Malglaive

de culture de la situation de travail, pour partie du savoir-faire ou des connaissances (savoir théorique) des codes sociaux en vigueur, pour partie de la motivation ? Je reprendrais ici la définition du cycle FFPS, issue des travaux de Gérard Malglaive . La compétence est une combinaison, dans l’activité, de savoirs formalisés (théoriques et procéduraux), et de savoirs en actes (savoir-faire et savoir pratique). La compétence est individuelle : chaque individu mobilise de manière différente

transformations de l'activité corporelle". D'autre part, si nous disons avec Ch. GEORGES dans "Apprendre par l'action" qu'il existe deux sortes de connaissances, les connaissances déclaratives (dire sur) et les connaissances procédurales, si MALGLAIVE et WEBER nous indiquent qu'il y a des savoirs théoriques et des savoirs pratiques "afin d'obtenir les effets voulus et n'obtenir qu'eux", nous choisirons donc des savoirs dans l'action et sur l'action. Si les élèves développent des compétences

concrète et pratique, que théorique. Leur justification et leur validité sont liées à l'accord de la majorité des praticiens. Les savoirs de référence de l'éducation physique et sportive trouvent sans doute des points de convergence avec ce que Malglaive (1990) nomme « le savoir en usage ». Ce sont des savoirs qui régissent l'action, précise cet auteur. Les savoirs théoriques, les savoirs procéduraux, les savoirs pratiques, les savoir-faire, forment « une totalité complexe et mouvante, structurée

D’autres écoles ont également acquis une forte reconnaissance dans le champ de la formation des ingénieurs. C’est le cas par exemple de l’Institut de formation d’ingénieurs en techniques électroniques de Paris (IFITEP) et d’Ingénieur 2000 dirigé par Malglaive, l’un des plus actifs promoteurs de l’apprentissage dans la formation des cadres39. S’ajoutent à ces établissements récents des écoles d’ingénieurs que l’on peut qualifier de plus classiques, notamment au regard de leur mode de recrutement axé sur

concept de compétence s’appliquait largement au salariat, dès les années 60, il butait encore sur l’approche plus « psychologique » et comportementale de l’entrepreneur qui faisait référence depuis les travaux de Schumpeter (voir 1). L’approche de Malglaive (1990), «  un savoir en action  » est celle qui est apparue la plus évidente pour amorcer cette analyse. Mais la diversité des approches de la compétence, même si elle a pu permettre d’expliquer les différences d’entrepreneuriats, a surtout constitué

celui qui est habilité à devenir habile dans un domaine de connaissances » (Strootbants, 1994). Les sciences de l’éducation ont quant à elles mis en évidence une corrélation entre action et compétence, caractérisée comme un « savoir en usage » par Malglaive (1994). Ces différents points de vues permettent de donner corps et sens au concept de compétence : * La compétence est un savoir agir, * La compétence est finalisée, elle est issue d'une situation particulière. Tout acte à un but, n'existe

intervention éducative et gestion de la classe (Lacourse, 2004), notre collègue a systématisé le processus d’allers et retours de l’analyse, en quatre temps. Au préalable, partant de la théorie d’investissement/formalisation des savoirs dans l’action de Malglaive (1990)1, elle a défini dans son cadre conceptuel la notion de construire et déterminé les observables que comporte un processus de construction de routines professionnelles. Elle a établi qu’ils permettraient d’inférer la construction de routines

compétences pour résoudre un pb ? Ce n’est pas tant l’apprentissage qui est au centre de la compétence mais le désir de faire et les savoir-être. Si la motivation est présente, il y a de fortes chances pour que l’apprentissage ne soit pas un obstacle. G Malglaive indique que le moteur de la compétence n’est autre que l’activité. Si l’activité est importante, il existe un autre moteur qui est la motivation, le désir de faire, … ANACT parle de rencontre entre savoirs et situation. Mais elle ne dit rien des

conception du livre en accompagnant et conseillant l'auteur pour l'aider à écrire le meilleure texte possible, puis de réaliser la promotion de l'ouvrage en librairies ou sur les plateformes de vente internet.· et une responsable communication, Amélie de Malglaive, qui est chargée de donner une bonne image de l'entreprise, de mettre en place des campagnes de communication interne, externe ou institutionnelle en veillant à la relance des journalistes et supports (presse écrite, radio, TV, Internet), lorsque

professionnelle à partir de laquelle elle est validable. M. de Montmollin : “ Ensemble stabilisé de savoirs et de savoir-faire, de conduite types, de procédures standard, de type de raisonnement que l’on peut mettre en œuvre sans apprentissage nouveau ”.1 G. Malglaive : La compétence est “ une structure dynamique dont le moteur n’est autre que l’activité ”. Ainsi, la compétence ne peut se lire que dans la réalité d’une activité pratiquée, mobilisant les différents savoirs possédés par la personne. Cette vision