET, PARLIER, DE WITTE, La compétence, mythe, construction ou réalité ?, L’Harmattan. MEDEF (1998), Journées internationales de la formation, DEAUVILLE. Voir sur le site http://objectif-competences

repérer, de l'évaluer, de la valider et de la faire évoluer » Journées internationales de la formation 1998 www.apl-conseil.com/cahier La compétence est “ une structure dynamique dont le moteur n’est autre que l’activité ”. Références : G. Malglaive www.telosrh.com/competence « La compétence est un ensemble stabilisé de savoirs et de savoir faire, de conduites types, de procédures standards, de types de raisonnement que l'on peut mettre en oeuvre sans apprentissage nouveau et qui sédimentent

pédagogique, qui porte davantage sur l’organisation des actions La définition initiale est à compléter en précisant que cet « ensemble articulé d’objectifs et de moyens destinés à es réaliser », pour reprendre la définition du projet pédagogique selon Malglaive (1975) : Est propre à une situation particulière, à un contexte singulier ayant fait l’objet d’une analyse (en termes de contraintes et de ressources par exemple) Se prête à une évaluation qui dépasse les résultats obtenus par les élèves On doit

comme un Français, mais comme un Juif. Dans un livre incendiaire publié en 1942, Gabriel Malglaive écrivait : « Veut-on démonter que le Juif n'est pas Français, qu'il n'est pas Allemand ?... Le Juif lui-même nous prouve surabondamment que pour vivre en France, il n'en est pas moins Juif, que vivant en Allemagne ou en Chine, il n'est ni Allemand ni Chinois ; il est reste un Juif. Rien qu'un Juif. » (Malglaive, p. 31) C'est pourquoi M. Muller de la Gestapo par exemple dit : « Ce garçon n'est pas un

pratiques si on n’avait pas présent à l’esprit les deux ouvrages de Pierre Bourdieu (Le sens pratique, Ed. de Minuit, 1980, et Raisons pratiques. Sur la théorie de l’action, Le Seuil, 1994), les travaux de Michel de Certeau et le livre de Gérard Malglaive, Enseigner à des adultes, PUF, 1990. [2] Cf. Bourdoncle R., « La professionnalisation des enseignants : analyses sociologiques anglaises et américaines », Revue française de pédagogie, 94, 1991. [3] Les changements en cours obligeront à élargir

qu'à l'oreille, l'accordeur d'instrument;&. . Tant qu'il n'a pas formalisé ces savoirs, l'individu ne peut les transmettre. C'est ainsi qu'un bon professionnel n'est pas toujours un bon tuteur. Mais ces "savoirs pratiques", comme les nomme Gérard MALGLAIVE, touchent aussi la vie quotidienne. Chacun de nous a ses petits talents, plus acquis qu'innés, et n'a pas toujours conscience de leur caractère exceptionnel. Il peut aussi s'agir aussi de savoirs collectifs partagés par tout un groupe. On peut citer

savoirs et de savoir-faire, de conduites-types, de procédures-standards, de types de raisonnement, que l'on peut mettre en oeuvre sans apprentissage nouveau ». « Savoirs en acte » « La compétence est la mobilisation pour l’action : o o o o G. Malglaive : F. Minet : des connaissances nécessaires à la compréhension de son contexte, des représentations nécessaires à la construction ou la sélection des procédures et des méthodes adaptées au résultat visé, des automatismes et des gestes nécessaires

(Donnadieu et Denimal, 1994 ; Piolle, 2001 ; De Montmollin, 1993). D’autres auteurs ont précisé le lien entre le triptyque savoir/savoir-faire/savoir-être et l’atteinte d’un résultat, un but fixé dans une situation donnée (Gilbert et Parlier, 1992 ; Malglaive, 1995). A l’aube des années 2000, le MEDEF organise les « journées internationales de la formation » à Deauville (Octobre 1998). Ces manifestations, réunissant un grand nombre d’entrepreneurs donnent, entre autres, lieu à une définition de la compétence