Marsile de Padoue

Plantin (vers 1520-1589) Imprimeur et relieur né en France, il fonde à Anvers le plus important atelier d’imprimerie de l’époque, Au compas d’or. Son catalogue comprend près de 1 500 ouvrages. On lui doit notamment une édition de la Bible polyglotte. Marsile Ficin (1433-1499) Fils d’un médecin renommé, il suit son père à Florence. Ses études lui font découvrir la philosophie. Protégé par les Médicis, il se consacre à la traduction et fonde l’Académie platonicienne. 186 Cours et la civilisation du

d’instantanéité du pouvoir. Le système politique ne peut être régi que par deux institutions parallèles. L’Etat-nation rejette l’idée d’une compétition constante entre le pouvoir temporel et le pouvoir spirituel. Il y a trois auteurs, Dante, Marsile de Padou et Guillaume d’Ockhan. Par ces trois auteurs, la notion de laïcité de l’Etat progresse de façon décisive. On voit se développer chez les auteurs la notion de souveraineté qui va venir justifier l’existence de nouvelles institutions politiques

eu des propos très durs envers la scolastique. Ainsi que Leonardo Bruni, à propos de John Duns Scot, il parle de « barbarie britannique ». Il faut nuancé cette opposition, certain humanistes ont voué une admiration à la scolastique. Par exemple, Marsile Ficin, avec le mouvement du néo platonisme. Autre exemple celui de Pic de la Mirandole, particulièrement avec son œuvre les conclusions. Ces penseurs humanistes aspirent à une unité de la pensée, intégrer dans leur propre réflexion l’ensemble des

bourgeoisie commerçante, de l'honorabilité et des fonctions laissant une large place au loisir ainsi que des citoyens caractérisés par leur sagesse et leur compétence. Le peuple transfère sans contrainte son pouvoir à l'empereur élu par lui (Marsile de Padoue) • la souveraineté ne se représente pas : des magistrats comme agents mettant en oeuvre la force publique selon les directions définies par la volonté générale sont nécessaires au fonctionnement du gouvernement. Ils allègent

vont alors se prononcer sur la notion de laïcité. * Dante (1265-1321), auteur d’une œuvre de théorie politique qui s’intitule «  La monarchie ». il est favorable à la réduction du pouvoir du pape à un domaine strictement spirituel. * Marsile de Padoue : Lui est hostile à une dualité du pouvoir, pour lui la société doit être soumise à un seule pouvoir, le pouvoir monarchique. * Guillaume d’Ockham : Il s’est attaqué à la papauté dans une série d’œuvre politique. Il a remis en cause la prétention

conception du "Césaropapisme", le Pape affirme sa primauté, se prétend détenteur de l'autorictas. Les juristes allemands vont utiliser un fragment d'Ulpien : "ce que le prince estime bon a force de loi" pour reconnaitre à l'empereur l'autorictas. Marsille de Padoue écrit le "defensor preis" qui va augmenter en faveur de l'empereur contre le pape. : l'autorictas reconnue à l'empereur. Réactions de la part du roi de GB, du r de f parce que ces derniers n'auraient que le potestas. Les juristes du r

les stratèges, mais ils ne les choisissaient pas, ils émettaient une liste de magistrats pouvant devenir stratège. L'autre assemblée était la boulé. En Europe au 14ème siècle un homme a été à l'origine d'une première renaissance en Europe, Marsile de Padoue. B. Esquisse de typologie 4 conceptions à prendre en compte. -idéal Rousseauiste --> influence de Rousseau très importante en France. Rousseau dans le contrat social :"le pouvoir peut bien se transmettre mais non la volonté" il comprend

laquelle sont basés nos systèmes étatiques modernes. Donc la souveraineté n’est pas ce qui caractérise le pouvoir du chef, c’est ce qui constitue l’Etat. Aussi, sa pensée politique met en lumière un principe nouveau qui fait de Bodin, après Marsile de Padoue et Machiavel, l’initiateur de la théorie moderne de l’Etat. Ce principe est la définition du pouvoir politique comme forme nécessaire de l’existence sociale. Il considère, ainsi, que l’existence d’un pouvoir public unifié et unifiant est une

unis dans une communauté général. Qu’il peut y avoir divers types de constitutions, parce qu’il y a différentes conditions humaines, différentes langues et différents climats. « Ce qui est bon pour un peuple, ne l’est pas pour un autre ». Marcil de Padou défend aussi l’idée de l’indépendance des états dans son ouvrage parce qu’ils ont des constitutions différentes, et qu’elles sont légales et légitimes, et qu’elles ne sont pas tyranniques. On doit respecter la constitution d’un état qui n’est pas tyrannique

premier principe politique. L'Italie est déchirée entre deux tendances politiques: les gibelins (favorables à l'empereur du saint empire) et les guelfes (qui sont pour le pape). Des intellectuels et des théoriciens vont apparaître. Début XIV, Marsile de Padoue (gibelin) commente la notion de 'plénitude podestatis' qu'il qualifie de perverse. Le pouvoir politique est différent du pouvoir religieux, on montre que la France est différente en créant un drapeau (blanc), des frontières... b) La naissance